Au premier plan, le gros con (Didier Goux pour les intimes) qui fait semblant d'être journaliste. Au second plan, l'éditeur (Gérard de Villiers pour la terre entière, plus deux ou trois planètes annexes) qui fait croire au journaliste qu'il va le payer dès la semaine suivante. Le suspense est à son comble, chacun de ces deux grands fauves devant 4000 € à l'autre.
Qui va gagner ? Qui va mourir ? Qui dispose de cinquante bouteilles d'apéro sur sa table basse et n'offre même pas un verre d'eau à son visiteur ? Qui fait semblant de noter des trucs dont il n'a rien à foutre ? Bref : Kibezki ?
Ah, je me disais aussi, que je ne reconnaissais pas le Marcheschi, au mur.
RépondreSupprimeret qui prend la photo ?
RépondreSupprimerD'ailleurs, ce tableau, je pense que c'est un hommage de Villiers à Bénédicte Desforges. Il lui doit bien ça.
RépondreSupprimerGeorges, ça va pas la tête ?
RépondreSupprimer(je rigole toute seule comme une andouille, là...)
Mais si mais si, vous êtes le Harry Bosch français, tout le monde sait ça ! Comment Villiers pourrait-il l'ignorer ?
RépondreSupprimerGérard ! putain, la politesse ...
RépondreSupprimeriPidiblue en Marcel
Les apéros ont l'air d'avoir souffert avant que l'un des deux se soit mis au travail ...
RépondreSupprimeriPidiblue mauvaise langue
Je signale (avant d'aller au lit) que la photo est "créditée"...
RépondreSupprimerCréditée certes, mais avec un nom imprononçable, on vous en laisse le soin.
RépondreSupprimerdes bizettes, y a un des deux monsieurs, on dirait qu'il est mort.