On se demande ce qu'attendent les charcutiers du Périgord pour enfin s'associer avec les éleveurs de cochons ibériques, afin de créer, ensemble, fraternellement, un jambon qui soit digne de nos deux grands pays à la gloire millénaire et méritée :
Le Serrano de Bergerac
Avec un filet de truffe (noire ose je le dire) Grande idée.
RépondreSupprimerOu je suis en villégiature il y a pas loin un cochon noir qui me ressemble étrangement. Hormis sa couleur. Il est sale gros et dors tout le temps. Son nom est Léon.
Je vais de ce pas faire une note sur Léon le cochon.
Au boulot (comme dirait Nicolas) !
SupprimerPas sûr qu'il soit hallal et kasher.
RépondreSupprimerDommage, ça sonne bien : cochon kacher !
Supprimerje pense que chacun de leur côté, chacun avec les particularités de son terroir, ils honorent largement l'art de la charcuterie. (voilà que je cause cuistoche maintenant, merde l'ennui !)
RépondreSupprimerChacun de SON côté, bordel !
Supprimer(Cela dit, même des écrivains "de race" font parfois la faute, alors…)
Malgré votre haine des anonymes : savoureux ! ;-)
RépondreSupprimerHeu.
RépondreSupprimerça me rappelle que j'ai mis de côté le Rostand de Taillandier pour vous le prêter, il y a des mois de ça. Fichu virus ! Enfin, je vous le garde au chaud...
RépondreSupprimerPatiente et longueur de temps, et toutes ces sortes de choses…
SupprimerLe mot « serrano » (« montagnard » en français) vient du mot espagnol « sierra », qui désigne une région de montagnes ou de collines.
RépondreSupprimerBergerac a pour origine un nom de personnage germanique « Berger » signifiant montagnard.
La boucle est bouclée ! Et la montagne aux cochons...
La montagne aux cochons me paraît un slogan particulièrement nauséabond (déjà, le cochon, hein…) : je vous signale à qui de droit.
SupprimerQuelle belle bête ! Pour rester dans l'esprit du précédent article, sans doute l'illustre cousin du ténébreux de Bigorre.
RépondreSupprimerFière allure, le Ténébreux de Bigorre !
SupprimerVous nous avez déjà fait part de votre désintérêt pour la bande dessinée. Pourtant votre titre"Sous le signe d'Edmond" est une référence sans doute involontaire à une bd des années 80 plutôt drôle et incorrecte intitulée "Edmond le cochon".
SupprimerEdmond était un personnage mi-homme mi-cochon peu recommandable donc assez intéressant. Enfin, d'après mes souvenirs qui commencent à dater sérieusement.
Ah, ça, pour être involontaire, elle était involontaire, la référence !
SupprimerJe me doute. Cet aspect involontaire la rend d'autant plus savoureuse. Presque autant qu'une fine (ou pas) tranche de Bellota accompagnée d'un verre (ou deux) de Xérès. Mais il me faut bien reconnaître que le Bellota de Bergerac
RépondreSupprimern'a pas du tout le même impact comique que le percutant Serrano de Bergerac. Il tombe même à plat de l'épée.