Après avoir été "banni" d'un salon pullulant de petites Cauzettes accoutrées en kapos de baraquements - première étoile -, me voici à présent censuré dans un commentaire, ce qui me vaut, j'estime, la deuxième distinction évoquée dans le titre.
Visitant hier le blog d'une dame-de-gauche pour la première fois, vaguement éditrice si j'ai bien compris, je parcours deux ou trois articles par lesquels notre exploitante de papier imprimé chante les vertus et les délices du Salon du livre sur tous les tons de la gamme. Sans faire la plus légère allusion à ce qui a créé une retentissante polémique autour du salon en question. Pour le coup, légèrement étonné, croyant à une étourderie, j'y vais de mon petit commentaire. (Allez-y, je vous attends...)
Commentaire que je retrouve donc, il y a quelques minutes, dans l'état où vous venez de le lire et assorti de la docte leçon qui le suit. C'est ce qui s'appelle de la modération, paraît-il. Le passage caviardé disait : ses boycotts antisémites des dictatures arabes - rien de plus, rien de moins. Voilà donc qui est suffisant, de nos jours, pour être censuré au nom de la sacro-sainte "incitation à la haine raciale".
Je trouve cette Dame Irène rien moins qu'irénique. Mais réjouissons-nous : elle a réussi à vendre trois ou quatre livres. Sans mécontenter personne.
Visitant hier le blog d'une dame-de-gauche pour la première fois, vaguement éditrice si j'ai bien compris, je parcours deux ou trois articles par lesquels notre exploitante de papier imprimé chante les vertus et les délices du Salon du livre sur tous les tons de la gamme. Sans faire la plus légère allusion à ce qui a créé une retentissante polémique autour du salon en question. Pour le coup, légèrement étonné, croyant à une étourderie, j'y vais de mon petit commentaire. (Allez-y, je vous attends...)
Commentaire que je retrouve donc, il y a quelques minutes, dans l'état où vous venez de le lire et assorti de la docte leçon qui le suit. C'est ce qui s'appelle de la modération, paraît-il. Le passage caviardé disait : ses boycotts antisémites des dictatures arabes - rien de plus, rien de moins. Voilà donc qui est suffisant, de nos jours, pour être censuré au nom de la sacro-sainte "incitation à la haine raciale".
Je trouve cette Dame Irène rien moins qu'irénique. Mais réjouissons-nous : elle a réussi à vendre trois ou quatre livres. Sans mécontenter personne.
Vous voyez que le rewriting a un long avenir devant lui, une autoroute je dirais, maintenant que l'édition électronique est en route ...
RépondreSupprimeriPidiblue l'avenir dure longtemps
En fait, je songe à abandonner le rewriting pour faire modérateur à plein temps : je louerai mes services sur les différents blogs de gauche pour y traquer les pensées incorrectes à la place des tauliers-citoyens. Je sens que la fortune est à ma botte.
RépondreSupprimerJ'ai lu votre 1er commentaire (sur ledit site) : vous vous êtes mis au langage SMS ?
RépondreSupprimerEn fait je me demande cher Didier s'il s'agit d'une censure de gauche ou d'une censure commerciale ? Vous savez que les deux existent et qu'elles se surajoutent souvent les unes aux autres...
RépondreSupprimerPour votre rôle de modérateur vous devriez aller piocher du côté des sites de grandes surfaces où l'on vend tout au meilleur prix et dans la meilleure qualité et patati patata ... c'est là où la vie est meilleure !
iPidibulle attaché commercial
À propos de trollage (rien que d'écrire ce mot, j'en ai des nausées), est-ce que vous pourriez demander à votre Cher Pierre Driout de cesser de venir faire ses petites crottes chez moi, Didier Goux ? Il n'a même pas le courage de les signer de son nom, que c'en est pathétique.
RépondreSupprimerComment appelle-t-on ça, une personne qui vous poursuit de son courrier nauséabond, chaque jour que Dieu fait, et qui n'a que le registre scatologique à sa portée ?
Je précise que la censure commercial est souvent appelée chez les initiés "censure de droite" !
RépondreSupprimeriPidiblue au parfum (trademark)
Mon cher Georges,
RépondreSupprimerJe suis innocent comme l'agneau qui vient de naître ! Et pour cause je ne puis accéder à votre site, j'ai un problème avec mon ordinateur qui me bloque youtube, dailymotion et votre merveilleuse prose !
Ceci dit engueuler de ma part copieusement le petit crotteur !
iPidiblue presque ami de Georges
Au fait Georges si vous voulez que je vous lise et vous commente faites une autre page sans video avec rien que du texte et quelques images ...
RépondreSupprimeriPidiblue conseil d'ami
"Irène" et "irénique" : ha, ha, ha... Bonjour la potacherie.
RépondreSupprimerNéanmoins, mon cher Didier, je m'étonne que vous soyez étonné de voir votre commentaire modéré lorsque vous associez les boycotteurs, en bloc, à des antisémites ou des complices de dictatures ! Cela vous amuse peut-être de jouer les victimes de la censure, mais il y a une chose qui s'appelle la loi sur la diffamation, et nul n'est censé l'ignorer.
Oh, et quant à prétendre que je cherchais là seulement à "ne mécontenter personne"... C'est bien mal me connaître. Il vous aurait suffit de parcourir un peu mon blogue pour voir que je n'ai pas l'habitude de mâcher mes mots ! Mais je n'ai aucun désir non plus de tomber dans l'amalgame. Ni dans la gueulante gratuite.
À bon entendeur, salut ;-)
Ça c'est extraordinaire ! Exprimer une opinion politique, dorénavant, c'est tomber sous le coup de la loi sur la diffamation (ou d'autres lois, sans doute). Ou même constater un fait. Où l'on voit le déni de réalité qui nous vient, massif, d'une gauche en décomposition. Quand on n'arrive plus à justifier une politique, à l'asseoir sur un consentement et une compréhension populaires, mais qu'on se pense néanmoins dépositaire d'une vérité et d'un sens historiques, on en vient à légiférer sur tout et n'importe quoi.
RépondreSupprimerDidier, je serai de mes quatre pattes le témoin à décharge (publique) devant la Net Inquisition pour certifier que votre commentaire n'était pas (pour une fois) un trollage éhonté. J'irai même pour ce cas jusqu'à faire semblant de ne pas allumer votre bûcher enfin rédempteur.
RépondreSupprimerCeci étant, il ne faut pas trop je pense allumer les petits éditeurs (ou éditeures de mes deux) : Le un dixième d'entre eux font un travail merveilleux face à la nullité littérarturesque débile à chier depuis près d'un siècle des grands majors en ce domaine.
Martin Lothar Ipudespiébleu, Zorro des Diteurs.
Didier, ce que je me demande, c'est ce que vous alliez faire là-bas. En somme, vous n'avez eu que ce que vous méritiez.
RépondreSupprimerFinalement, il n'y a que Mifa pour poser la seule question qui vaille...
RépondreSupprimerdidier, t'en fais en club ?
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