Didier Goux n’a pas l’œil (ou alors nous sommes tous polarisés sur le complot judéo-maçonnique cher à Le Goff et quelques autres…) Ce qui frappe, c’est la position bizarre de la croix comme un cheveu sur la soupe venue, l’air canaille, se ficher après coup sur le ventre mou de ce caveau où le premier propriétaire avait tenu à faire figurer les deux compas en haut-relief (ce qui n’est pas rien) Les restes dudit défunt ont dû se retourner… Ingratitude d’héritiers du local ayant eux-même viré leur cuti à l’approche de la faucheuse ? On dirait qu’une main laïcarde (Céleste, peut-être ?) est ensuite venue tenter d’arracher le symbole (folie pour les uns, scandale pour d’autres…)
Emma : prenez deux efferalgan et allez vous allonger dans le noir complet pendant trois heures : ça devrait passer, et sans séquelles trop dommageables.
Je l'aime beaucoup ce mois de juillet, c'est vrai qu'il se lit bien, Emma a raison. Il y a tout un passage quand vous évoquez une blogueuse, La Pecnaude, qu'on pourrait "mettre" chez Alibékov à propos du déni de réalité.Et cette idée d'un manque de religion est très intéressante et fort bien décrite ici.
"La réalité est congédiée d'un revers de main, et tout l'espace est occupé par l'affirmation de principes préalables, détachés de tout, pures idées flottant au-dessus des têtes. Sans parler de la traditionnelle haine de soi qui est commune à nombre d'Européens blancs et de gauche, ces gens tellement en manque d'une religion qu'ils passent leur temps, depuis un siècle, à se bricoler des figures christiques de remplacement. Ce fut le prolétaire, puis le révolutionnaire exotique, c'est en ce moment l'Africain immigré – si possible clandestin : cerise sur la couronne d'épines. Évidemment, ces vieilles bourgeoises nanties (vieilles relativement et comparativement nanties, s'entend) ne s'intéressent nullement aux clandestins en tant que tels, pas plus que leurs mères et grands-mères ne se souciaient celles-ci des prolos et celles-là du soldadito boliviano. La seule chose qui compte réellement, c'est de se bricoler un petit autel, d'y installer l'icône du jour, afin de pouvoir se livrer à la génuflexion rédemptrice."
Oui, vraiment, je ne sais pas pourquoi, c'est un excellent cru ce mois de juillet! Merci!
et finalememt, qu'est-ce que vous avez pensé du premier cercle ? (personnellement je l'ai trouvé beaucoup plus interessant que le pqvillon des cancéreux, mais les 100 premieres pages sont effectivement trompeuses, ou du moins elles ne montrent pas vraiment leur sens avant la suite du roman)
Lu à maman le jour de son enterrement (il y aura un an dans deux jours) le dernier (ou l'avant dernier ?) chapitre du Livre de ma mère d'Albert Cohen. Sans pleurer, pour elle qui m'avait offert Belle du Seigneur (dont j'ai eu du mal à me remettre, mais c'est une autre histoire)
Mère Castor : j'ai souvent remarqué que Belle du Seigneur remportait toujours un vif suffrages auprès des femmes. Un peu moins auprès des hommes, allez comprendre...
Moi je ne suis pas arrivée à lire Albert Cohen (est-ce-que je ne serais pas suffisement femme-fââmme) ? Sinon, c'est bien de publier si vite le journal, on a de son côté des souvenirs de tout ce dont vous parlez, c'est cela qui rend la lecture si captivante. Merci madame Crevette pour votre approbation, et je rassure le soi-disant écrivain en bâtiment : les trucs que je lie très vite, (et avec plaisir, faut-il le préciser) sont ceux que je mémorise le mieux.
Emma : j'ai beaucoup aimé Mangeclous et Les Valeureux. Mais Belle du Seigneur, à part les passages de Deume à la SDN, ce n'est vraiment pas possible (pour moi).
Lu sur "le présentoir" en date du 15 juillet :"Comment peut-on avoir envie d'être brûlé ? Se passer de la douceur d'être déposé dans la terre ? "
Pa'ce que ça coûte moins cher. Et puis une fois qu'on est mort, on s'en fout puisqu'on n'y pense plus. Vous évidemment, vous n'avez pas d'enfant, c'est donc un petit luxe que vous pouvez vous offrir de votre vivant. Mais moi par exemple, je me refuse absolument à ce que mes funérailles soient dispendieuses et je ne veux rien laisser d'impayé à mes enfants. On paye déjà bien assez comme ça ne notre vivant, devoir encore payer pour un enterrement...
