Donc je serais la première à commenter ?? Faut-il que les autres aient fait gras Réveillon pour ne pas être d'attaque le premier jour du mois, celui que j'attends avec impatience pour découvrir de nouveaux épisodes de votre vie ! Un journal qui comme toujours me comble d'aise, toujours aussi drôle même si quelques passages ont ravivé quelques bien tristes souvenirs.... Surtout ne renoncez pas et...bonne année à vous, monsieur Goux et à votre épouse, Catherine ! Et merci de nous avoir prévenu pour ce premier tome du Journal de Me Garçon !
Les autres doivent encore être écroulés dans leurs vomissures festives ! Et désolé pour les passages "raviveurs" de mauvais souvenirs (même si je ne vois pas bien lesquels…).
Je pensais à votre soeur Isabelle....et du coup à mon jeune frère, mort lui aussi de façon aussi rapide de cette horrible maladie...mais bon....il faut l'accepter, c'est la vie, même si mon chagrin est immense.
Roman tout à fait remarquable, même si un peu "gâché" dans ses quarante ou cinquante dernières pages (sur plus de cinq cents tout de même) par les "bienfaits" de la révolution castriste, difficiles à avaler pour un lecteur de notre époque.
Mais enfin, remis dans le contexte de 1960 (le roman se déroule de 1936, Guerre d'Espagne, à l'arrivée de Castro), cela reste tout à fait acceptable, il me semble.
"...en rentrant de chez les Desgranges,..." (jeudi 4) : est-il correct d'écrire " rentrer de chez quelqu'un " ? Si, dans le langage courant on comprend ce que cela veut dire, ça me semble suspect à l'écrit et ça me turlupine... Merci pour votre Journal attendu chaque mois ! Je tiens beaucoup à ce rituel !
(Avez-vous lu celui des Goncourt ? La lecture d'un recueil de 600 pages d'extraits de leur journal m'a passionnée...)
La question est intéressante… mais je n'ai pas de réponse catégorique ! Mon seul argument serait : par quelle tournure remplacer ce "de chez" qui vous gêne ? Personnellement je n'en vois pas, ou alors fort lourdes.
Sinon, j'ai lu (et intégralement, moi…) le journal des Goncourt, oui.
Est-ce une illusion de " déjà vécu" annonciatrice d' Alzheimer foudroyant, ou ai- je déjà lu cette réponse dans le journal de décembre, identique mot pour mot ?
Flatté d'avoir été cité dans ce journal de fin d'année... Je vous ferai remarquer que, quoi que l'on en pense, ( et à l'exception de récits devant entrer dans un cadre bien prédéterminé, style collection Harlequin, dont les auteurs sont interchangeables) on n' écrit finalement que pour soi- même; ensuite, des rencontres avec un lectorat plus ou moins vaste peuvent se faire ( ou pas). Mais, comme l'avait bien vu Malraux, " Toute communion est basée sur un malentendu ". .
Fredi : le problème est que le roman de Carpentier date de 1978. Cela dit, il n'a jamais caché ses liens avec le régime castriste, dans la mesure où il fut durant des années l'un de ses envoyés officiels à Paris.
Pour ce qui concerne Le Recours, je vous répondrai par la formule passe-partout bien connu : à chacun son goût.
Élie Arié : c'est assurément Alzheimer, dans la mesure où le journal de décembre est précisément celui que vous venez de lire et qui n'est en ligne que depuis ce matin.
Je crois que je vais faire plusieurs commentaire à ce choupinet journal en commençant par la partie où je suis cité à propos du Covid. Je n'ai pas franchement peur de ce freluquet mais il n'empêche qu'avec ma grassitude, je fais partie des populations à risque. Ma mère a chopé cette chtouille des temps modernes à l'occasion d'un séjour à l'hôpital conséquence d'une décrépitude inhabituelle chez elle. Voir des gugusses expliquer dans leurs blogs en permanence qu'on nous ment et tous ça me désole, surtout quand ils utilisent des arguments mensongers (j'en connais un qui met un article en lien mais en tire une conclusion fausse pour renforcer ces idées) et passent leur temps à démontrer que la presse qui ne pense pas comme eux est honteuse. Je ne veux pas ouvrir un débat ici et j'encourage la censure des réponses à mes élucubrations mais uniquement apporter une précision suite à un passage qui me concerne. Hop.
Vous, Nicolas, vous encouragez la censure ? Je ne pensais pas que vous puissiez tomber aussi bas. Mais c'est un fait que le vrai homme de gauche a un goût plus marqué pour la censure que l'homme de droite.
Si jeux me permettre de corriger Mr Arié, ce n'est pas un goût plus marqué pour la censure c'est une caractéristique constitutionnelle ( :-) ) de la gauche, si on se met à admettre la vérité toute l'idéologie (et la propagande qui va avec...) s'écroule. D'ailleurs, comme je lui ai fait remarquer sur son blog, le gros Nicolas s'agite frénétiquement contre vents et marées pour obtenir son Darwin Award.
