Le problème avec Didier, c'est qu'il refuse son destin, qui est d'être écrivain. Et ce, alors qu'il est reconnu comme un pair par tous les écrivains qu'il rencontre.
Hmm hmm...N'aurais-je pas cité M. le duc de Saint-Simon parmi les (rares) très grands écrivains du XVIIIe siècle ? Sade : nous en reparlerons. Peut-être.
En général, on cite le trio Voltaire-Rousseau-Montesquieu. Personnellement, je serais enclin à en ôter Voltaire (puisqu'il n'a produit à mes yeux aucune oeuvre littéraire de valeur) et à y adjoindre Cholderlos de Laclos. Quant à Saint-Simon, j'aurais du mal à l'inclure dans le XVIIIème.
Voltaire avait tout de même le mérite d'être conscient de la pauvreté littéraire de son siècle.
Le problème avec Didier, c'est qu'il refuse son destin, qui est d'être écrivain. Et ce, alors qu'il est reconnu comme un pair par tous les écrivains qu'il rencontre.
RépondreSupprimerIl est reconnu comme un pair parce que les deux font la paire !
SupprimerHmm hmm...N'aurais-je pas cité M. le duc de Saint-Simon parmi les (rares) très grands écrivains du XVIIIe siècle ?
RépondreSupprimerSade : nous en reparlerons. Peut-être.
Ah oui, c'est vrai : j'ai oublié le duc ! Quant à reparler de Sade, je ne suis pas sûr d'y tenir tant que ça…
SupprimerEn général, on cite le trio Voltaire-Rousseau-Montesquieu. Personnellement, je serais enclin à en ôter Voltaire (puisqu'il n'a produit à mes yeux aucune oeuvre littéraire de valeur) et à y adjoindre Cholderlos de Laclos. Quant à Saint-Simon, j'aurais du mal à l'inclure dans le XVIIIème.
SupprimerVoltaire avait tout de même le mérite d'être conscient de la pauvreté littéraire de son siècle.
@ Didier
SupprimerVous êtes d'autant plus impardonnable que la chouette aurait dû vous faire penser au grand-duc !
Vous ne comprenez pas les coquetteries d'écrivain, Mat!
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