« Un voisin durable, c'est un voisin qui trie ses déchets et me surveille pour que j'en fasse autant. Une amitié durable, c'est une amitié où l'on ne met pas en danger l'avenir de la planète, même en paroles. On évite d'aborder les sujets qui fâchent. On gobe le discours moralisateur avec le sourire. On accepte l'opportunisme marchand en ouvrant son portefeuille. On se garde de penser sans gourou, sans nounou. On se retient.
« Ce livre raconte comment je ne me suis pas retenu. »
Tel est le texte imprimé sur la quatrième de couverture du dernier livre d'Iegor Gran, écrivain français d'origine russe dont j'ignorais tout encore avant-hier. Ce livre qui semble être son neuvième – shame on me… – est qualifié de récit et s'intitule L'écologie en bas de chez moi, ce qui est un excellent titre. Comme je l'ai commencé il y a une heure, dans la salle d'attente du bon docteur Gozlan – lequel est depuis une quinzaine d'années mon colmateur de molaires, mon polisseur d'incisives, mon crocheteur de canines attitré –, où je n'étais que peu en avance et lui pile à l'heure, je n'ai pas dépassé la troisième page, ce qui est, convenez-en je vous prie, un peu juste pour vous dire tout le bien que je vais sans doute en penser dans les chapitres à venir. Nous y reviendrons, donc. En attendant, je ne puis résister au plaisir de vous citer la dernière phrase du petit texte que Gran a placé en exergue de son récit. Il provient d'un “test d'écocitoyenneté”, distribué aux visiteurs du salon “Planète mode d'emploi” qui se tint à la porte de Versailles en septembre 2009 :
« Et pensez “déchets” à chaque fois que vous faites vos courses : vous parviendrez sûrement à limiter encore plus le volume de votre poubelle. »
Relisez-la lentement, deux ou trois fois si nécessaire. Jusqu'à ce que vous apparaisse avec une netteté impitoyable la gueule hallucinée de la bobo-ménagère qui, poussant son Caddie dans les allées de son hyper, ne peut plus voir dans les rayonnages que de futurs déchets. Et jusqu'à ce que vous soyez capable d'imaginer votre poubelle s'offrant la fantaisie de rapetisser.
« Ce livre raconte comment je ne me suis pas retenu. »
Tel est le texte imprimé sur la quatrième de couverture du dernier livre d'Iegor Gran, écrivain français d'origine russe dont j'ignorais tout encore avant-hier. Ce livre qui semble être son neuvième – shame on me… – est qualifié de récit et s'intitule L'écologie en bas de chez moi, ce qui est un excellent titre. Comme je l'ai commencé il y a une heure, dans la salle d'attente du bon docteur Gozlan – lequel est depuis une quinzaine d'années mon colmateur de molaires, mon polisseur d'incisives, mon crocheteur de canines attitré –, où je n'étais que peu en avance et lui pile à l'heure, je n'ai pas dépassé la troisième page, ce qui est, convenez-en je vous prie, un peu juste pour vous dire tout le bien que je vais sans doute en penser dans les chapitres à venir. Nous y reviendrons, donc. En attendant, je ne puis résister au plaisir de vous citer la dernière phrase du petit texte que Gran a placé en exergue de son récit. Il provient d'un “test d'écocitoyenneté”, distribué aux visiteurs du salon “Planète mode d'emploi” qui se tint à la porte de Versailles en septembre 2009 :
« Et pensez “déchets” à chaque fois que vous faites vos courses : vous parviendrez sûrement à limiter encore plus le volume de votre poubelle. »
Relisez-la lentement, deux ou trois fois si nécessaire. Jusqu'à ce que vous apparaisse avec une netteté impitoyable la gueule hallucinée de la bobo-ménagère qui, poussant son Caddie dans les allées de son hyper, ne peut plus voir dans les rayonnages que de futurs déchets. Et jusqu'à ce que vous soyez capable d'imaginer votre poubelle s'offrant la fantaisie de rapetisser.
Je vais faire l'avocat du diable : non seulement vous avez une épouse qui vide vos déchets mais en plus vous habitez un pavillon.
RépondreSupprimerQuand je fais me courses, je pense à la taille de mon appartement et au nombre de poubelle qui y trônent plus au nombre de voyages que je dois faire...
Ce n'est pas de l'écologie mais du bon sens...
Je suis d'accord avec Nicolas. Quand on vit en immeuble avec une cuisine taille lilliput et qui plus est en belgique avec l'obligation de déposer ses sacs poubelles à même le trottoir on fait gaffe. Et ça comprend réutiliser ses sacs en papier pour prendre des légumes en vrac et ses boites d'œufs pour faire le marché, acheter de la viande emballée dans du papier chez le boucher plutôt que dans des barquettes en polystyrène, et ne plus acheter de plats cuisinés.