Pour le 21, vous parlez de la grève comme un droit constitutionnel (à propos de conneries d'un communiste heureux). J'ajoute à votre argumentation qu'il serait bon de conseiller à ces braves gens de lire la constitution en question, qui ne fait que dire "bon, les zozos, faites grève si vous voulez mais attention à respecter la loi".
Je reviens sur votre étonnement, déjà manifesté dans le passé contre " la peur du microbe "... étonnement qui m'étonne. Faut-il vous rappeler que la" grande peste" ( due à une bactérie, tout aussi microbienne qu'un virus ) a tué environ 50 % des Français en cinq ans (1347-1352), à une époque où l' Église tenait très bien l ' État-Civil et les autres religions avaient un nombre de fidèles tout à fait insignifiant ?
Sans doute, mais, dans ces contrées primitives, l ' état- civil était beaucoup moins fiable ! À cette époque, en France, tout le monde était supposé être catholique, à part une poignée de juifs qui devait être insignifiante;; les protestants n'existaient pas encore,, les musulmans ne procédaient que par razzia ( avec quelques viols,sans doute : mais le spermatozoïde apporte-t-il la Foi ? ), les hérésies étaient surtout orientales ( nestoriens) ou vite exterminés ( cathares).
Je crois que le temps de mourir est venu lorsque l'on constate que le monde est en train de connaître un changement radical, et que l'on sait qu'il ne nous reste plus assez de temps à vivre pour tenter de comprendre à quoi ressemblera celui qui lui succédera.
Donc je serais la première à commenter ??
RépondreSupprimerFaut-il que les autres aient fait gras Réveillon pour ne pas être d'attaque le premier jour du mois, celui que j'attends avec impatience pour découvrir de nouveaux épisodes de votre vie !
Un journal qui comme toujours me comble d'aise, toujours aussi drôle même si quelques passages ont ravivé quelques bien tristes souvenirs....
Surtout ne renoncez pas et...bonne année à vous, monsieur Goux et à votre épouse, Catherine !
Et merci de nous avoir prévenu pour ce premier tome du Journal de Me Garçon !
Les autres doivent encore être écroulés dans leurs vomissures festives !
SupprimerEt désolé pour les passages "raviveurs" de mauvais souvenirs (même si je ne vois pas bien lesquels…).
Je pensais à votre soeur Isabelle....et du coup à mon jeune frère, mort lui aussi de façon aussi rapide de cette horrible maladie...mais bon....il faut l'accepter, c'est la vie, même si mon chagrin est immense.
SupprimerAh, oui, évidemment…
SupprimerRoman tout à fait remarquable, même si un peu "gâché" dans ses quarante ou cinquante dernières pages (sur plus de cinq cents tout de même) par les "bienfaits" de la révolution castriste, difficiles à avaler pour un lecteur de notre époque.
RépondreSupprimerMais enfin, remis dans le contexte de 1960 (le roman se déroule de 1936, Guerre d'Espagne, à l'arrivée de Castro), cela reste tout à fait acceptable, il me semble.
"...en rentrant de chez les Desgranges,..." (jeudi 4) : est-il correct d'écrire " rentrer de chez quelqu'un " ? Si, dans le langage courant on comprend ce que cela veut dire, ça me semble suspect à l'écrit et ça me turlupine...
RépondreSupprimerMerci pour votre Journal attendu chaque mois ! Je tiens beaucoup à ce rituel !
(Avez-vous lu celui des Goncourt ? La lecture d'un recueil de 600 pages d'extraits de leur
journal m'a passionnée...)
La question est intéressante… mais je n'ai pas de réponse catégorique ! Mon seul argument serait : par quelle tournure remplacer ce "de chez" qui vous gêne ? Personnellement je n'en vois pas, ou alors fort lourdes.
SupprimerSinon, j'ai lu (et intégralement, moi…) le journal des Goncourt, oui.
"En sortant de chez les D." ?
SupprimerLe Journal des Goncourt "intégral" est commandé !
À Brigitte : pourtant, si on va non pas au coiffeur, mais chez le coiffeur, il faut bien finir par rentrer chez soi.
SupprimerUne femme peut fort bien aller AU coiffeur. Dans le sens où l'on mène la vache AU taureau.
SupprimerElie n'a rien compris... Il sort de mon sujet.
SupprimerDidier, même si tout sort du sujet, vous répondez bien à Elie.
C'est sa spécialité : Élie sort du sujet avec la même facilité que le ver de la pomme.
SupprimerEst-ce une illusion de " déjà vécu" annonciatrice d' Alzheimer foudroyant, ou ai- je déjà lu cette réponse dans le journal de décembre, identique mot pour mot ?
RépondreSupprimerFlatté d'avoir été cité dans ce journal de fin d'année... Je vous ferai remarquer que, quoi que l'on en pense, ( et à l'exception de récits devant entrer dans un cadre bien prédéterminé, style collection Harlequin, dont les auteurs sont interchangeables) on n' écrit finalement que pour soi- même; ensuite, des rencontres avec un lectorat plus ou moins vaste peuvent se faire ( ou pas). Mais, comme l'avait bien vu Malraux, " Toute communion est basée sur un malentendu ".
RépondreSupprimer.
