« "Je ne voudrais pas vous inquiéter, mais vous êtes en très mauvaise santé. Un pouls anormalement élevé, une tension préoccupante, et au moins quinze kilos de trop." Sa main s'abattit sur mon ventre. "Le fric que vous avez dépensé pour votre goutte suffirait à faire vivre un village africain." Là-dessus, elle m'administra un tranquillisant et m'interdit un pousse-café. »
Jim Harrison, Faux soleil.
Jim Harrison, Faux soleil.
C'est une projection ?
RépondreSupprimerJe savais que j'aurais droit à un truc du genre...
RépondreSupprimerEt je me demande si on est réellement bien placé pour les leçons de morale diététique, quand on est en train de s'empiffrer de spécialités franc-comtoises !
C'est un truc récurrent chez Harrison, l'obsession du bien-manger pour pas mal-grossir, voire pour pas mal-crever d'un vilain infarctus...
RépondreSupprimerCeci dit, j'ai mal au bide en fait...
RépondreSupprimer"CeLA dit", Monsieur Dorham !
RépondreSupprimerJe sais Didier, mais ça sonne mieux avec ceci, c'est plus musical et altéré...ça fait alitération...
RépondreSupprimer"Cela dit", ça fait chanteur à la croix de bois...
Ceci-cela ... de morteau !
RépondreSupprimeriPidiblue cervelas
En même temps, qu'irait donc faire un village africain d'une telle quantité d'alcool ? N'allons pas non plus les détourner de leur droit chemin sous prétexte de vivre sainement !
RépondreSupprimer:-)
Ouf en voyant les premières lignes j'ai cru qu'il s'agissait de vous... Je suis rassurée. Vous râlez toujours mais par citation interposée, c'est que ça va un peu mieux !
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