Enfin... Je commençais à être en manque, moi. Dans la foulée, commandé trois Westlake, pas chez Momox, mais chez Recyclivre. Appris que vous n'aimiez pas Blondin. Peut-on, sans vous commander, nous dire pourquoi ?
Ce blog n'a pas pour "vocation" de vous permettre de vider vos querelles avec d'autres personnes que moi : depuis le temps, vous devriez tout de même l'avoir compris.
Aux foules des lecteurs : suis- je le seul à recevoir le journal mensuel en lettres blanches sur fond blanc ( pas génial...), alors que je reçois les billets en lettres blanches sur fond noir ( bien mieux... ). Probablement... Je n'ai jamais eu de chance, dans ma vie !
Ouhlala ! 650 km et des brouettes, d'un trait, c'est fatiguant. Le village est idéalement situé, pas loin de l'océan et au bord d'un lac. Ma foi, il ne manque plus que la montagne et on est au pays de Cocagne. Hélène
Votre passage sur le "mystère Rimbaud" me séduit d'autant plus que j'en approuve totalement le contenu. Lors de mes études de lettres, j'avais commis un "texte libre" (pratique encouragée par un enseignant) intitulé si je me souviens bien "Trente-sept ans pour jouer avec"où je développais la même idée. Il me semble que sa correspondance ultérieure, notamment avec sa mère, montre bien qu'après avoir vécu quelques années folles suivies de quelques vicissitudes, le brave Arthur était progressivement passé aux choses sérieuses : gagner des sous afin de pouvoir rentrer "vivre parmi les siens le reste de son âge". En bon bourgeois.
Avis intéressant… et tout à fait recevable ! D'autant plus recevable que vous avancez l'idée que, finalement, Rimbaud n'était pas un littéraire, un "gendelettre" dans l'âme, ce qui n'est pas opposé à ce que je disais et qui, pareillement, réduit le "mystère Rimbaud" comme peau de chagrin. J'avoue être moins convaincu par votre "paradoxe"…
Et puis, quoi : ce n'est tout de même pas un Auvergnat qui va m'apprendre, à moi, Ardennais de souche certifiée, qui était Rimbaud ! Est-ce que je viens vous expliquer, moi, qui était Gandilhon Gens-d'Armes, hein ?
Rimbaud a quitté la littérature pour le commerce des armes, et il a eu bien raison. Dans le commerce des armes, vous discutez avec de farouches guerriers et non avec de pâles scribouillards. A bon entendeur ....
( à Rabouilleur) Vous vous faites une étrange idée du commerce des armes, dans lequel on ne négocie qu' avec des gens n'ayant jamais vu ne serait-ce qu'un pistolet à bouchon de leur vie, mais assez bien placés pour prélever d'énormes commissions sur des sommes énormes.
à Marco Polo : je me demande souvent si les œuvres de Rimbaud auraient eu le même succès s'il avait commencé à les rédiger la soixantaine passée, une fois fortune faite dans le commerce des armes. .
Je suis persuadé que, dans l'admiration que nous portons à Rimbau d ( pour ceux qui l'admirent), sa jeunesse joue inconsciemment un certain rôle; et peut-être même n'aurait- il pas pu composer ses poèmes au- delà d'un certain âge, et qu 'à la soixantaine, les voyelles perdent- elles leurs couleurs.
à DG : N'avez-vous pas remarqué que les questions qu'on qualifie d' "idiotes" parce qu'on ne se les est jamais posées, qu'on en ignore les réponses et qu'on ne peut pas les trouver sur Wikipédia sont les seules intéressantes ?
Absence non remarquée par les medias d'Annie Ernaux à Brive : la vérité se lit en creux. La bernique de Cergy-Pontoise n’a pas jugé bon de se déplacer à la foire aux bovins de Brive-la-gaillarde, grand-messe des scribouillards et de leurs proxénétes dans le département maudit de la Corrèze.
" Qui ne dit mot consent " ? Ce n'est pas une contrepèterie, qui est une inversion de lettres ou de syllabes entre au moins DEUX MOTS d'une phrase, et aboutissant en général à un sens paillard ou burlesque.
Ah ben il est temps…
RépondreSupprimerNicolas
Eh ! oh ! je ne suis pas général en chef chez Orange, moi !
SupprimerEnfin... Je commençais à être en manque, moi. Dans la foulée, commandé trois Westlake, pas chez Momox, mais chez Recyclivre. Appris que vous n'aimiez pas Blondin. Peut-on, sans vous commander, nous dire pourquoi ?
RépondreSupprimerJ'ai aimé Blondin dans ma jeunesse… et aujourd'hui, sa manie des jeux de mots m'agace : l'impression qu'il "fait le malin", quelque chose comme ça.
SupprimerEt mon long commentaire d' hier soir, si bien fignolé, alors ?
RépondreSupprimerCe blog n'a pas pour "vocation" de vous permettre de vider vos querelles avec d'autres personnes que moi : depuis le temps, vous devriez tout de même l'avoir compris.
SupprimerBien... mais je défie toute personne ignorant qui est cette personne de deviner qui est cette personne.
SupprimerOn sent que vous en avez bavé et que la digestion a été difficile...
RépondreSupprimerÀ ce point-là ?
