Il y a dix minutes, j'ai pris l'ascenseur pour descendre fumer. Un type, jeune, l'a arrêté au troisième, est monté, et en est redescendu au second. J'arrive au rez-de-chaussée, sort, fume et remonte. L'ascenseur s'arrête au deuxième, y pénètre le même gugusse, qui le quitte au troisième. Il se trouve que ce garçon était l'un de nos futurs payeurs exotiques de retraites.
En voilà un qui a vite compris tout ce qu'il pouvait désormais se permettre, grâce à l'élection d'Obama...
En voilà un qui a vite compris tout ce qu'il pouvait désormais se permettre, grâce à l'élection d'Obama...
Pourquoi ? Il était noir ?
RépondreSupprimerBen... oui ! Ce n'est pas évident à la lecture ?
RépondreSupprimerSi...
RépondreSupprimerPayeur exotique, m'a fallu le commentaire de Balmeyer, votre étonnement et une relecture pour comprendre.
RépondreSupprimerAlors que je pensais qu'il pouvait se permettre tout simplement de vous faire chier en appelant l'ascenseur.
Il prend l'ascenseur pour UN étage ! Pfff, ces jeunes...
RépondreSupprimerDésolée mais je vais troller : ce billet et ce titre n'ont aucun sens ! Avant Obama ce jeune homme prenait les escaliers en baissant la tête ? Avant Obama les noirs savaient utiliser les ascenseurs ? J'ai beau chercher... Je ne comprends pas.
RépondreSupprimerMélina : oui, c'est ce qu'il a fait.
RépondreSupprimerCatherine : l'ascenseur pour DESCENDRE un étage.
Marie-Georges : jusqu'à hier, dans le groupe Lagardère, les noirs avaient un ascenseur pour eux.
(Non, je déconne, merde ! Par le CRAN ! pas le MRAP !)
Sinon, si vous cherchez du sens à tout ce qui s'écrit ici, vous allez vous manger des migraines aux petits oignons, je vous le dis !
En fait, la seule chose à comprendre, c'est que les gens qui prennent l'ascenseur pour un étage, à plus forte raison s'il s'agit de le descendre, me gonflent prodigieusement. Comme le hasard a voulu que celui-ci fût noir, l'idée de mon petit gag est alors venue.
(Putain, je suis obligé de faire un commentaire de quinze lignes pour expliquer un billet de cinq !)
ça vous apprendra...
RépondreSupprimerVotre entreprise n'a les moyens d'un liftier que du deuxième au troisième ?
RépondreSupprimerOui, frère Franssoit : on appelle ça une compression budgétaire.
RépondreSupprimerRemarquez si , JEUNE, il a besoin de prendre l'ascenceur, pour descendre UN étage pour FUMER, puis ensuite en reprendre un pour remonter.. il est près du bout du rouleau?? non?? je ne le voyais pas en couleur non plus.. mais jeune , si, je le voyais bien ;-))
RépondreSupprimerGeargies
Ce billet n'est pas ce que vous avez fait de mieux !
RépondreSupprimerGeargies : vous avez mal lu, mon ami ! Il ne descendait pas fumer, lui, puisqu'il s'est arrêté au deuxième et qu'on ne peut pas fumer dans les locaux...
RépondreSupprimerZoridae : Encore heureux ! C'est si vous m'aviez dit le contraire que j'aurais commencé à déprimer...
Ben quoi! C'est l'ascenseur social.
RépondreSupprimer