RépondreSupprimerTu as le droit de m'imaginer en ménagère hallucinée trainant mon cabas entre les rayons, mais oui, quand je fais mes courses je pense à tout ce qui ne finira pas dans mon estomac.
J'ajoute que depuis que je fais ça, je dépense deux fois moins de thune et je fais le marché chez les commerçants du coin qui vendent des produits de la région plutôt qu'au supermarché où ils vendent des asperges du pérou.
Et j'ai pas besoin d'avoir le cerveau nettoyé par des slogans bien pesants pour faire ça, c'est juste du putain de bon sens. Na.
Néfisa n’a pas tort… Mais son comportement, ne lui en déplaise, est entaché de cette espèce de bon sens désuet fort peu partagée par les bobo et prolo ménagères qui, elles, ont besoin de cette propagande pour toucher terre.
RépondreSupprimerJe sens que je vais me laisser tenter par cet auteur (dont ne nous parlera sûrement pas LE Stalker…)
Nicolas et Nefisa : vous êtes des putains d'aliénés !
RépondreSupprimerLe Plouc : arrêtez de prendre la défense de cette jeune pisseuse, je vous prie !
(Pour le livre, attendez quelques jours que j'en ai lu suffisamment pour vous en dire un peu plus.)
Moi, je pense à tout ça: ma religion m'y oblige, quand elle me dit que chacun de mes actes a des conséquences.
RépondreSupprimerMais j'ai un côté très obscurantiste!
Laurent l'Anonyme
Néfisa, bravo ! Surtout de ne plus acheter de plats cuisinés.
RépondreSupprimerJe trouve un peu fort que les grandes surfaces annoncent de grosses augmentations sur le lait, le café, la farine etc… mais pas du tout sur les glaces et les plats cuisinés.
Pour la bière, je ne sais pas, mais je fais confiance à Nicolas, il nous dira ce qu'il en est : )
Catherine,
RépondreSupprimerJe réponds (en bottant en touche) : j'ai renoncé à avoir de la bière à la maison, étant incapable de maintenir un stock...
Je note que l'argument de Nefisa n'a rien à voir avec l'injonction écolo de "rapetisser sa poubelle" (c'est à dire sa consommation). Pour elle il s'agit simplement de tenir compte de la taille de son appartement. Pour les écolos il s'agit de "sauver la planète". La solution au problème de Nefisa (si elle considère que c'est un problème) c'est d'avoir un appartement plus grand ou bien d'habiter dans une maison. Et si l'on généralise à tous ceux qui sont dans sa situation, la solution c'est la croissance économique : plus de richesses. Pour les écolos la solution c'est la décroissance, d'abord de la poubelle, ensuite de votre maison, de votre voiture, de votre portefeuille etc. bref la pénurie généralisée gérée pour le bien de tous par un nouveau Gosplan. C'est évidemment assez différent.
RépondreSupprimerJe pense qu'Aristide n'a pas lu le commentaire de Néfisa sans compter que l'argument mériterait de figurer en une d'un blog quelconque : plus on consomme moins on participe à la pénurie.
RépondreSupprimerTonton : Oui, on a bien compris, tu te moques des gens qui se matraquent le cerveau à coup d'idéologies néo-bobo-fascisantes histoire de se donner bonne conscience et une raison d'exister sur terre. Mais n'oublie quand même pas, qu'il existe d'autres gens qui pensent à toutes ces choses écologiques (et économiques, j'ai précisé que j'étais fauchée en ce moment?) autant par nécessité que parce qu'ils ont été éduqué ainsi.
RépondreSupprimerLe plouc-émissaire : oui évidemment, je n'ai pas besoin d'être "sloganisé" j'imite ma grand-mère et ma mère.
Gamine je comprenais pas pourquoi les gens mettaient les haricots en boite comme de la bouffe pour chat.
Catherine : quand on sait cuisiner on a du mal à mettre 5 euros dans un plat qui au départ n'en coute que 2 ou 3 en ingrédients. ^^
Aristide vous me semblez particulièrement bouché. Du genre à lire que ce qu'il n'a envie de lire. Je n'ai aucun problème, je suis un bête principe d'économie et de qualité. (et qui est assez stupide pour acheter une maison plus grande rien que pour avoir une grande poubelle ?)
Je SUIS décroissante. Je ne possède que l'essentiel et je consomme peu. En quoi le fait que je me rase les aisselles avec un coupe-chou plutôt qu'un bic jetable pose-t-il un problème ?
Mais te rase pas les aisselles, tu vas te faire engueuler par le vieux.
RépondreSupprimerTiens, Nicolas m'a coupé l'herbe sous le pied, si je puisdire.
