Il y a une vingtaine de minutes, je prenais un café-cigarette sur la terrasse, ultime excuse trouvée pour ne pas me mettre au travail. C'est le moment qu'a choisi le voisin "de derrière" pour faire sortir son troupeau laitier, afin de le guider dans la prairie qui nous sépare très opportunément de sa ferme.
Les vaches se sont mises alors à gambader, sautiller, se poursuivre, s'ébrouer, exactement comme le feraient de jeunes chiens fous de cinq cents kilos. Leur manège a duré le temps d'une Camel. Puis, brusquement, tout s'est arrêté ; et, avec un ensemble parfait, ces dames ont plongé le mufle vers leur immense assiette plate et rase.
Le ruminant venait de reprendre le contrôle du canidé.
Les vaches se sont mises alors à gambader, sautiller, se poursuivre, s'ébrouer, exactement comme le feraient de jeunes chiens fous de cinq cents kilos. Leur manège a duré le temps d'une Camel. Puis, brusquement, tout s'est arrêté ; et, avec un ensemble parfait, ces dames ont plongé le mufle vers leur immense assiette plate et rase.
Le ruminant venait de reprendre le contrôle du canidé.
Vous allez vous faire mordre à faire des réflexions irréfléchies comme ça à des dames ...
RépondreSupprimeriPidiblue, société protectrice du Goux.
Photo et anecdote. Une jeune femme légèrement maquillée des yeux, son mari, ses filles, à la table d'un restaurant, vacances au bord de la mer.
RépondreSupprimer- La mère : et personne n'a vu que je m'étais maquillée ce soir ?
- Entre deux bouchées, l'une des filles (10 ans environ) : oh si maman, ça te fait les jolis yeux des belles vaches d'Auvergne.
Comment peut-on manger du boeuf quand on a croisé le regard d'une Salers ?
Dom, c'est pour cela que je ne regarde jamais une vache dans les yeux !
RépondreSupprimer(Lorsque j'étais enfant, et que nous allions en vacances en Auvergne, je me souviens que ma mère s'extasiait sur la beauté des yeux des vaches locales - ce qui faisait rire mon père.)
Comme tout cela est plaisant et patenôtre !
RépondreSupprimerJe glorifie le tabac.
RépondreSupprimerDes bizettes
Se faire écharper par une vache à longues cornes quand soi-même ... enfin bon ! j'ai rien dit ...
RépondreSupprimeriPidiblue cocu qui s'en dédit !
Ah, mais Homère compare les yeux d'Athéna à ceux d'une génisse. Et c'est chez lui un très grand compliment. Vous voyez, vous n'êtes qu'un des avatars de l'éternel aède.
RépondreSupprimerPs N’étant pas blogueur patenté, il m’est -oh tristesse et désappointement-, interdit de participer à votre concours « Brigade Mondaine », et bis regrettita je le déplore -farouchement. Bon, ces 3 mois j’ai de toute façon 80 pages de scholies à rédiger, mais ça n’empêchait pas forcément. Le travail appelle le travail (Du sarkozisme, encyclopédie des lieux communs revisitées T.3, p.4876.)
Relancerez-vous pareil concours ? et cette fois pourrais-je participer bien que triste manouche sans toit numérique ? Outre que je suis fort vénal naturellement et que -en l’illusoire espérance d’une victoire - cet argent serait très bien investit dans une belle petite édition d’Aypenser (quel auteur !), écrire ce type de roman m’a toujours chatouillé les pédoncules (j’ai de grands doigts. C’est pour mieux te… mon enfant. (L’enfant en question appartient à la branche Vénus de l’espèce. Point de tératologie graphique Zet mental svp.)
Pss Si l’orthographe de De Gaule vous intéresse encore… Vialatte dans ses chroniques met la majuscule à la particule lorsqu’il écrit « le Général De Gaulle », mais c’est de Gaulle seul autrement avec, je crois, retour de la majuscule en cas de déterminant en « de » précédant la particule usurpée. Un ami qui fut correcteur m’a confirmé qu’il existait là une règle assez tordue. D’où l’impossibilité de trancher avec morgue (hélas !) votre débat avec Denis sur ilys.
A part ça et pour en finir -mais je fus longtemps silencieux en ces lieux, je me rattrape un peu - pourquoi ce grand dadais tristouillard de Georges s’est-il mis à vous brocarder d’abondance ? Des suites à sa curieuse tangophobie ?
