Comme le dit un fameux proverbe qui mériterait bien d'exister : la conjonction fait le larron. Ce matin, en m'éveillant, j'ai pu comme beaucoup d'entre vous constater qu'il était tombé une dizaine de centimètres de neige, et que celle-ci, bien accueillie, avait décidé de rester. La dernière fois que cela s'était produit, en 2009 – décembre, je crois bien –, j'avais mis deux heures pour gagner Levallois au lieu d'une d'ordinaire. Ce qui, en principe, n'est pas pour faire reculer le vaillant petit rewriter.
Oui seulement, là, depuis deux jours, votre bloguesque serviteur est affligé d'une infection localisée entre le bas de son ventre et le haut de ses cuisses, laquelle le conduit à se rendre aux lieux environ trois fois par heure. Et l'expérience lui a montré, durant ces quarante-huit heures, que le délai maximum pour dénicher un réceptacle, après que le besoin a point, était d'environ trente secondes. Si vous combinez ces deux données hautement contingentes, vous comprendrez que je n'aurais su prendre la route ce matin, sous peine d'arriver à bon port en des états propres à faire sourire de moi et à dégoûter de ma personne les femelles de l'espèce. C'est ce que mon vénéré chef de service a admis sans difficulté notoire ; et, par sa grâce, je me suis donc transformé en télétravailleur qui regarde la neige choir sur le Plessis en attendant que survienne dans sa boîtamel une quelconque tâche à accomplir – laquelle fait la course avec un déjeuner de plus en plus imminent, sans qu'on puisse dire qui des deux va l'emporter.
Il faut que je vous laisse : les toilettes de la Case sont au moins à six mètres de ce bureau, et je ne dois rien négliger...
Oui seulement, là, depuis deux jours, votre bloguesque serviteur est affligé d'une infection localisée entre le bas de son ventre et le haut de ses cuisses, laquelle le conduit à se rendre aux lieux environ trois fois par heure. Et l'expérience lui a montré, durant ces quarante-huit heures, que le délai maximum pour dénicher un réceptacle, après que le besoin a point, était d'environ trente secondes. Si vous combinez ces deux données hautement contingentes, vous comprendrez que je n'aurais su prendre la route ce matin, sous peine d'arriver à bon port en des états propres à faire sourire de moi et à dégoûter de ma personne les femelles de l'espèce. C'est ce que mon vénéré chef de service a admis sans difficulté notoire ; et, par sa grâce, je me suis donc transformé en télétravailleur qui regarde la neige choir sur le Plessis en attendant que survienne dans sa boîtamel une quelconque tâche à accomplir – laquelle fait la course avec un déjeuner de plus en plus imminent, sans qu'on puisse dire qui des deux va l'emporter.
Il faut que je vous laisse : les toilettes de la Case sont au moins à six mètres de ce bureau, et je ne dois rien négliger...
Ah oui, tout est dans le titre...
RépondreSupprimerJe vous raconterais bien mon dernier rêve, mais si je le fais, votre blog va être censuré.
RépondreSupprimerAvez-vous consulté? Antibiotiques tout de suite!!
RépondreSupprimerChez nous aussi tout le monde est bloqué, les enfants sont restés à la maison et on ne peut pas dire que j'ai un succès fou avec mon idée de s'avancer un peu dans les devoirs. Ils sont tous partis à la forêt comme une volée de moineaux!!
Ca n'aurait pas gêné Tonnégrande pour aller travailler. Il aurait passé l'engin par la fenêtre de la voiture.
RépondreSupprimerjus de canneberge (cranberry), gélules de canneberge, et boire-boire-boire vous-savez-quoi
RépondreSupprimeret de toute façon la faculté recommande aux faiblards du palpitant (j'en ai un à la maison) de rester au chaud (ce qu'il ne fait pas)
AVec un smartphone vous pourriez même Recevoir vos mails dudit lieu.
RépondreSupprimerSinon y aurait il des possibilités d' embauche chez votre taulier ? Parceque il y a pire comme boulot stressant
Georges : si, si, le rêve, le rêve !
RépondreSupprimerLa Crevette : Aux antibiotiques depuis hier matin, yes !
Nicolas : raciste ! Ethnodifférencialiste ! Bête immonde !
Tilly : rester au chaud est le conseil que je suis avec le plus de facilité.
Olympe : hélas, j'ai comme dans l'idée que mon taulier aurait plutôt des rêves de débauchage...
Vous souffrez du mal des becs sucrés Didier.
RépondreSupprimerMangeriez vous trop de patisseries pour compenser vôtre abstinence?
Et vous ne pourrez même pas offrir à votre petit oiseau une sortie dans le jardin enneigé, sous peine de l'enrhumer davantage...
RépondreSupprimerJ'ai vu hier deux petits garçons qui écrivaient leur nom dans la neige, à petits jets d'urine fumante.
Suzanne : eh oui, on a tous fait ça, je pense.
RépondreSupprimerSacrée Suzon, planquée derrière la haie, le nez rouge de froid…
RépondreSupprimerGeorges: mordelol! (ah, ça rend méchant d'avoir un vilain petit zizi tordu !)
RépondreSupprimerSuzanne, ne prenez pas vos désirs pour des réalités. Pour que je sois vraiment méchant avec vous, il faudrait que je vous aime un peu.
RépondreSupprimerMais non, Georges, mais non ! j'aime bien comme on papote, tous les deux. Continuez à me picoter, m'asticoter. Vous êtes un excellent blogueur, vous vous investissez à donf dans les longues conversations (moi, je n'ai pas toujours le temps, mais d'autres que moi prennent le relai, pour votre plus grand plaisir, nous le savons bien) C'est très agréable de se renvoyer des petites blagounettes et de papoter. Merci pour tout ce temps que vous me consacrez !
RépondreSupprimer"Vous êtes un excellent blogueur..."
RépondreSupprimerAlors là ! Chapeau bas Madame ! Je n'ajoute rien, j'ai essayé et ne fais que brouiller la pureté de l'estoc.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLa solution se trouve ici
RépondreSupprimerJoli billet vraiment,
RépondreSupprimercompatissons nous à la hauteur de votre talent à nous raconter vos petits tracas ? même pas!
Honte sur nous
( no comment Georges, svp )
Pluton : je n'en suis pas encore là, tout de même ! Du reste, depuis la rédaction de ce billet, je me re-contrôle de mieux en mieux...
RépondreSupprimerCorto : quand on ne veut pas s'attirer la foudre, on évite d'invoquer le dieu des orages !
Bon rétablissement cher Didier !
RépondreSupprimerOn sait Didier Goux très sportif, mais tout de même Pluton, allez-y mollo !
RépondreSupprimer