RépondreSupprimerLes dreadlocks de dessous de bras très peu pour moi.
RépondreSupprimerEt puis je croyais qu'il aimait surtout les frifri poilus et en ce cas, , je pense que l'état de mon frifri à moi, tonton, il s'en branle complètement... au sens pas littéral du terme.
N'ai-je pas écris "si elle considère que c'est un problème" ? Et c'est moi qui suis censé lire ce que j'ai envie de lire...Quand au fait que vous soyez "décroissante", grand bien vous fasse, cela ne me pose aucun problème du moment que vous ne m'imposez pas de le devenir à mon tour.
RépondreSupprimerMais c'est pas un peu fini, ces cochonneries ?
RépondreSupprimerAristide, le jour ou vous me verrez militer pour quoi que ce soit, vous pouvez venir me pendre par les orteils.
RépondreSupprimerChacun sa merde tant qu'elle ne dépasse pas chez les autres.
C'est sûr que penser déchets en achetant de la nourriture, cela mène directement à ce qui va sortir de nos petits intestins frileux (et de droite).
RépondreSupprimerOn peut donc faire des économies et bouffer de l'herbe, directement recyclable. Après l'avoir passée au compteur Geiger quand même. On sait jamais.
Didier : bien vu, surtout que cette croissance là est très susceptible de produire de futurs consommateurs supplémentaires très gourmands en emballage (particulièrement au niveau du postérieur).
RépondreSupprimerNefisa : nous sommes donc d'accord.
Carine : brouter ? Vous n'y pensez pas ! L'herbe n'étant pas digestible par l'estomac humain vous ne faites qu'augmenter la quantité de vos excrèments. C'est pour le coup que votre merde risque de dépasser chez les autres.
Tout ce que les auteurs contemporains (et en partie les réacs) pourront écrire à ce sujet aura déjà été écrit mille fois mieux au sujet de la nouvelle langue publicitaire par Dos Passos. A quoi bon ?
RépondreSupprimerRemarquez, c'est toujours agréable de lire un auteur qui nous explique comment on nous prend pour des cons. (vu qu'on le mérite bien puisque nous en sommes)
RépondreSupprimerEn fait non.
RépondreSupprimerJe ne sais plus.
RépondreSupprimerJ'ai bu beaucoup de Grappa à la fin de mon déjeuner.
RépondreSupprimerl'écologie pénitentiaire se "bagnalise", plus on essaie de trouver des solutions, plus on s'enferre, et on s'enferme.
RépondreSupprimerEt STP, rajoute moi à Nicolas et Nefisa : ces putains d'aliénés !
@Nef' femme libre, longtemps tu chériras ta mère et ta grand-mère :)
et les frites ?
RépondreSupprimer"et qui plus est en belgique avec l'obligation de déposer ses sacs poubelles à même le trottoir on fait gaffe."
RépondreSupprimerEt encore, vous n'avez pas encore les poubelles électroniques, scannées à chaque levée, facturées chaque fin d'année. 12 levées de déchets gratuites, le reste il faut payer. Salauds de socialistes…
Du coup, moi aussi je fais super attention…quand je balance l'excédant par la fenêtre de la voiture ou que je tape les sachets en trop dans les poubelles des voisins que je soupçonne d'avoir voté vert aux dernières élections.
"J'ajoute que depuis que je fais ça, je dépense deux fois moins de thune et je fais le marché chez les commerçants du coin qui vendent des produits de la région plutôt qu'au supermarché où ils vendent des asperges du pérou. "
Si vous étiez tellement concernée par la thune, vous iriez au supermarché, comme tout le monde, au lieu de vous faire voler par le petit commerçant qui vous vend la même chose au double du prix.
"commerçants du coin qui vendent des produits de la région plutôt qu'au supermarché où ils vendent des asperges du pérou."
Sauf que les asperges poussent au Pérou comme les mauvaises herbes ici. C'est un végétal originaire du bassin méditerranéen. Le bon sens c'est bien, sauf quand c'est mal utilisé. Qu'est-ce qui coûte le plus ? Recréer un climat méditerranéen sous serre ici en Belgique, ou un vol d'avion Lima-Bruxelles ? Ah mais ça, aux dindes dans votre genre, le petit commerçant refile ça en jurant que, "voyez ma bonne dame", l'agriculteur subsidié local coûte plus mais que c'est mieux, peut-être parce qu'il ne ressemble pas à Pancho Villa, mais c'est le prix à payer pour avoir un légume qui n'est passé que dans les mains de consanguins locaux, pas vrai ?
