Très bon, ce mois de février. La blague sur les trans-parents est excellente. Mais je m'arrête : je ne voudrais pas faire mon petit Proust flattant le grand Montesquiou.
Quelques coquilles subsistent en effet, d'importance mineure. Sinon pour l'augmentation de votre retraite en ce début d'année, il est possible (tout le monde n'est pas concerné) qu'elle soit rognée en mars par une augmentation de la CSG. Donner d'une main, reprendre de l'autre...
J'ai bien rigolé le 20 février , six heures : "Cher Monsieur... cerveau comtal." , puis le 23 février le coup-coût de l'imprimante. Les trans-parents (et d'autres) me ravissent.
La rue du Sommerard dans son immense bonté vous réservait un autre clin d'oeil littéraire, tout du moins son voisinage proche. A cette époque le musée de Cluny n'existait pas encore et les cafés Sorbon et Select faisaient face à l'inamovible Champo... Il suffisait alors de lever les yeux pour y découvrir ce bon vieux Marcel et son cours privé.RL
Depuis une bonne dizaine d'années, je lis chaque mois votre "journal" avec beaucoup d'intérêt et de plaisir. Ce plaisir est accru lorsque vous évoquez l'inépuisable Proust, un de mes trois écrivains préférés. "Vous savez que je n'aime pas écrire" est vraiment délectable. Quant aux deux extraits de lettres à Bibesco, ils atteignent un degré de démence labyrinthique difficilement égalable. Oui, c'est du Raymond Devos, mais du Devos au carré. Continez à nous parler du petit Marcel ! Alain Martzolf
"L' Allemagne paiera" bordel, et c'est même pour cela que vous étiez en garnison avec votre famille en Allemagne, mais geste commerçant assez classe qui devrait créer de la viralité autour de votre compte vendeur et donc préparez-vous à faire plus de commandes...Je rappelle toujours que Jeff Bezos a commencé comme cela, à vendre des livres dans sa case...il est encore temps pour vous. Pour le coup du tabac, je peux comprendre, à l'époque Churchill et CDG pouvaient fumer dans leur bureau donc sans interrompre le travail ce qui n'est plus le cas ajd, mais il faut tout de même être sacrément accroc pour ne pas résister 5 minutes à l'envie de fumer, l'odeur de tabac que trimballe quelqu'un peut aussi être pénible et puis j'aime bien le droit de discriminer à l'embauche sur des critères tout à fait subjectifs...
C'était au cinquième, sans ascenseur (il y en a un aujourd'hui), mais il n'y avait pas de sixième, ce qui renvoie dans l'imaginaire l'appartement du dessus dont parle Cortazar. Mais on loge très bien dans l'imaginaire, non ?
Mais que va devenir la "boulangerie de remplacement" ?
RépondreSupprimerGrave question en effet...
SupprimerDG
Très bon, ce mois de février. La blague sur les trans-parents est excellente. Mais je m'arrête : je ne voudrais pas faire mon petit Proust flattant le grand Montesquiou.
RépondreSupprimerVous faites très bien le petit Proust ! Continuez : je me sens devenir Montesquiou…
SupprimerHé! Ho! On n'est pas encore en Mars, c'est une année bissextile.
RépondreSupprimerFort : 105 kg.
RépondreSupprimerNe comparons tout de même pas Churchill à un employé de mairie. Quant à l’addiction au mobile, je vous assure que c'est un vrai problème.
Mais si : Churchill, après tout, ne fut que le maire d'une très grande mairie…
SupprimerPas même un mot, un tout petit mot, sur l'événement le plus important de ce mois de février ?
RépondreSupprimerVous êtes un sans-cœur... 😭😭😄
Oh, vous savez : la disparition d'un blog n'est en général un événement important que pour celui qui le tenait. et encore : pas toujours…
SupprimerQuelques coquilles subsistent en effet, d'importance mineure.
RépondreSupprimerSinon pour l'augmentation de votre retraite en ce début d'année, il est possible (tout le monde n'est pas concerné) qu'elle soit rognée en mars par une augmentation de la CSG. Donner d'une main, reprendre de l'autre...
Je n'en serais nullement surpris.
SupprimerJ'ai bien rigolé le 20 février , six heures : "Cher Monsieur... cerveau comtal." ,
RépondreSupprimerpuis le 23 février le coup-coût de l'imprimante. Les trans-parents (et d'autres) me ravissent.
Il faut toujours rigoler le 20 février : c'est une sorte d'impératif moral.
SupprimerLa rue du Sommerard dans son immense bonté vous réservait un autre clin d'oeil littéraire, tout du moins son voisinage proche. A cette époque le musée de Cluny n'existait pas encore et les cafés Sorbon et Select faisaient face à l'inamovible
RépondreSupprimerChampo... Il suffisait alors de lever les yeux pour y découvrir ce bon vieux Marcel et son cours privé.RL
Depuis une bonne dizaine d'années, je lis chaque mois votre "journal" avec beaucoup d'intérêt et de plaisir. Ce plaisir est accru lorsque vous évoquez l'inépuisable Proust, un de mes trois écrivains préférés.
RépondreSupprimer"Vous savez que je n'aime pas écrire" est vraiment délectable. Quant aux deux extraits de lettres à Bibesco, ils atteignent un degré de démence labyrinthique difficilement égalable. Oui, c'est du Raymond Devos, mais du Devos au carré.
Continez à nous parler du petit Marcel !
Alain Martzolf
J'ai un peu abandonné le petit Marcel depuis une dizaine de jours, à cause de l'arrivée du journal de Muray. Mais il revient en force depuis hier…
Supprimer"L' Allemagne paiera" bordel, et c'est même pour cela que vous étiez en garnison avec votre famille en Allemagne, mais geste commerçant assez classe qui devrait créer de la viralité autour de votre compte vendeur et donc préparez-vous à faire plus de commandes...Je rappelle toujours que Jeff Bezos a commencé comme cela, à vendre des livres dans sa case...il est encore temps pour vous.
RépondreSupprimerPour le coup du tabac, je peux comprendre, à l'époque Churchill et CDG pouvaient fumer dans leur bureau donc sans interrompre le travail ce qui n'est plus le cas ajd, mais il faut tout de même être sacrément accroc pour ne pas résister 5 minutes à l'envie de fumer, l'odeur de tabac que trimballe quelqu'un peut aussi être pénible et puis j'aime bien le droit de discriminer à l'embauche sur des critères tout à fait subjectifs...
En fait, moi aussi j'aime plutôt bien le droit à la discrimination. Et pas seulement à l'embauche !
SupprimerC'était au cinquième, sans ascenseur (il y en a un aujourd'hui), mais il n'y avait pas de sixième, ce qui renvoie dans l'imaginaire l'appartement du dessus dont parle Cortazar. Mais on loge très bien dans l'imaginaire, non ?
RépondreSupprimerIl me semblait bien me souvenir que c'était déraisonnablement haut ! Heureusement que le riesling frais servait d'aimant…
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