jeudi 30 octobre 2014

Opus 111 et autres joies de l'automne



Parce qu'il en fut question en septembre.

17 commentaires:

  1. "S'aimer, passé un certain âge, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est se diriger ensemble vers le même hôpital."

    Vous débordez d'optimisme !

    Pour ce qui est de l'importance des lectures dans votre précédente livraison, je m'étais fait la même réflexion que Catherine...

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    1. L'optimisme, c'est de s'imaginer que l'hôpital peut encore quelque chose pour nous.

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  2. Je dois malheureusement confirmer vos craintes : vous êtes un bel exemple de cécité volontaire.

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    1. Bizarrement, vous n'avez pas abordé le sujet de la surdité volontaire, alors que la présence de Georges dans votre périmètre de sécurité aurait dû vous alarmer. Il est vrai que si l'on tient compte de sa peinture, il mobilise les deux réflexes défensifs à lui tout seul, ce qui est assez déloyal.

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  3. Malin, le coup de provoquer Camus. Comme ça il vous répond et vous faites de votre Journal quelque chose de plus littéraire et presque de mondain.
    Fripon que vous êtes !

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  4. Je suis ravi que Camus et vous soyez rabibochés, mais du point de vue romanesque la conclusion est un peu décevante. On pouvait s'attendre à une sorte de choc des titans, et rien...

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    1. Je ne fais le titan que durant les années bissextiles…

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  5. Ah, Six feet under, un grand moment. Avec la meilleure réplique de toute l'histoire des séries télévisées :

    - Elle (La mère de la famille de croque-morts, vient d'emménager chez son amant russe, sans l'avertir. La première chose qu'elle fait est de tout ranger, et de mettre des morceaux de papier peint avec des motifs de cerise au fond de ses tiroirs)
    - Lui (lourd accent russe) : mais, Ruth, pourquoi ai-je besoin de petites cerises au fond de mes tiroirs?
    - Elle : (avec un grand sourire) je ne sais pas pourquoi, mais tu en as besoin.

    Toute la magie des relations hommes/femmes en deux lignes de dialogue, n'est-ce pas merveilleux?

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  6. Vraiment, non, je n'y arrive pas (Serkin)…

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    1. Je me doutais de votre réaction ! J'y ai même pensé en choisissant cette vidéo plutôt qu'une autre. Si je l'ai fait, ce n'est pas dans le but premier de vous agacer les dents, mais parce que c'est la seule version que j'ai connue durant des années.

      Promis, j'le f'rai p'us…

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  7. Non, non, vous avez raison de l'avoir mise ! Je suis comme un poisson avec une pomme, devant cette interprétation, je ne sais pas par quel bout la prendre. C'est sans doute moi qui ne suis pas en mesure de comprendre, pas encore…

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    1. C'est pourtant très simple : à chaque fois que l'interprète lit une note sur sa partition, il appuie sur une touche du clavier.
      On n'a pas idée d'être ignorant à ce point, quand même...

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  8. Demain Serkin...après-demain Les Beatles...qui sait ce que le grand feuilleton Georges contre le reste du monde nous réserve comme épisodes improbables...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.