Trois générations de chiens, photographiés au même endroit de la Côte blanche, à quelques centaines de mètres de la maison ; trois chiens qui ne se sont jamais connus les uns les autres. Balbec d'abord, qui occupe la photo “qui est dans la photo”, puis Elstir, son successeur bernois…
… et, ce matin même, Charlus, dont on notera que sa pilosité crânienne a évolué de telle façon qu'il ne ressemble plus du tout au punk qu'il était vers trois ou quatre mois, mais qu'il prend chaque jour des allures de plus en plus donaldo-trumpiennes. D'ici à ce qu'il bombarde la Corée du Nord et nous brouille avec les mollahs iraniens, il n'y a pas des kilomètres.
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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.