Le passage sur Denis, votre ami perdu de vue (où est Jacques Pradel quand on a besoin de lui?) est très réussi. Mais faut dire que je suis naturellement sensible à la nostalgie...
Ah ! pour la "poule pondeuse", c'était moi, désolé de vous avoir créé quelques ennuis avec votre amie. Je lui ai écris un message (qu'elle a censuré comme les quatre ou cinq autres que j'avais déjà postés) pour lui dire que c'était évidemment de l'ironie pas méchante, et que je respecte les mères de famille. Je suis moi-même catholique et j'ai cinq gosses. Peut-être aura-t-elle compris que je ne suis pas malgré tout la pire des ordures, et que tout ceci restait de la rhétorique bloguesque (dans le contexte, c'était quand même une réponse à diverses attaques contre mon pseudo sur son blog, où je n'avais pas le droit de répondre). Enfin, pardon pour la saillie !
Ah ces jeunes ! J’observe quand même que vous n’avez pas oublié l’anniversaire de votre frère ; c’est bien. Ne pas oublier fait un petit plaisir à l’autre. Le petit texto reçu hier d’un fils pour ce qui aurait dû être mes noces de diamant en est l’exemple. Et les petits plaisirs anodins et fugaces font partie, avec la nostalgie dont parle l’amiral, du kit de survie dans un environnement hostile. En fait, je cliquais sur "commenter" juste pour vous dire de ne pas vous inquiéter pour l’extincteur. Il viendra tout seul.
Vieillard, je suis de 1957!!
RépondreSupprimerLe passage sur Denis, votre ami perdu de vue (où est Jacques Pradel quand on a besoin de lui?) est très réussi. Mais faut dire que je suis naturellement sensible à la nostalgie...
RépondreSupprimerAh ! pour la "poule pondeuse", c'était moi, désolé de vous avoir créé quelques ennuis avec votre amie. Je lui ai écris un message (qu'elle a censuré comme les quatre ou cinq autres que j'avais déjà postés) pour lui dire que c'était évidemment de l'ironie pas méchante, et que je respecte les mères de famille. Je suis moi-même catholique et j'ai cinq gosses. Peut-être aura-t-elle compris que je ne suis pas malgré tout la pire des ordures, et que tout ceci restait de la rhétorique bloguesque (dans le contexte, c'était quand même une réponse à diverses attaques contre mon pseudo sur son blog, où je n'avais pas le droit de répondre). Enfin, pardon pour la saillie !
RépondreSupprimerAh ces jeunes ! J’observe quand même que vous n’avez pas oublié l’anniversaire de votre frère ; c’est bien. Ne pas oublier fait un petit plaisir à l’autre. Le petit texto reçu hier d’un fils pour ce qui aurait dû être mes noces de diamant en est l’exemple. Et les petits plaisirs anodins et fugaces font partie, avec la nostalgie dont parle l’amiral, du kit de survie dans un environnement hostile.
RépondreSupprimerEn fait, je cliquais sur "commenter" juste pour vous dire de ne pas vous inquiéter pour l’extincteur. Il viendra tout seul.
Waou ! Bon anniversaire.
RépondreSupprimer(Mais...nous sommes en avril.)
Je vous souhaite encore beaucoup de temps.
RépondreSupprimerEcrire gratuitement pour un bulletin catholique, c'est un premier pas vers la béatification.
RépondreSupprimerMince, cinquante-six? C'est encore la jeunesse, soyez en sûr!
RépondreSupprimerJe vous croyais beaucoup plus vieux que cela!
Allez, bon anniversaire!
Comme France-Hélène. Un pas vers la béatification, oui, et du mou dans la cuirasse du libre-penseur.
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