Bon, pardonnez-moi ces indiscrètes questions qui ont ceci de désagréables qu’elles semblent impérativer (de horreur sémantique)la réponse. Ce n’est nullement dans mes intentions. Si ça vous ennuie… "Seul le silence est grand tout le reste est faiblesse". Mais sur Brigade, ce serait mignon tout plein de répondre (genre rose) - ca serait de la balle man (version bleue banlieue 2008).
Psss Au fait, Blandine est sortie ? (Je gîte pas loin du tout de Levallois. Le timbre ne vous ruinerait pas. Qui sait, l’éditeur irait peut être jusqu’à vous l’offrir. A un tel pilier de sa maison voyons ! Pilier de clavier bien sûr ©Restif ; objet sémantique déposé Sacd. Prix à débattre, vente ou location).
Restif, intempérant de la jactance en ce jour cowien et idipibluetesque (non, je ne vois pas de rapport direct entre les deux. Ne soyons pas vache.)> A l'ombre des Vermot(s) en bouquets
Je me sens obligé de rappeler que j'ai pour règle de ne jamais répondre aux commentaires non signés (d'un nom ou d'un pseudonyme facilement reconnaissable), à plus forte raison lorsqu'ils mettent en cause de tierces personnes et sont, en outre, à la limite de l'indéchiffrable.
RépondreSupprimerMerci de bien vouloir en tenir compte.
Maîtresse : patenôtre n'ayant jamais été un adjectif, je saisis mal ce que vous cherchez à dire...
RépondreSupprimerRestif Restif Restif Restif Restif
RépondreSupprimerSi c'est pour moi que vous parlez M. Goux vous m'étonnez grandement. Avez-vous oublié que vous m'avez déclaré intégrer à votre "Blandine" une phrase de 3lignes que j'avais écrite et qui la mettait en scène cette brave dame? C'est VOUS qui l'avez reprise et qui m'avez parlé de me donner un exemplaire!!!Ah, l'edspèce humzine comporte de biens singuliers individus...
Voyons...comment le sortir de sa torpeur... Restif, Restif, Restif (Tang si vous passez dans le coin, à l'évidence ce bon Goux a soit des problèmes neuronaux soit une attaque violente de paranoïa). Oui, Restif, vous savez, celui qui vous avait écrit quelques lignes sur le concept d'écrivains en bâtiment, ligne qui vous avait, laissiez-vous alors entendre,assez touchées. Restif que vous croisiez chez Gai luron. Avec qui vous avez discuté sur Ilys. Et, bis repetita displicent mais c'est tellement gros d’oublier ça, Restif dont vous avez pris 3 lignes pour les mettre dans Blandine parce qu'elles vous plaisaient et que c'était amusant (c'était Blandine pensant à Vera " presque haletante", un truc comme ça. C’était un petit pastiche-hommage qui n’eut d’autre importance que celle que vous lui donnâtes).
Quant à mon drapage sémantique, ma douce jactance amusée, mon Dieu, les autres fois elle ne vous avait guère choqué, où alors vous fûtes d'une discrétion de rosière. Non, à l'époque vous étiez plutôt extrêmement courtois lorsque vous me répondiez. Vous aviez même décidé, APRES mes félicitations sur la publication du scénar de cette chère blandine de publier désormais tous les scénars. Enfin c'est ce que vouds m'avez dit alors. Vous aveez aussi oublié ça? Et ben,l'écriture à haute dose n'est pas bonne pour Mnémosyne (la mère des muses, ce n'est PAS une complication verbale, calme). Et puis côté style "limite incompréhensible", a part un déterminant et une paire de guillemets oubliés -et encore, entre parenthèse (DE L'horreur sémantique)je ne crois pas que ce message à peine goliard soit difficile à entendre. J'en aiécrit d'autre et de plus aviné du logos qui sont mieux que bien passé. Et ici même une fois, où ce fut bien loin de vous déranger. Vous avez du lire vite cette fois. J’en prends Tang à témoin s’il passe, qu’il soit le Salomon de ces lieux, je l’écouterais comme si c’était Alexandre lui-même qui daigne trancher. Je vous croyais plus attaché à certaines traditions d'urbanité M. Goux... Mais l’oublie pur et simple peut tout expliquer.
