Après une accalmie d'environ une heure, il pleut de nouveau à pierre fendre.
Ou il vente comme vache qui pisse.
Ou il gèle à gros flocons.
Ou il neige à décorner les bœufs
Le dérèglement climatique est désormais si violent, si total, si absolu, si sacré, que même les plus éprouvées des vieilles formules françaises en perdent leur latin.
Nous, on serait plutôt en surproduction ! Comme quoi, personne n'est jamais content de son sort…
RépondreSupprimerEt nous, en Bretagne, alors !
RépondreSupprimerLes grincheux, qui la mettaient en sourdine depuis quelques années, redressent la tête : " Nous vous l'avions bien dit : en Bretagne, il pleut l'été ; et quand ce n'est pas un été pourri, ce sont les odeurs.."
Galatine.
Jolie photo. Ici aussi il drache des Suisses.
RépondreSupprimerÉtrange mois d'août.
Je n'allais quand même pas sortir par un temps pareil, si ?
SupprimerChez nous (à Loudéac), le réchauffement climatique a eu lieu ce matin.
RépondreSupprimerLoudéac ce matin : 12 degrés ! En effet, c'est le Sahel...
SupprimerDG
Le fond de l'air effraie, en effet.
SupprimerNous sommes voisins, pour ainsi dire : j'habite à 25 kilomètres de chez vous, près de Moncontour..
SupprimerGalatine.
Chez moi en Provence il pleut du hollandais et du belge. Souvent des ondées de cons et de beaufs ivres de maugiteau et de sprisste !
RépondreSupprimerDéménagez donc en Lorraine ou en Picardie : vous serez tranquille…
SupprimerEt dans mes parages il vient de tomber une tripotée de curés à vélo.
RépondreSupprimerC'est sans doute à cause du réchauffement ecclésiastique...
SupprimerDG
Vos perturbations sont très ... perturbantes .
SupprimerBibi
Un Latino sobre ? Et puis quoi encore ?
RépondreSupprimerCela dit, vous pourriez toujours tenté votre chance avec l'Argentin que j'évoquais ici même il y a quelques jours, Julio Cortazar. En privilégiant ses recueils de nouvelles : Les Armes secrètes, Octaèdre, Tous les feux le feu ou encore Façons de perdre.
Ou encore un autre Argentin, Ernesto Sabato, et son roman : Héros et Tombes
Et avez-vous lu Jorge Luis Borges (encore un Argentin, décidément…). Si non, commencez par son recueil de nouvelles Fictions.
Bizarre, je trouve, moi-je, que tout est normal, le vent, la pluie, l'orage, la chaleur ont toujours existé, toujours. Même le froid, la grêle et la neige. Même en excès, et même en non-excès.
RépondreSupprimerLes gens ne baisent pas assez. Les gens parlent trop.
Entre les deux la météo imbécile.
Mais je me demande si le réchauffement sexuel que vous préconisez n'aurait pas une très fâcheuse influence sur le climat…
SupprimerBrigitte -> " les gens ne baisent pas assez" : vous avez tout à fait raison...
RépondreSupprimerRPH