Alentour l'an de grâce 1550, il se rencontra dans le royaume de France un Monsieur et une Madame Babou, suffisamment sadiques — ou sourds, ou les deux — pour prénommer leur fille Isabeau.
Asteure, je ne désespère pas que le temps me sera laissé de poursuivre assez avant mes très-savantes études dodécacophoniques pour avoir le bonheur de croiser, avant qu'on ne me porte en terre, la route de M. et Mme Lalou, accompagnés de leurs deux filles, Lola et Lili.
Vous avez fumé quelque chose de bizarre?
RépondreSupprimerFaudrait plutôt poser la question aux époux Babou…
SupprimerJe crains, Mr de Pacy, que la dites demoiselle n'ait été que fort peu connue sous ce patronyme étrange, et que les contemporains n'aient eu à faire qu'à Madame de La Bourdaisière... Mais qui sommes-nous pour juger?
RépondreSupprimerPère B.
Espérons pour elle que vous ayez raison !
SupprimerDG
J'ai l'impression que vous ne m'avez pas compris...
RépondreSupprimerDG
L'avait pas l'air jouasse la femme à Babou, et pourtant il lui a mis 8 chiards !
RépondreSupprimerÀ l'époque, c'était une honnête moyenne, sans plus.
SupprimerAh, les Babou du Bas-Berry!
RépondreSupprimerQui, comme on le sait bien, sont parents avec les Vavin du Vivarais.
SupprimerJe parie que vous vous intéressez à la belle Gabrielle...
RépondreSupprimerPlutôt à Catherine de Médicis, en fait. Donc, je considère la d'Estrée comme une pénible rivale, forcément…
SupprimerEt voilà que je mélange Gabrielle avec Diane, asteure !
SupprimerDG
Si le patronyme du père avait été Babou-Bibot de la Bubaubie, la compréhension de Monsieur Fredi M. en eût été facilitée.
RépondreSupprimerC'est normal que Babou 1 fasse le singe.
RépondreSupprimerC'est parce qu'on l'a installé au bas bout de la table : il est vexé…
SupprimerVoilà ce que c'est que de mélanger les Babou !
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