Restif que vous connaissiez jadis (larmes et mouchoires)
Je me souviens parfaitement de tout ce que vous me rappelez, bien entendu. Simplement, j'en arrive à me demander (vous savez combien la blogosphère rend paranoïaque...), à certains indices à peine perceptibles (citation obsessionnelle de Vialatte, irrépressible besoin d'aller ré&veiller Georges dans sa grotte, orthographe cahotique car commentaire non relu, phrases emberlificotées à l'excès, etc.) si Restif et Tang forment réellement deux individus séparés.
RépondreSupprimerSi ce n'était pas le cas, cela reviendrait à se foutre un peu de ma gueule, il me semble...
Ô Happy Cows ! ô happy cows !
RépondreSupprimeriPidiblue alias Fonzie le mauvais garçon.
Restif
RépondreSupprimerMon cher Didier, vous êtes fou. Tout bonnement. J'ai "rencontré" Tang à l'occasion d'une citation que Stag ( Les enfants de la zone grise) avait fait de sa prose concernant les réacs. Nous avons discuté sur le lieu même, puis le trouvant sympathique, j’allais voir ce qui se passait chez lui. Il en est résulté un commencement d'amitié numérique, rien de plus -et c'est déjà beaucoup car je le tiens pour un être charmant. Vous n'êtes guère psychologue, permettez-moi de vous dire ça sans nulle once d'agressivité. Outre que Tang est plus jeune que moi (et n'a pas mon impressionnante culture et ma forte modestie)nous sommes suffisamment dissemblables pour que ça se lise -c'est même pour ça que nous pouvons espérer être ami.
Il n'a rien d'un machiavélique, et sera certainement étonné de vous lire. Grand bien lui fasse, ça lui ouvrira peut-être les yeux sur la réalité des êtres et de l'existence car il est encore un peu naïf -adorablement naïf, car c'est un compliment (voir le sens étymologique). Si vous lisiez son blog, vous auriez vu les longues missives de Restif qui intervient aussi sur Incarnation (Nebo) chez XP, chez Isabelle de la Chabrière. Maintenant que je lui ait fait connaître cette dernière, il arrive que j'y vois son nom mais c'est très récent, je date d'avant. Enfin, si je ne savais la blogosphère fertile en retors, je prendrais la chose avec moins belle humeur, je ne vous le cache pas. De toute manière, il m'est désormais évident que vous êtes si pressé qu'il vous arrive de ne plus savoir lire -péché véniel- parce que pour nous confondre!
Quant à Georges, je l'ai connu via Tang, et l’ai trouvé ridicule le jour où, Tang évoquant qqlq achats sur Amazon, le dit Georges à débarqué en disant "oui, et achète aussi Hardellet et Mac Orlan et fontaine. Il n'y avait qu'Hardellet d'un peu rare dans sa fastidieuse et puérile énumération qui m'a semblé d'une' cuistrerie sans bornes. Moi, pendant qu'on y est, j'aurai cité Henri Callet, Catulle Mendes, Darien, Jean de Tinan, Berolad de Verville, Cristofle de Beaujeu et pourquoi pas Hélinand de Froidmont (Les vers de la mort, 12ème siècle. Si Tang connaît ça, j'accepte le sort d'Origène). Le lisant aujourd’hui par curiosité, j’ai lu qu’il vous attaquait. Bon. Revenant chez vous et lisotant de droite à gauche, je note que vous affichez vous-même son « jugement » sur votre personne. Je me suis donc cru en droit de vous poser une question que votre blog même appelait. Je pense que ça n’a rien de bien complexe, nous ne sommes pas dans l’être-le-là heideggérien ou dans la conscience eidétique husserlienne. Mais s’il vous lit, ce cher Georges, c’est à bon droit qu’il rira. Je ne suis plus loin de le trouver sympathique, si seulement il pouvait se rendre compte que Tang est un gentil, intelligent, très intuitif, un être en construction (et fort intéressant : il a cité un passage de Vialatte déchirant.) et qu’il n’ ya nulle gloire de sa part à jouer son petit jeu.
