samedi 15 octobre 2011

Enocre plus tendre et savoureux que l'ancien : le Didier Goux de prés salés


Nous voilà de retour. Semaine riche en belles et bonnes découvertes, mais aussi en mauvais cholestérol – cependant ternie dès son entrée par une énorme déception mêlée de colère : ce sera sans doute le sujet que nous aborderons en priorité demain. Car, pour ce soir, il est, je crois, vaguement question d'un vigoureux apéritif de fin de vacances, suivi par une longue nuit de sommeil…

18 commentaires:

  1. Et de mauvaise humeur, plus !! Geargies.

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  2. Ah ! Terrible le suspens ! Vivement demain !

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  4. Vous commenciez à nous manquer.

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  6. Le taulier de ce blog gagnerait à relire le titre de ce billet.

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  7. Je pense que c'est pour hurler contre la transformation d'un lieu de pélerinage en temps de la consommation grotesque.

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  8. pour le titre :
    les ravages de l'alcool, j'en ai peur.

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  9. Les grandes marées ne sont plus ce qu'elles étaient, à moins que vous soyez un pic, un roc, que dis-je ......

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  10. Ni!colas : Quoi, mon titre ? qu'est-ce qu'il a, mon titre ?

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  11. Amiral Woland : c'est bien pis, bien plus triste, bien plus enrageant que ça encore…

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  12. Je sais je sais : si j'en juge à son "blogroll" 100% "Kreminolog", Monsieur Goux a été séduit par les primaires socialistes et il a signé la charte des valeurs de gauche…

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  13. L’agneau était il à la hauteur de vos papilles gustatives, si c'est le cas le reste n'est que broutille.

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  14. Ravie de vous retrouvez Didier et Catherine, vous m'avez manqué!
    Votre colère ne concerne pas les chiens? Tout va bien pour eux?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.