mardi 12 juin 2007
Les pileux au pilon (voire au pilori)
Tout-à-l'heure, au moment de l'apéro-terrasse, l'Irremplaçable et moi nous mettons à parler poils (on est un couple assez méchamment babillard et multi-sujets).
Je lui redis ma profonde désespérance face à cette mode rase-touffe (ou épile-foufoune) qui semble sévir actuellement chez les femmes, jeunes et moins jeunes (j'en parle par ouï-dire : je ne fréquente plus ces jardinets-là). Moi, j'étais déjà triste de la désertification des féminines aisselles, alors vous pensez...
Et j'ajoute que cette coutume barbaresque est en train de gagner, d'après ce que je peux en lire dans les magazines idoines, la partie mâle de la population : les torses virils et velus si chers à Camus pas-Albert-l'autre seraient en voie de raréfaction, voire de disparition plus ou moins programmée.
L'Irremplaçable me signale alors, une lueur nettement réprobatrice dans ses grands yeux clairs, que c'est désormais la mode, au Québec, chez les joueurs de hockey, de s'épiler (ou raser) le pubis. Là-dessus, un silence grave, recueilli même, lourd d'avenir qui déchante et défrise, et elle ajoute, la voix nette :
" Si c'est pour pour me retrouver avec un homme sans poils, je préfère encore coucher avec une fille ! "
Je ne peux pas lui donner entièrement tort.
Les pileux au pilon (voire au pilori)
Tout-à-l'heure, au moment de l'apéro-terrasse, l'Irremplaçable et moi nous mettons à parler poils (on est un couple assez méchamment babillard et multi-sujets).
Je lui redis ma profonde désespérance face à cette mode rase-touffe (ou épile-foufoune) qui semble sévir actuellement chez les femmes, jeunes et moins jeunes (j'en parle par ouï-dire : je ne fréquente plus ces jardinets-là). Moi, j'étais déjà triste de la désertification des féminines aisselles, alors vous pensez...
Et j'ajoute que cette coutume barbaresque est en train de gagner, d'après ce que je peux en lire dans les magazines idoines, la partie mâle de la population : les torses virils et velus si chers à Camus pas-Albert-l'autre seraient en voie de raréfaction, voire de disparition plus ou moins programmée.
L'Irremplaçable me signale alors, une lueur nettement réprobatrice dans ses grands yeux clairs, que c'est désormais la mode, au Québec, chez les joueurs de hockey, de s'épiler (ou raser) le pubis. Là-dessus, un silence grave, recueilli même, lourd d'avenir qui déchante et défrise, et elle ajoute, la voix nette :
" Si c'est pour pour me retrouver avec un homme sans poils, je préfère encore coucher avec une fille ! "
Je ne peux pas lui donner entièrement tort.
Votre irremplaçable épouse a mille fois raison cher Didier: je préfère nettement aussi coucher avec une femme plutôt qu'un homme épilé.
RépondreSupprimerRemarquez je préfère tout aussi nettement une femme à un homme poilu...
Pourquoi chez les joueurs de hockey ? On joue à poil, asteure, au Québec ? Ou bien y a-t-il des troisièmes mi-temps un peu spéciales dans les vestiaires ?
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