Ah oui : il se trouve que je lis Vialatte depuis une bonne quinzaine d’années alors il m’arrive d’en parler quand j’évoque Tang. Quand j’évoque Tang, je répète : car dans mon premier billet il n’ y pas trace de Vialatte.D’ailleurs, si je dépiautais vos « arguments » un à un,il ne resterait pa grand-chose pour voiler la pure parano assez effrayante. Je ne sais pas ce qui se passe chez vous en ce moment mais vous ne vous ressemblez pas. A moins que je ne vous ai jamais bien vu,c’est toujours possible. Je vous croyais sensible à la courtoisie et désireux de la pratiquer avec ceux qui vousont toujours traité avec la plus grande politesse et même un brin de gentillesse.
Enfin, je ne crois pas que Tang aurait pu rédiger la brève analyse que je vous avais faite de l'auteur de littérature populaire. J'ai déjà qqlq articles (oh, infiniment peu) de publiés et je suis en route pour une thèse avec le meilleur Bloyen de France -donc du monde, Pierre Glaudes. J’ai participé au deuxième colloque Bloy et si je trissotine ainsi du clavier c'est simplement pour souligner qu'il faut quelques armes didactiques pour mettre en perspective la littérature populaire, ses schèmes, ses résurgences mythiques, son jeu sur les clichés. Sa manière de réinitialiser les grands invariants du héros, de l’éros, du second et des méchants. Bref, un jeu sur les archétypes, un souvenir infiniment dévoyé des légendes, mythes et Chanson de Geste. Le schéma actanciel marche parfaitement pour ces oeuvrettes plaisantes et utile et pour outrepasser du bouchon j’irai jusqu’à dire que Vladimir Propp trouverait chez vous sa pâture. Plus un geste ou je vous jette aux sémanticiens ! qu’on vous décortique l’anthropogenèse d’une grande série populaire, l’inconscient du texte et tout et tout.
Je vois peu Tang citer Les structures anthropologiques de l'imaginaire de ce cher Gilbert Durant ou bien Du descriptif de Philippe Hamon (dont je peux vous dire qu'il est bien plus utilisable que Genette dans la référenciation des typologies du discours/récit en mode réaliste. Et que son ouvrage sur l'ironie et l'écriture oblique est une petite merveille dont l'auteur de figure 1,2, 3, 4, 5 (plus personne ne le lit)serait bien incapable. Son meilleur texte reste Palimpsestes (allégrement dépouillé par certains et supérieur à "La seconde main ou le travail de la citation de compagnon. D'ailleurs tout ça n'est que néant comparé au monumental Mimésis d'Auerbach -
aloi. désolé de ce name dropping stupide, mais il faut bien que je me prouve. or, j'ai lu tout ce que j'ai cité dans ce coms -même si , de de Baujeu je n'ai qu'une vingtaine de poèmes pour la simple et bonne raison qu'il n'est pas réédité depuis le 1èème, venant à peine d'être redécouvert par une connaissance à moi, le professeur, traducteur romancier et poète Jean Yves Masson qui, entre autres titres, tient la rubrique poésie du magasine littéraire).
Mais j'y pense : j'ai connu perso Richard Caron, l'auteur de THX 137, un truc dans ce goût là, un auteur fleuve noir des années 50 -75. il y en eut encore des polards après ça, mais ça marchait bcp moins bien. Croyez vous que Tang connaisse Richard Caron?
Autre chose : je vous croisais -quand j'y allais, j'ai arrêté car le bougre répond rarement, malgré ses promesses, et c’est bien son droit d’être on the lunatic fringe- chez Musicien masque de mots. Croyez vous que le cher Tang connaisse ce lieu? Tweemdelum et Tweemdelly (j’ignore l’orthographe exacte de Carrol), vous et la prof d'anglais qui corrigeant une de vos fautes s'attirât de votre part cette réplique : "Aurélie (je crois) vous allez passer 40 ans à en corriger des fautes alors moi...". Y connaitrait ça le Tang? y serait omniscient alors.
Bon, je vous laisse et comme punition ne me relit pas. Un puriste comme vous...c'est une dure pénitence. Quand même...Dans le doute, abstient toi...d'être désagréable, de manquer à la courtoisie. Un, sobre "qui êtes vous" où qqlq chose dans ce goût là m'aurait semblé de meilleur aloi. Car relisez vous et demandez vous à tête reposée, à un moment d’humeur tranquille, ce qu’un homme qui ne vous a jamais fait que du bien peut penser de votre texte ? Surtout que vous me dites maintenant « je me souviens très bien » mais vous avez bien parlé d’ « anonyme », de personne inconnue (et incompréhensible qui plus est ce qui me semble pour le moins exagéré),de questionneur indélicat -moi qui avait pris la peine d’indiquer via Vigny que le silence sur certains sujets serait compris ! Comparer nos délicatesses respectives, sincèrement.
