Grand éclat de rire sardonique, en apprenant que la consternante Fred Vargas
s'était trouvé une nouvelle noble cause à défendre, sur le mode : « Si
la terre se réchauffe encore d'un degré, on va tous mourir dans
d'atroces souffrances, et les petits oiseaux aussi. ». En un sens, que ce soit cette pie grièche qui
le piaille a quelque chose de réconfortant : n'est-ce pas elle qui, déjà,
avait pondu un bel opuscule afin de nous persuader de la totale
innocence du multi-assassin Cesare Battisti ? Tant va la cruche à l'eau qu'à
la fin… elle continue de jacter. Alors qu'un minimum de pudeur, ou
simplement de sens du ridicule, aurait dû fermement l'inciter à suturer
son claque-sottise au moins jusqu'au siècle prochain : pars vite et
reviens tard, eh, Freddasse !
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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.