La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
dimanche 16 novembre 2008
Au meilleur prix
Comme il avait été annoncé par voie de presse, et pour se conformer servilement aux pressants desiderata sarkoziens, le Brigadier mondain (grande surface de hard discount littéraire) est désormais ouvert le dimanche, jusqu'à l'heure de l'apéro.
Ni punition, ni hépatite ! C'est juste que quand on veut écrire 25 pages dans sa journée, il est préférable de se réveiller sémillant (dans la mesure du possible...) qu'à moitié gueule-de-boiteux.
Sauf qu'il n'y a pas d'apéro...
RépondreSupprimerJe sais bien : je soigne le personnage...
RépondreSupprimer"Queue d’âne"...me fait penser à Bérurier, le chéri de ces dames
RépondreSupprimerOui, bien sûr : le personnage qui utilise ce sobriquet est présenté comme lecteur assidu de San-Antonio.
RépondreSupprimerComment ça pas d'apéro?
RépondreSupprimerMélina, ça fait dix jours qu'on est à l'eau...
RépondreSupprimer"Mélina, ça fait dix jours qu'on est à l'eau..."
RépondreSupprimerun début d'hépatite ou la crise?
Non mais oui je sais j'ai vécu les premières heures du sevrage, mais je pensais que la punition était levée?
RépondreSupprimerNi punition, ni hépatite ! C'est juste que quand on veut écrire 25 pages dans sa journée, il est préférable de se réveiller sémillant (dans la mesure du possible...) qu'à moitié gueule-de-boiteux.
RépondreSupprimerOh purée j'avais jamais percuté le lien.
RépondreSupprimerLa cause-conséquence.
Ok.