Tous les mecs le savent : pour une femme qui se barre du domicile conjugal, tout est simple, lumineux, évident, concernant le malheureux encouillé qui reste sur le sable. Ainsi, dans mon cas : « Voyons, tu as un merveilleux Monoprix à cent mètres de ton bureau, regorgeant de bouffe enchanteresse, que le monde entier nous envie : de quoi te plains-tu ? »
Oh ! mais de rien, de rien ! D'ailleurs, j'en reviens. D'abord, le magasin en question était à environ un kilomètre et demi. Ensuite, ce n'était pas un Monoprix regorgeant de sublimes nourritures, raffinées à s'en pisser dessus, mais un "G 20" vendant des trucs bas de gamme et à peine frais aux salauds de pauvres. Enfin, comme on est lundi, c'était fermé.
Pour le coup, je me suis retrouvé au Franprix de la place Georges-Pompidou (déjà, hein...) où j'ai acheté des trucs à peine becquetables. De plus, j'ai failli latter la gueule d'un Indien maigrichon, lequel a essayé de me faire croire qu'une caisse était fermée, alors que, la seconde suivante, il y accueillait une femme (ni jeune ni très jolie, en plus) avec un grand sourire faux cul de Levantin suifeux.
(Oui, je sais que les Indiens ne sont pas des Levantins, mais je suis chez moi, je dis ce que je veux.)
Tout cela à cause de l'Irremplaçable, qui doit être écroulée dans un confortable canapé, cependant que je suis coincé à Levallois, à vous raconter d'insignifiantes conneries. Et continuant de flipper en imaginant Swann pleurant après son ignoble maître dans sa cage grillagée.
Franchement, il y a des jours...
Oh ! mais de rien, de rien ! D'ailleurs, j'en reviens. D'abord, le magasin en question était à environ un kilomètre et demi. Ensuite, ce n'était pas un Monoprix regorgeant de sublimes nourritures, raffinées à s'en pisser dessus, mais un "G 20" vendant des trucs bas de gamme et à peine frais aux salauds de pauvres. Enfin, comme on est lundi, c'était fermé.
Pour le coup, je me suis retrouvé au Franprix de la place Georges-Pompidou (déjà, hein...) où j'ai acheté des trucs à peine becquetables. De plus, j'ai failli latter la gueule d'un Indien maigrichon, lequel a essayé de me faire croire qu'une caisse était fermée, alors que, la seconde suivante, il y accueillait une femme (ni jeune ni très jolie, en plus) avec un grand sourire faux cul de Levantin suifeux.
(Oui, je sais que les Indiens ne sont pas des Levantins, mais je suis chez moi, je dis ce que je veux.)
Tout cela à cause de l'Irremplaçable, qui doit être écroulée dans un confortable canapé, cependant que je suis coincé à Levallois, à vous raconter d'insignifiantes conneries. Et continuant de flipper en imaginant Swann pleurant après son ignoble maître dans sa cage grillagée.
Franchement, il y a des jours...
Didier,
RépondreSupprimerIl faut vous remettre. Votre épouse se barre 10 jours se faire bronzer au soleil pendant que vous continuez à travailler laborieusement pour lui payer ses cures thermales !
Arrêtez immédiatement de faire des courses (sauf l'aspirine et le café) et allez manger avec les copains au resto, non sans oublier de prendre les cuites légendaires qui s'imposent.
Je l'ai invité moi aussi à venir faire une cure thermale à Rueil : au pain sec et à l'eau et je ne suis pas loin de Levallois, mais cela ne le tente pas non plus !
RépondreSupprimerUn seul être vous manque vous savez ce qu'on dit ... même quand c'est une chienne !
iPidiblue hospice des chiens perdus sans collier
Oh les gonzes, la honte quand même ! Un peu de fierté...
RépondreSupprimerDes trucs à peine becquetables? Il faut faire les courses lus souvent pour se tenir au courant de ce qui est becquetable!
RépondreSupprimererreur: je voulais dire plus souvent.
RépondreSupprimerNe me dites pas que vous êtes perdu comme un macho incapable quand l'épouse s'absente!
Nicolas : le soleil en Franche-Comté, début avril, je me marre velu !
RépondreSupprimeriPidimachin: que diriez-vous de demain ou après-demain, à votre convenance ?