Quand çà brule, l'assurance parle de sinistre, Georges vous écrivez avec beaucoup d'assurance ;). C'est un éternel débat (bien qu'éternel ne soit pas le mot..)entre les je veux cramer ou je veux me faire bouffer par les vers ,lesquels quelque temps plus tard,( souvent à la suite d un deces d'un proche changent d'opinion). Mon avis?? j'en ai rien à foutre, quand je serai mort, les survivants feront ce qu'ils voudront, pourront mais je ne leur laisserai pas la clé de la cave à vin .... beau journal de Juillet.Et bises à Catherine.
Monsieur Goux, un peu de sérieux quand même ! "Vieilles bougeoises nanties"...Vous m'avez fait rire, ce serait plutôt du genre Dubout comme couple ! Le reste n'en parlons pas, Clomani a ses idées et ses expériences et j'ai les miennes, elles sont différentes, c'est tout. Quand à la crevette, elle ne serait pas du genre "squille" par hasard ?
ma grand-mère était suffragette en Belgique, ma mère suffragette en France jusqu'en 1946, socialistes presque par hérédité et moi je ne sais plus trop, de gauche bien sûr ... prolos toutes les trois et fière de l'être. Bourgeoises en mal de déité ... je rigole !
Depuis quand "bourgeois" est tellement honnis ? C'est comme ça que le début de la négation se met en place : on est n'importe quoi, mais surtout pas des "bourgeois(e)", ( à dire avec l'accent arabe en roulant le "r" ) ... c'est peine perdue, les vrais prolétaires : y-en-t-il ? On est dans les images d'Epinal du 19ème siècle, non ?
La Pecnaude: eh bien, si elles lisent de leur paradis vos hommages à l'islam et vos imprécations contre ceux qui le critiquent, elles doivent être vachement déçues, vos vos aïeules.
Orage, je ne comprends pas ce que vous voulez dire : le journal est accessible à tout le monde et les commentaires fermés pour tout le monde (sauf moi...).
Carine : dans ce billet, si vous cliquez sur "le présentoir", ou encore dans la colonne de gauche, sur "journal de blog, vous accédez au journal de juillet (dont les commentaires sont fermés). Ensuite, si vous avez une remarque à faire, vous pouvez, comme les autres, venir la faire ici.
Merci Didier pour ces précieux renseignements, des fois que je n'aurais pas compris... Je me sens moins bête. Tain, je vais commander une grande ration de foin hallal chez Quick. Une méga one, à partager.
Suzane - vous ne savez pas ce que vous dites, je n'hommage pas plus l'islam que toute autre religion ou autres croyances, elles existent, c'est tout, que vous, moi, et d'autres n'y adhérent pas c'est une question de liberté individuelle, mais ne vous permet pas plus qu'à moi de les critiquer. Les chrétiens ont fait l'inquisition, les musulmans ont fait d'autres horreurs. On a pourchassé les cathares, les protestants, les juifs, les autres pourchassent les chiites etc ... Etre suffragette, à cette époque, c'était manifester par la liberté de la femme à tous les points, donc différents. Evitez d'essayer d'être spirituelle, soyez naturelle !
Vous ais-je assez remercié pour Dussolier/Proust et Dussolier/Kafka ? Non sans doute pas assez. En tout cas, c'est un bien bon mois de juillet que vs nous avez offert.
Le passage sur la mort, l'incinération et toussa est finalement très drôle et plein de bon sens! merci
« Etre suffragette, à cette époque, c'était manifester par la liberté de la femme à tous les points, donc différents. »
« L'écran d'une vitre opaque diaprée de noir déployait la conscience en toute espèce de latence, le dehors d'un même dedans, cachant à ce qu'il reste d'extérieurs la vision profonde, la croyance en la gouverne, l'appropriation sans cesse des programmes hasardés qu'on avait sous les yeux (…) »
@ G. : vous ne croyez pas si bien dire, vous seul osez répondre (parfois abruptement certes) des paroles que Didier ne désavoue pas, mais qu'avec sa bienveillance, il ne prononce pas.
Pourquoi, en guise d'illustration, cette pierre tombale avec un symbole maçonnique (ou compagnonique)?
RépondreSupprimerLa pierre tombale je comprends, mais pourquoi précisement celle-là?
RépondreSupprimerParce que j'ai trouvé la photo belle et... que je n'ai pas vu le symbole maçonnique !