SupprimerAux foules des lecteurs : suis- je le seul à recevoir le journal mensuel en lettres blanches sur fond blanc ( pas génial...), alors que je reçois les billets en lettres blanches sur fond noir ( bien mieux... ).
RépondreSupprimerProbablement... Je n'ai jamais eu de chance, dans ma vie !
Vous devriez demander conseil à Nicolas…
SupprimerContrairement à ce qu'il prétend, il n'y connaît rien.
SupprimerOuhlala ! 650 km et des brouettes, d'un trait, c'est fatiguant.
RépondreSupprimerLe village est idéalement situé, pas loin de l'océan et au bord d'un lac.
Ma foi, il ne manque plus que la montagne et on est au pays de Cocagne.
Hélène
Je ne suis pas fou de la montagne… même quand elle rime avec Cocagne !
SupprimerVotre passage sur le "mystère Rimbaud" me séduit d'autant plus que j'en approuve totalement le contenu. Lors de mes études de lettres, j'avais commis un "texte libre" (pratique encouragée par un enseignant) intitulé si je me souviens bien "Trente-sept ans pour jouer avec"où je développais la même idée. Il me semble que sa correspondance ultérieure, notamment avec sa mère, montre bien qu'après avoir vécu quelques années folles suivies de quelques vicissitudes, le brave Arthur était progressivement passé aux choses sérieuses : gagner des sous afin de pouvoir rentrer "vivre parmi les siens le reste de son âge". En bon bourgeois.
RépondreSupprimerMais la plupart des gens raffole des "mystères". Et peut-être sommes-nous très cruels, de prétendre dissiper celui-là ?
SupprimerAvis intéressant… et tout à fait recevable ! D'autant plus recevable que vous avancez l'idée que, finalement, Rimbaud n'était pas un littéraire, un "gendelettre" dans l'âme, ce qui n'est pas opposé à ce que je disais et qui, pareillement, réduit le "mystère Rimbaud" comme peau de chagrin. J'avoue être moins convaincu par votre "paradoxe"…
SupprimerEt puis, quoi : ce n'est tout de même pas un Auvergnat qui va m'apprendre, à moi, Ardennais de souche certifiée, qui était Rimbaud ! Est-ce que je viens vous expliquer, moi, qui était Gandilhon Gens-d'Armes, hein ?
Rimbaud a quitté la littérature pour le commerce des armes, et il a eu bien raison.
SupprimerDans le commerce des armes, vous discutez avec de farouches guerriers et non avec de pâles scribouillards.
A bon entendeur ....
L'argument ethnique est imparable, je m'incline.
Supprimer( à Rabouilleur) Vous vous faites une étrange idée du commerce des armes, dans lequel on ne négocie qu' avec des gens n'ayant jamais vu ne serait-ce qu'un pistolet à bouchon de leur vie, mais assez bien placés pour prélever d'énormes commissions sur des sommes énormes.
SupprimerLe style, c'est ce qui fait toute la différence. La vie de Rimbaud est un drame, une saison en Enfer, et voilà tout.
SupprimerA noter que les DDE ont disparu depuis plus de 10 ans.
RépondreSupprimerMon côté nostalgico-réac…
Supprimerà Marco Polo : je me demande souvent si les œuvres de Rimbaud auraient eu le même succès s'il avait commencé à les rédiger la soixantaine passée, une fois fortune faite dans le commerce des armes. .
SupprimerVous avez vraiment le chic pour vous poser des questions idiotes ! Ou, disons, pour être plus aimable : sans le moindre objet.
SupprimerJe suis persuadé que, dans l'admiration que nous portons à Rimbau d ( pour ceux qui l'admirent), sa jeunesse joue inconsciemment un certain rôle; et peut-être même n'aurait- il pas pu composer ses poèmes au- delà d'un certain âge, et qu 'à la soixantaine, les voyelles perdent- elles leurs couleurs.
SupprimerFaites vous opérer de la cataracte, vous verrez, ça change la vue !
Supprimerà DG : N'avez-vous pas remarqué que les questions qu'on qualifie d' "idiotes" parce qu'on ne se les est jamais posées, qu'on en ignore les réponses et qu'on ne peut pas les trouver sur Wikipédia sont les seules intéressantes ?
SupprimerLes questions qu'on ne s'est jamais posées et celles que vous me posez sont deux choses très différentes…
SupprimerJeudi 13, vous posez la question essentielle, la plus intéressante !
RépondreSupprimerJ'l'ai pas fait exprès, m'dame, j'vous l'jure !
SupprimerAbsence non remarquée par les medias d'Annie Ernaux à Brive : la vérité se lit en creux.
RépondreSupprimerLa bernique de Cergy-Pontoise n’a pas jugé bon de se déplacer à la foire aux bovins de Brive-la-gaillarde, grand-messe des scribouillards et de leurs proxénétes dans le département maudit de la Corrèze.
Pourquoi la Corrèze serait-elle un " département maudit" ? Parce que vous y habitez ?
RépondreSupprimer« Qui ne maudit, sent con. »
SupprimerContrepèterie corrézienne.
" Qui ne dit mot consent " ? Ce n'est pas une contrepèterie, qui est une inversion de lettres ou de syllabes entre au moins DEUX MOTS d'une phrase, et aboutissant en général à un sens paillard ou burlesque.
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