J'ai en effet de "vieilles connaissances" à Paris. Et, même, ce qu'on appelle des amis, je crois. Mais il se trouve que nous ne nous voyons plus depuis déjà quelques années.
En réalité, ça va sans doute vous amuser, si Catherine et moi avons décidé de ne pas bouger d'ici, c'est en nous disant que nous avions tous nos médecins sous la main, et qu'en retrouver d'autres risquait d'être très emmerdant…
Oh mais rien n'est sûr ! J'ai souvent la bougeotte et des envies d'ailleurs, des fois (souvent) quand j'y suis allée, ça passe. Il faudrait quand même que nous allions faire un tour à SPM…
Geneviève Dormann avait écrit "Amoureuse Colette", une biographie que j'avais beaucoup appréciée. J'ai bien aimé les "Claudine", mais j'ai préféré "L'envers du music-hall".
Renoncer à la belle Corrèze au nom de contacts médicaux relève de la haute trahison et peut-être d'un mauvais calcul : quand tous vos praticiens auront pris une retraite bien méritée et/ou passé l'arme à gauche peut-être regretterez-vous de vous être montrés pusillanimes...
Mais qu'ont ils donc ces gens érudits à vouloir se refugier en Corrèze. Réponse simple ,mou président l'ayant déjà ruinée, il ne reviendra plus s'y établir un peu comme les sauterelles qui ne dévastent deux le même endroit
Je ne sais mais à la lecture de votre journal (et de ce blog), il me semble que la musique n'est plus très présente dans vos journées... Cette disparition, si cela en est bien une, est étrange.
C'est tout à fait exact. Cela tient sans doute au fait que, au fond, je n'écoute vraiment de musique que quand je suis seul dans ma voiture ; ce qui ne m'arrive plus guère qu'une fois par semaine au maximum.
Pour ce qui est musique, il faut surtout regretter la disparition de Georges ! Evidemment je ne suis pas prête à tondre votre pelouse ou faire votre vaisselle, Georges, mais sachez que le coeur y est, ne serait-ce que pour que vous nous envoyiez, comme autrefois, à propos de Cervantès, nous amuser d'un numéro des Marx Brothers au piano !
C'est le syndrome "c'est toujours mieux chez les autres". Pour vivre sur deux lieux je le déconseille aux âmes sensibles, c'est quelque part déstabilisant et je n'envie plus du tout les membres de la jet-set qui sont toute l'année à gauche ou à droite sans être jamais nulle part. Ceci dit l'avantage c'est qu'on peut passer pour quelqu'un de riche et se la péter mine de rien...
Même à dix heures du matin, j'en avais l'eau à la bouche en lisant le menu du restau corrézien.
RépondreSupprimerPied de porc désossé, miam miam ....
hélène dici
C'était vraiment délicieux : si vous passez par Rodez, n'hésitez surtout pas.
SupprimerJ'ai en effet de "vieilles connaissances" à Paris. Et, même, ce qu'on appelle des amis, je crois. Mais il se trouve que nous ne nous voyons plus depuis déjà quelques années.
RépondreSupprimerEn réalité, ça va sans doute vous amuser, si Catherine et moi avons décidé de ne pas bouger d'ici, c'est en nous disant que nous avions tous nos médecins sous la main, et qu'en retrouver d'autres risquait d'être très emmerdant…
Oh mais rien n'est sûr ! J'ai souvent la bougeotte et des envies d'ailleurs, des fois (souvent) quand j'y suis allée, ça passe. Il faudrait quand même que nous allions faire un tour à SPM…
RépondreSupprimerGeneviève Dormann avait écrit "Amoureuse Colette", une biographie que j'avais beaucoup appréciée. J'ai bien aimé les "Claudine", mais j'ai préféré "L'envers du music-hall".
RépondreSupprimerC'est très bien, les Claudine…
SupprimerChien fou ? Pourquoi pas ? Et puis que tout le monde ne soit pas moi me rend un peu original !
RépondreSupprimerRenoncer à la belle Corrèze au nom de contacts médicaux relève de la haute trahison et peut-être d'un mauvais calcul : quand tous vos praticiens auront pris une retraite bien méritée et/ou passé l'arme à gauche peut-être regretterez-vous de vous être montrés pusillanimes...
RépondreSupprimerQuand mes praticiens auront pris leur retraite, je serai mort.
SupprimerOh, mais Fredi M. a un don pour la narration.
RépondreSupprimerEt hop, je n'ai pas boudé mon plaisir à le lire
hélène dici
Mais qu'ont ils donc ces gens érudits à vouloir se refugier en Corrèze.
RépondreSupprimerRéponse simple ,mou président l'ayant déjà ruinée, il ne reviendra plus s'y établir un peu comme les sauterelles qui ne dévastent deux le même endroit
Votre argument n'est pas mauvais !
SupprimerJe ne sais mais à la lecture de votre journal (et de ce blog), il me semble que la musique n'est plus très présente dans vos journées... Cette disparition, si cela en est bien une, est étrange.
RépondreSupprimerC'est tout à fait exact. Cela tient sans doute au fait que, au fond, je n'écoute vraiment de musique que quand je suis seul dans ma voiture ; ce qui ne m'arrive plus guère qu'une fois par semaine au maximum.
SupprimerPour ce qui est musique, il faut surtout regretter la disparition de Georges !
SupprimerEvidemment je ne suis pas prête à tondre votre pelouse ou faire votre vaisselle, Georges, mais sachez que le coeur y est, ne serait-ce que pour que vous nous envoyiez, comme autrefois, à propos de Cervantès, nous amuser d'un numéro des Marx Brothers au piano !
C'est le syndrome "c'est toujours mieux chez les autres". Pour vivre sur deux lieux je le déconseille aux âmes sensibles, c'est quelque part déstabilisant et je n'envie plus du tout les membres de la jet-set qui sont toute l'année à gauche ou à droite sans être jamais nulle part. Ceci dit l'avantage c'est qu'on peut passer pour quelqu'un de riche et se la péter mine de rien...
RépondreSupprimerUne équipée qui se termine en enlisement, en somme !
RépondreSupprimer"Qui n'est plus à son aise en Corrèze et s'enlise en Somme doit rentrer au bercail quand ça caille..." Euh, j'ai honte là...
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