RépondreSupprimerTant pis, je laisse comme c'est...
Didier Goux n’a pas l’œil (ou alors nous sommes tous polarisés sur le complot judéo-maçonnique cher à Le Goff et quelques autres…) Ce qui frappe, c’est la position bizarre de la croix comme un cheveu sur la soupe venue, l’air canaille, se ficher après coup sur le ventre mou de ce caveau où le premier propriétaire avait tenu à faire figurer les deux compas en haut-relief (ce qui n’est pas rien) Les restes dudit défunt ont dû se retourner… Ingratitude d’héritiers du local ayant eux-même viré leur cuti à l’approche de la faucheuse ? On dirait qu’une main laïcarde (Céleste, peut-être ?) est ensuite venue tenter d’arracher le symbole (folie pour les uns, scandale pour d’autres…)
RépondreSupprimerJ'ai éclusé votre mois de juillet cul-sec !
RépondreSupprimerEmma : prenez deux efferalgan et allez vous allonger dans le noir complet pendant trois heures : ça devrait passer, et sans séquelles trop dommageables.
RépondreSupprimerJe l'aime beaucoup ce mois de juillet, c'est vrai qu'il se lit bien, Emma a raison. Il y a tout un passage quand vous évoquez une blogueuse, La Pecnaude, qu'on pourrait "mettre" chez Alibékov à propos du déni de réalité.Et cette idée d'un manque de religion est très intéressante et fort bien décrite ici.
RépondreSupprimer"La réalité est congédiée d'un revers de main, et tout l'espace est occupé par l'affirmation de principes préalables, détachés de tout, pures idées flottant au-dessus des têtes. Sans parler de la traditionnelle haine de soi qui est commune à nombre d'Européens blancs et de gauche, ces gens tellement en manque d'une religion qu'ils passent leur temps, depuis un siècle, à se bricoler des figures christiques de remplacement. Ce fut le prolétaire, puis le révolutionnaire exotique, c'est en ce moment l'Africain immigré – si possible clandestin : cerise sur la couronne d'épines. Évidemment, ces vieilles bourgeoises nanties (vieilles relativement et comparativement nanties, s'entend) ne s'intéressent nullement aux clandestins en tant que tels, pas plus que leurs mères et grands-mères ne se souciaient celles-ci des prolos et celles-là du soldadito boliviano. La seule chose qui compte réellement, c'est de se bricoler un petit autel, d'y installer l'icône du jour, afin de pouvoir se livrer à la génuflexion rédemptrice."
Oui, vraiment, je ne sais pas pourquoi, c'est un excellent cru ce mois de juillet! Merci!
On en conclu aussi qu'il vous arrive de rencontrer ceux et celles qui viennent s'épancher sur votre blog, ce qui est plutôt sympathique.
RépondreSupprimerDidier, pareil qu'Emma, et même pas de céphalée..! Merci pour tous vos écrits.
RépondreSupprimeret finalememt, qu'est-ce que vous avez pensé du premier cercle ? (personnellement je l'ai trouvé beaucoup plus interessant que le pqvillon des cancéreux, mais les 100 premieres pages sont effectivement trompeuses, ou du moins elles ne montrent pas vraiment leur sens avant la suite du roman)
RépondreSupprimerTiens, les commentaires du journal de juillet ne sont pas fermés?
RépondreSupprimerVous lâchez du lest, Didier!
Lu à maman le jour de son enterrement (il y aura un an dans deux jours) le dernier (ou l'avant dernier ?) chapitre du Livre de ma mère d'Albert Cohen. Sans pleurer, pour elle qui m'avait offert Belle du Seigneur (dont j'ai eu du mal à me remettre, mais c'est une autre histoire)
RépondreSupprimerLa Crevette et Pluton : merci !
RépondreSupprimerFredi : oui, et ce n'est pas le moindre intérêt des blogs, du reste.
E.M. : eh bien, assez grosse déception, finalement. Enfin, disons : relative déception, allez.
Carine : mais si, ils sont fermés !
Mère Castor : j'ai souvent remarqué que Belle du Seigneur remportait toujours un vif suffrages auprès des femmes. Un peu moins auprès des hommes, allez comprendre...
Moi je ne suis pas arrivée à lire Albert Cohen (est-ce-que je ne serais pas suffisement femme-fââmme) ?
RépondreSupprimerSinon, c'est bien de publier si vite le journal, on a de son côté des souvenirs de tout ce dont vous parlez, c'est cela qui rend la lecture si captivante.