Dorham : vous savez de quoi je parle (pardon à Madame ! pas sur la tête ! smiley ! oh, putain, ça fait mal !).
C'est qui, manioc (à part un truc de nègre pas bouffable) ?
(Provoc ! smiley ! provoc ! smiley !)
et ben drôle de troll...
RépondreSupprimerBé ouais, je sais de quoi vous causez, justement, quand elle se taille, je fais comme si j'en avais rien à péter...
RépondreSupprimeril est vrai que chez moi, c'est moi qui fais la bouffe...
Mais en réalité, quand elle est pas là, je mange pas, j'attends...
Il n'y a même pas un camion pizza au Plessis Hebert?
RépondreSupprimerArrêtez de râler.
RépondreSupprimerl'irremplaçable pourrait bien aussi trouver l'adresse de Mauboussin, et vous envoyer la facture.
Oups, me suis trompée d'adresse ! C'est 92 rue Anatole France, ouvert du lundi au samedi.
RépondreSupprimerT'as plus qu'à y retourner demain ! Bon, c'est l'heure de l'apéro ....
Là, je suis d'accord! Un truc de nègre pas bouffable. Mais c'est ce qu'on me faisait bouffer quand j'étais môme, enfin un dérivé dont je veux oublier le nom, qui ressemblait à de la morve cuite, et je ne parle pas du porridge!
RépondreSupprimerVos commentaires sont rafraîchissants tellement ils sont politiquement incorrects, enfin!
Bon, là, ça va être dur à résumer... (En plus, il y a Brahms qui se la père dans l'ordinateur...).
RépondreSupprimerPetit 1) : l'Irremplaçable s'est foutu de ma gueule avec son Monoprix inexistant : je propose qu'on la méprise ouvertement.
Deuxièmement, je n'ai rien contre une cure à Rueil.
Troisièmement, Dorham, je crains pour vous que vous soyez aussi con que moi (ce qui n'est pas peu dire) : embrassez votre épouse de ma part, je la pressens fréquentable.
Olivier p. : je ne crois pas qu'il y ait des camions-comme vous-dites au Plessis-Hébert. Et, de toute façon, je n'irais pas (les vrais réactionnaires qui se respectent ne bouffent pas ce genre de merde...).
Dom : c'est quoi "Mauboussin" ? En tout cas, j'aime bien vous voir traîner par ici (surtout quand ma femme n'est pas là, gniark !).
Manioc : je n'ai rien contre les nègres, ni même contre le manioc, à partir du moment où on ne m'obliger pas à en manger (du manioc, je veux dire).
Aussi con que vous, c'est à dire, névrosé, colérique, casseur, chien-battu, mauvais buveur, toujours des cicatrices à panser (à penser ?), au propre comme au figuré...
RépondreSupprimerVous pressentez bien :
que je suis con,
qu'elle est authentiquement fréquentable...
C'est qu'il lui faut de la patience pour supporter cela...
Mais comme vous, j'ai aussi mes bons cotés...
Dorham : je ne veux pas vous inquiéter inutilement, mais j'ai l'impression qu'on se ressemble.
RépondreSupprimer(Mes condoléances à votre épouse...)
Ba, c'est à dire, tout dépend du point de vue que l'on adopte. Soit, c'est à moi de m'inquiéter parce que je vous ressemble, soit c'est à vous de vous lamenter d'avoir les mêmes tares que moi.
RépondreSupprimerDans les deux cas, ça fait un beau duo de blaireaux...
Et dire que pendant ce temps-là, sans doute, le chien que vous imaginez sombre et sujet d'atroces souffrances intérieures est juste en train de calculer comment rejoindre la chienne qui le tente à deux cages de là et qui le nargue, l'animal !
RépondreSupprimerLa vie est ironique et c'est tant mieux !
:-)
Monsieur Poireau, raté : Swann est "coupé", il n'en a donc rien à foutre des femelles : un peu comme moi, finalement...
RépondreSupprimer(La différence, c'est que Swann n'aime pas du tout le pinard...)
Didier Goux : dommage, j'aimais bien l'ironie !
RépondreSupprimerTant pis alors...
:-)
J'ai une faiblesse hier : je n'ai pas fait de la planterie sur l'analogie du chien coupé et de Didier qui dit "il est comme moi".
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