Vous devriez vous inscrire à un programme de désintoxication malrucienne…
SupprimerVous savez, si je sors de la filière Dostoïevski-Tchékov-Malraux-Camus, il ne me reste plus rien...
SupprimerMalraux avait fermé les commentaires de son blog pour éviter les andouilles ?
SupprimerFredi : le problème est que le roman de Carpentier date de 1978. Cela dit, il n'a jamais caché ses liens avec le régime castriste, dans la mesure où il fut durant des années l'un de ses envoyés officiels à Paris.
RépondreSupprimerPour ce qui concerne Le Recours, je vous répondrai par la formule passe-partout bien connu : à chacun son goût.
Élie Arié : c'est assurément Alzheimer, dans la mesure où le journal de décembre est précisément celui que vous venez de lire et qui n'est en ligne que depuis ce matin.
J'avais lu un peu vite "le partage des eaux"...
RépondreSupprimerMeilleurs vœux 2023.
Bibi
Meilleurs vœux à vous aussi.
SupprimerComme la Colombie, le Guatemala et le Mexique ont aussi une côte atlantique et une côte pacifique il me semble
RépondreSupprimerJe parlais de l'Amérique DU SUD et non de la centrale…
SupprimerDésolée, j'avais cru comprendre "latine"
SupprimerJe crois que je vais faire plusieurs commentaire à ce choupinet journal en commençant par la partie où je suis cité à propos du Covid. Je n'ai pas franchement peur de ce freluquet mais il n'empêche qu'avec ma grassitude, je fais partie des populations à risque. Ma mère a chopé cette chtouille des temps modernes à l'occasion d'un séjour à l'hôpital conséquence d'une décrépitude inhabituelle chez elle. Voir des gugusses expliquer dans leurs blogs en permanence qu'on nous ment et tous ça me désole, surtout quand ils utilisent des arguments mensongers (j'en connais un qui met un article en lien mais en tire une conclusion fausse pour renforcer ces idées) et passent leur temps à démontrer que la presse qui ne pense pas comme eux est honteuse.
RépondreSupprimerJe ne veux pas ouvrir un débat ici et j'encourage la censure des réponses à mes élucubrations mais uniquement apporter une précision suite à un passage qui me concerne.
Hop.
Hop itou.
SupprimerVous, Nicolas, vous encouragez la censure ? Je ne pensais pas que vous puissiez tomber aussi bas.
SupprimerMais c'est un fait que le vrai homme de gauche a un goût plus marqué pour la censure que l'homme de droite.
Si jeux me permettre de corriger Mr Arié, ce n'est pas un goût plus marqué pour la censure c'est une caractéristique constitutionnelle ( :-) ) de la gauche, si on se met à admettre la vérité toute l'idéologie (et la propagande qui va avec...) s'écroule.
SupprimerD'ailleurs, comme je lui ai fait remarquer sur son blog, le gros Nicolas s'agite frénétiquement contre vents et marées pour obtenir son Darwin Award.
Pour le 21, vous parlez de la grève comme un droit constitutionnel (à propos de conneries d'un communiste heureux). J'ajoute à votre argumentation qu'il serait bon de conseiller à ces braves gens de lire la constitution en question, qui ne fait que dire "bon, les zozos, faites grève si vous voulez mais attention à respecter la loi".
RépondreSupprimerLe terme "constitutionnel" semble être devenu un peu magique, de nos jours. quelque chose comme un grigri doté de super-pouvoirs.
SupprimerJe reviens sur votre étonnement, déjà manifesté dans le passé contre " la peur du microbe "... étonnement qui m'étonne. Faut-il vous rappeler que la" grande peste" ( due à une bactérie, tout aussi microbienne qu'un virus ) a tué environ 50 % des Français en cinq ans (1347-1352), à une époque où l' Église tenait très bien l ' État-Civil et les autres religions avaient un nombre de fidèles tout à fait insignifiant ?
RépondreSupprimerLa peste, taux de destruction 80%, aux origines de l'Europe causasienne :
SupprimerLe cheval, la peste, les Botaï, les Yamnayas
Sans doute, mais, dans ces contrées primitives, l ' état- civil était beaucoup moins fiable !
SupprimerÀ cette époque, en France, tout le monde était supposé être catholique, à part une poignée de juifs qui devait être insignifiante;; les protestants n'existaient pas encore,, les musulmans ne procédaient que par razzia ( avec quelques viols,sans doute : mais le spermatozoïde apporte-t-il la Foi ? ), les hérésies étaient surtout orientales ( nestoriens) ou vite exterminés ( cathares).
" exterminéEs " !!!
SupprimerJe crois que le temps de mourir est venu lorsque l'on constate que le monde est en train de connaître un changement radical, et que l'on sait qu'il ne nous reste plus assez de temps à vivre pour tenter de comprendre à quoi ressemblera celui qui lui succédera.
RépondreSupprimerMeilleurs vœux 2023!
RépondreSupprimerÀ vous de même !
SupprimerMais puisque je vous ai démontré que les vœux, ça ne sert à rien !
SupprimerAu fait : bonne année.