Merci madame Crevette pour votre approbation, et je rassure le soi-disant écrivain en bâtiment : les trucs que je lie très vite, (et avec plaisir, faut-il le préciser) sont ceux que je mémorise le mieux.
Emma : j'ai beaucoup aimé Mangeclous et Les Valeureux. Mais Belle du Seigneur, à part les passages de Deume à la SDN, ce n'est vraiment pas possible (pour moi).
RépondreSupprimerJ'ai tout lu. Même les phrases de plus de 10 mots.
RépondreSupprimerAh et désolée pour le traumatisme du clavier. :)
RépondreSupprimerNefisa : c'est moi qui suis désolé (pour les phrases de plus de dix mots : j'étais persuadé de les avoir toutes enlevées).
RépondreSupprimerLu sur "le présentoir" en date du 15 juillet :"Comment peut-on avoir envie d'être brûlé ? Se passer de la douceur d'être déposé dans la terre ? "
RépondreSupprimerPa'ce que ça coûte moins cher. Et puis une fois qu'on est mort, on s'en fout puisqu'on n'y pense plus. Vous évidemment, vous n'avez pas d'enfant, c'est donc un petit luxe que vous pouvez vous offrir de votre vivant. Mais moi par exemple, je me refuse absolument à ce que mes funérailles soient dispendieuses et je ne veux rien laisser d'impayé à mes enfants. On paye déjà bien assez comme ça ne notre vivant, devoir encore payer pour un enterrement...
Sinistre (le commentaire précédent) !
RépondreSupprimerQuand çà brule, l'assurance parle de sinistre, Georges vous écrivez avec beaucoup d'assurance ;).
RépondreSupprimerC'est un éternel débat (bien qu'éternel ne soit pas le mot..)entre les je veux cramer ou je veux me faire bouffer par les vers ,lesquels quelque temps plus tard,( souvent à la suite d un deces d'un proche changent d'opinion).
Mon avis?? j'en ai rien à foutre, quand je serai mort, les survivants feront ce qu'ils voudront, pourront mais je ne leur laisserai pas la clé de la cave à vin ....
beau journal de Juillet.Et bises à Catherine.
Monsieur Goux, un peu de sérieux quand même ! "Vieilles bougeoises nanties"...Vous m'avez fait rire, ce serait plutôt du genre Dubout comme couple ! Le reste n'en parlons pas, Clomani a ses idées et ses expériences et j'ai les miennes, elles sont différentes, c'est tout.
RépondreSupprimerQuand à la crevette, elle ne serait pas du genre "squille" par hasard ?
Lu dans les "brèves de comptoir": "le gars qui a brûlé, qui est mort dans un incendie, il ne faudrait pas l'incinérer"...
RépondreSupprimerQuand nous retournerons en cette froide terre,
Ainsi qu'il fut prescrit pour le premier Adam
(Péguy)
Dites donc Fidel Castor, elles sont dangereuses les routes des Cevennes!!!
RépondreSupprimerJe refuse de commenter ici à cette heure ci tellement mon commentaire d'hier était honteux. Pourtant je suis bien plus saoul.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerma grand-mère était suffragette en Belgique, ma mère suffragette en France jusqu'en 1946, socialistes presque par hérédité et moi je ne sais plus trop, de gauche bien sûr ... prolos toutes les trois et fière de l'être. Bourgeoises en mal de déité ... je rigole !
RépondreSupprimerDepuis quand "bourgeois" est tellement honnis ?
RépondreSupprimerC'est comme ça que le début de la négation se met en place : on est n'importe quoi, mais surtout pas des "bourgeois(e)", ( à dire avec l'accent arabe en roulant le "r" ) ... c'est peine perdue, les vrais prolétaires : y-en-t-il ? On est dans les images d'Epinal du 19ème siècle, non ?
Je dégaine une deuxième fois : le "r" doit raclé et non roulé !
RépondreSupprimerReprenez un wisky, Emma, je crois que vous en avez besoin.
RépondreSupprimerLa Pecnaude: eh bien, si elles lisent de leur paradis vos hommages à l'islam et vos imprécations contre ceux qui le critiquent, elles doivent être vachement déçues, vos vos aïeules.
RépondreSupprimerDidier, comment être membre de votre journal? Apparemment avoir un compte google ne suffit pas!
RépondreSupprimerOrage, je ne comprends pas ce que vous voulez dire : le journal est accessible à tout le monde et les commentaires fermés pour tout le monde (sauf moi...).