Je ne vais pas vous en vouloir pour ça, vous n'avez pas eu volonté de me blesser. C’est là l’écho d’un phénomène lié au média du net. Mais j'avoue être un peu déçu. Je fus toujours envers vous de la plus parfaite courtoisie, et je ne vois pas en quoi une simple méfiance peu compréhensible -vous êtes le premier à qui cette aberration passe en tête- pouvait justifier une absence aussi complète d'adjectifs atténuateur, de précautions en politesse. Oui, cela m'étonne, je ne vous croyais pas de cette race contemporaine pour laquelle la plus élémentaire urbanité est une vielle lune qui ne vaut pas qu'on lui consacre un peu de réflexion. Mieux vaut foncer immédiatement et laisser la parole au reptilien qui nous habite. Dommage.
Restif, stupéfait.
Ps au fait, comparer nos IP !
Ah les camel.
RépondreSupprimerMes premières clopes.
Restif : je ne vous ai pas lu. Comme disait Anatole France : "Je suis trop vieux, et Proust est si long...".
RépondreSupprimerSi vous voulez renouer un quelconque dialogue (et Dieu sait que je n'ai rien contre), faites simple, rapide, clair, bref : soyez civilisé.
Dom : quand on a un visage comme le vôtre, on n'arbore pas ce genre de bouillie visuelle en effigie (en tout cas chez moi : soyez charitable et excitante, je vous prie...).
RépondreSupprimerLes commentaires trop longs m'emmerdent ! Et Georges n'est ni grand ni dadais ni tristouillard.
RépondreSupprimerBon, à bientôt, Didier !
RépondreSupprimerJe vois que vous êtes pas mal occupé, aujourd'hui.
Oh que c'est long ici ! J'ai oublié ce que je voulais dire avant de lire cette logorrhée...
RépondreSupprimerChacun ses trolls, Julie la Rousse, chacun ses trolls...
RépondreSupprimerQue voulez-vous dire ? Je ne connais que Zora la Rousse et j'ai la chance de n'avoir aucun troll pour le moment...
RépondreSupprimerJe viens de relire votre billet. Il est savoureux, concis, lumineux et me donne l'impression d'avoir pris le frais aussi.
Zoridae : vous êtes trop jeune pour avoir connu Julie la Rousse : chanson de René-Lous Lafforgue, chanteur mort prématurément, contemporain de Brassens à peu près, mort prématurément.
RépondreSupprimerFais-nous danser
Julie la Rousse
Toi dont les baisers
Font oublier !
Petite gueule d'amour t'es à croquer...
Quand tu pars en tricotant des hanches
D'un clin d'oeil le quartier est dragué
C'est bien toi la reine de la place Blanche...
Si on se rencontre, je vous la chanterai (après quelques bières...)
On se rencontrera, je ne voudrais pas manquer cela...
RépondreSupprimerje me souviens de cette chanson : l'air me trotte tout de suite dans la tête.
RépondreSupprimerAvec l'âge, on ne devient pas vieux, c'est pire : on devient martien.
Pour le polar, c'était l'inverse. C'est quand on a des rhumatismes qu'on rencontre enfin quelqu'un qui a lu les mêmes livres que vous. Enfin, je parlais de la Série Noire.
Mais je suis plus âgée que vous, Didier.
Julie la Rousse : n'a-t-elle pas été chantée aussi par Colette Renard ?
RépondreSupprimerVous êtes décidément bien peu courtois envers quelqu’un qui vous fut toujours agréable. Et voilà que vous me traitez de troll maintenant ! Vous êtes bien le premier. Bon, il est évident que vous n’avez ni la simplicité ni l’honnêteté de reconnaître qu’au premier com, vous vous êtes trompé. Entre vos 15 pages par jour, vos 6 posts et vos visites aux 35 blogs qui s’honorent de votre présence, vous n’avez pas reconnu Restif au premier com. Après, vous avez inventé quelque paranoïa peu crédible -chez Musicien masque de mot il ya 3 mois, Restif ne pouvait être Tang pourtant, non ? Mais vous savez fort bien que je ne suis pas icelui.
