Hier, il fallait absolument que je tonde la pelouse, laquelle s'était mise à pousser comme un adolescent précoce en plein ravage de puberté. J'avais décidé de le faire entre six et sept heures, après ma journée d'écriture. Finalement, prévoyant mon manque de courage à cette heure tardive, j'ai avancé la corvée à quatre heures et demie. À peine avais-je eu le temps de ranger la tondeuse, le travail achevé, qu'arrivant de l'ouest la pluie s'est mise à tomber. Elle n'a pas cessé depuis.
Comme dirait l'excellent Martin Lothar, les Bretons ont encore dû oublier de fermer la porte...
Comme dirait l'excellent Martin Lothar, les Bretons ont encore dû oublier de fermer la porte...
Etes-vous bien sûr d'être dans les p'tits papiers du tout puissant!
RépondreSupprimerNouvelle tonte + eau + un peu de soleil --> repousse rapide!
Utopie : en Normandie, ce que vous décrivez est de toute façon notre lot jusqu'à la fin d'octobre (minimum), alors, autant s'y résigner tout de suite...
RépondreSupprimerEt puis, par chez nous, le soleil est tout sauf garanti !
A Bicêtre, il fait beau, ce qui prouve que les Bretons n'y sont pour rien.
RépondreSupprimerAh, mais je ne pensais pas à ceux de la diaspora bicêtro-kremlinoise !
RépondreSupprimerEt quand il pleut à Nîmes, c'est la faute à qui ?
RépondreSupprimerMoi, j'aurais rendu grâces à la Providence si la pluie m'avait permis d'esquiver la corvée.
RépondreSupprimerComme quoi, on décèle les signes que l'on veut !
Politique à courte vue, cher Nicolas II ! Car, ensuite, si l'herbe pousse trop haut et dru, il n'y a plus moyen d'y passer la tondeuse...
RépondreSupprimerDieu la seule vedette qui fait pousser l'herbe ...
RépondreSupprimeriPidiblue aficionado
Et comme dit le proverbe : "Ne pas remettre au lendemain ce que l'on peut faire faire par quelqu'un d'autre le jour même".
RépondreSupprimerEn Bretagne : pluie du soir n'arrête pas l'arrosoir !
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