RépondreSupprimerAh, mais "être membre", c'est tellement plus, enfin trop trop j'veux dire quoi…
RépondreSupprimerÊtre le membre de Didier Goux, pour une femme, vous vous rendez compte… ?
Mais si c'est ouvert, puisque tout le monde commente ici. Tsss. Des mots pour nous comprendre...
RépondreSupprimerCarine : dans ce billet, si vous cliquez sur "le présentoir", ou encore dans la colonne de gauche, sur "journal de blog, vous accédez au journal de juillet (dont les commentaires sont fermés). Ensuite, si vous avez une remarque à faire, vous pouvez, comme les autres, venir la faire ici.
RépondreSupprimerC'est plus clair, là ?
De toutes les façons le seul membre de Didier Goux c'est le sobre, percutant,élégant et parfumé G.
RépondreSupprimerMerci Didier pour ces précieux renseignements, des fois que je n'aurais pas compris... Je me sens moins bête. Tain, je vais commander une grande ration de foin hallal chez Quick. Une méga one, à partager.
RépondreSupprimerC'est fini de parler du membre de MON Gouzounours !
RépondreSupprimerSuzane - vous ne savez pas ce que vous dites, je n'hommage pas plus l'islam que toute autre religion ou autres croyances, elles existent, c'est tout, que vous, moi, et d'autres n'y adhérent pas c'est une question de liberté individuelle, mais ne vous permet pas plus qu'à moi de les critiquer. Les chrétiens ont fait l'inquisition, les musulmans ont fait d'autres horreurs. On a pourchassé les cathares, les protestants, les juifs, les autres pourchassent les chiites etc ...
RépondreSupprimerEtre suffragette, à cette époque, c'était manifester par la liberté de la femme à tous les points, donc différents.
Evitez d'essayer d'être spirituelle, soyez naturelle !
Vous ais-je assez remercié pour Dussolier/Proust et Dussolier/Kafka ? Non sans doute pas assez.
RépondreSupprimerEn tout cas, c'est un bien bon mois de juillet que vs nous avez offert.
Le passage sur la mort, l'incinération et toussa est finalement très drôle et plein de bon sens! merci
Oui, Mama, t'as raison, G suis le membre de Didier Goux, quand il flanche.
RépondreSupprimer« Etre suffragette, à cette époque, c'était manifester par la liberté de la femme à tous les points, donc différents. »
RépondreSupprimer« L'écran d'une vitre opaque diaprée de noir déployait la conscience en toute espèce de latence, le dehors d'un même dedans, cachant à ce qu'il reste d'extérieurs la vision profonde, la croyance en la gouverne, l'appropriation sans cesse des programmes hasardés qu'on avait sous les yeux (…) »
Il fait vraiment une cure le Didier.
RépondreSupprimerC'est désolant un abstinent; on a l'impression d'être au chevet d'un mourrant.
@ G. : vous ne croyez pas si bien dire, vous seul osez répondre (parfois abruptement certes) des paroles que Didier ne désavoue pas, mais qu'avec sa bienveillance, il ne prononce pas.
RépondreSupprimer"mais ne vous permet pas plus qu'à moi de les critiquer."
RépondreSupprimerMais si, mais si. Il y a longtemps qu'on a le droit de critiquer comme on veut les religions en France. Toutes les religions, ou celle qu'on veut.
Ceci dit moi aussi je vais faire une cure d'abstinence de la blogosphère.
RépondreSupprimerCa m'évitera d'écrire des c.....
"on a le droit de critiquer. Toutes les religions. Et celle qu'on veut. "
RépondreSupprimerEt particulièrement celle qu'on ne veut pas!!!!
Allons allons, Emma, vous savez bien qu'il n'y a pas plus doux que Georges.
RépondreSupprimerDoux comme une chanson et coupant comme le diamant.
RépondreSupprimerDoux comme le diamant et coupant comme une chanson.
RépondreSupprimerGeorges a dit...
RépondreSupprimerAllons allons, Emma, vous savez bien qu'il n'y a pas plus doux que Georges.
2 septembre 2010 10:09
Emma a dit...
Doux comme une chanson et coupant comme le diamant.
2 septembre 2010 11:49
Georges a dit...
Doux comme le diamant et coupant comme une chanson.
3 septembre 2010 20:39
Nous allons les marier ces deux là...
Oulala, Pluton va pas aimer...
RépondreSupprimerBon bon, OK, je me retire de la compétition, j'ai déjà assez de boulot à la maison…
RépondreSupprimer