RépondreSupprimerVoyez vous, moi par urbanité, j’aurai lu, car c'est vous qui avez fait un faux pas. J'ai toujours été d’une extrême courtoisie envers vous, et voilà que vous me taxer de "Troll". Vous êtes charmant.... D’évidence, vous appartenez à la moderne race des goujats.
Vous avez dont été gratuitement impoli, insultant et agressif. Ca vous regarde.
Restif, habitué à la laideur des âmes.
(S’il vous reste un poil d’honnêteté, vous laisserez mes phrases de côté dans les blandices de Blandine)
Didier faites-moi plaisir: Georges lui-même veut bien me croire quand je lui dis que je N'ai JAMAIS postéque sous MON identité et j'ajoute ave cun style de toute façon très reconnaissable (et très disctinct de celui de Restif)
RépondreSupprimerPour ce qui est de Georges, n'inversons pas les rôles: je ne le réveille pas, je me suis éloigné du Net une semaine et cela ne l'a pas empêché de cracher son venin sur mon compte que je sache. réveillez-vous, je ne vous demande pas de prendre position, je m'en branle de ce Valet qui se comporte comme le dernier des faquins à longueur de temps et réquisitionne sa misérable cour pour oublier la mdiocrité qu'il a voulu sienne et qu'il croit voir à tout moment dans la plus petite esquisse de sourire de son prochain.
Quant au commentaire que j'ai posté autour de Brigitte je ne sais plus qui c'est simplement que je n'avais pas vu ce fil et croyais naïvement que le message que Georges avait mis en ligne était une correspondance privée de Restif à vous (que votre ami se serait procurée Dieu sait comment).
J'imagine que ce cake de Georges se figurait que je pourrais être blessé par les propos de Restif dont m'avait écarté mon éloignement de votre blog (précisément par ce que ce qui arrive me fatigue et ne peut qu'arriver)
Et comme de bien entendu il n'en est rien (c'ets même tout le contraire), Georges crachote face au vent et s'étonne de ne pas atteindre sa cible. Mais vous devriez vous garder de vous placer sous le vent quand votre ami bavote.
Allez j'ai assez trainé ici, je me demerderai sans vous pour certaines interrogations qui me titillaient (sur l'art scénaristique en fait, rien à voir avec machine-à-molard)
Ainsi vous seront épargnées mes citations compulsives de Vialatte (quel crime abominable en effet!) Et le risque de me confondre avec restif ou un autre ou lui avec moi on ne sait trop. Et bien d'autre nuisances encore dont je suis sans doute capable (c'ets ma vocation singulière que de nuire à des gens que je ne connais pas, comme votre femme qui m'insulte sans que je lui ai même adressé la parole, ce qui e vaut ensuite d'être pris pour la raclure anonyme qui vos persécute de copé-collés haineux, un comble!)
Salut tout le monde j'ai école comme vous dites quand vous ne voulez pas répondre à un échange pourtant sincère.
PS: oui je suis un poil enervé... Je n'ai pas envie d'être calme, j'ai mes raisons du reste.
Une gigantesque bulle bloguesque ? Une enflure collective dont plus personne ne sait où se trouve le bouchon ?
RépondreSupprimerMarcel... qui s'amuse ici et là...
Tang ou Restif ? Quelle importance, ils sont aussi chiants l'un que l'autre !
RépondreSupprimerSans aucune ironie ni méchanceté, juste une découverte bloguesque : je n'ai jamais vu d'aussi longs commentaires.
RépondreSupprimer@Balmeyer, et vous n'avez jamais connu de personnes tel Restif (moi non plus d'ailleurs) et c'est bien dommage ; peuplé de Restif, le monde serait meilleur.
RépondreSupprimerdom, vous êtes atteinte de "Didier Goux-isme", vous vous mettez à me voussoyer ici, alors que d'habitude nous nous tutoyons et que nous employons des termes et des abréviations propres à l'argot de l'internet, en citant des groupes de rock électrique. L'effet de ce blog est incroyable. Didier Goux est influent.
RépondreSupprimerLa dépendance au blog de Didier, ce douloureux problème !
RépondreSupprimerJ'en parlerai à mon psy ...
iPidiblue co-dépendant
PS Je viens de voir un envoyé spécial consacré à l'alcoolisme dans les grandes écoles mais je n'ai rien vu sur l'alcoolisme en milieu médiatique, avez-vous des lumières sur le sujet docteur Goux ?