L'endroit où c'est produit c'est gentil, mais c'est le genre de trucs pour dindes dans votre genre, qui ont assez de temps pour faire des rapports comparatifs de prix au lieu de se garer en double-file, de prendre de l'alcool et parfois un peu de nourriture
, de payer par carte et de repartir rapidement, comme il sied aux gentlemen qui ont autre chose à foutre de leur temps.
Il y a 50 ans, j'aurais sûrement pas pu manger des oranges, mais les bonnes femmes dans votre genre auraient sûrement été trop occupées à faire le ménage que pour répandre leur logorrhée vagino-centrée dans les endroits fréquentables du net.
"J'ajoute que depuis que je fais ça, je dépense deux fois moins de thune et je fais le marché chez les commerçants du coin qui vendent des produits de la région plutôt qu'au supermarché"
RépondreSupprimerEn effet, on lit beaucoup d'âneries sur le net, mais je crois que celle-là, elle dépasse tout.
Coriolis : J'ai le droit de préférer les fruits et légumes de saison du coin arrivé à maturation de préférence ailleurs que dans des containers. J'ai jamais dit que je bouffais des asperges belges non plus.
RépondreSupprimerSi un jour on se retrouve à la même table j'irais vous chercher des chicken nuggets chez macdo et de la jupiler, je suis pas intégriste.
La plupart de mes légumes viennent du potager de ma mère, j'ai l'arbre généalogique sur 500 ans, promis elle et mon père ne sont pas cousins. Même si vraisemblablement mon mental en état de délabrement avancé semble affirmer le contraire.
Et pour finir, si vous vouliez faire pleurer une Céleste-dinde vagino-centrée vous n'êtes pas vraiment tombé sur la bonne personne. Je m'en bats les couilles,et j'espère sincèrement que votre tirade a soulagé les vôtres.
XP: C'est pourtant ce que me dit mon porte monnaie, allez savoir.
Et comme je le disais plus haut à Aristide chacun sa merde, vous démontrer par A+B que j'y parviens ferait chier tout le monde, moi en premier.
J'ignore comment se passent les choses en Belgique, mais je ne vois pas comment le boucher "du coin" peut vendre sa viande moins cher que le supermarché. Sauf s'il est hallal, auquel cas (je parle de ce que j'ai observé en France) il est deux à trois fois moins cher qu'un boucher normal, malgré la redevance islamique (je cherche encore à savoir pourquoi).
RépondreSupprimerEn revanche, si le "petit commerçant du coin" vend sur les marchés, cela peut être avantageux.
Une chose qu'il ne faut pas acheter en supermarché si on veut faire des économies (et pas ailleurs non plus), ce sont les plats cuisinés.
Mais il ne faut pas négliger les grandes surfaces. Les légumes vendus dans la chaîne de surgelés Picard sont absolument imbattables : le prix est nettement inférieur à ce que vous pouvez trouver partout ailleurs, la qualité très bonne, il n'y a pas de déchets, aucune préparation à prévoir, et cela se conserve indéfiniment.
"'ai le droit de préférer les fruits et légumes de saison du coin arrivé à maturation de préférence ailleurs que dans des containers."
RépondreSupprimerhttp://www.tomate-cerise.be/dossiers/fruits-et-legumes-de-saisons.html
C'est ce qui pousse "dans le coin". Faut aimer bouffer des pommes de terre, du choux et ne pas manger de fruits 6 mois par an. Demandez à "vos ancêtres", moi je vous parie qu'ils mangeaient du porc toute l'année, qu'ils avaient du poisson le jour du carême, parfois un morceau de boeuf ou un poulet, et c'est à peu près tout, et qu'ils mouraient à 50 ans. C'est que, niveau santé, il faut mieux des fruits mûris dans des containers que pas de fruits du tout.
J'adore le choux, les rutabagas, les cotons de bettes et les endives. Les navets c'est plutôt cool, et le poireau ca déchire sa maman.
RépondreSupprimerEt Marchenoir a mentionné un truc génial, le surgelé, j'ajouterai Pasteur à la donne et vous avez des conserves. Les fruits au sirop ? la compote ? Les fruits secs ?
J'ai plus de plaisir à m'envoyer un pot de crème de marron fait maison et gardé dans un pot en verre réutilisable qu'un sveltesse O% gout fraise chimique dans un pot en plastique ou une potée champenoise cuit dans une unique casserole plutôt qu'un macdo dans 5 emballages.
Je trouve ça bon, quasi-jouissif, et c'est tout bénef pour ma poubelle.
Vous comptez vraiment m'en chier une pendule ?
Un autre truc, c'est que plus on accepte de passer du temps en cuisine, plus on peut économiser sur la nourriture tout en se faisant plaisir.
RépondreSupprimerMalheureusement, beaucoup de gens ne font plus la cuisine. Je me marre souvent (intérieurement, faut pas exagérer...) quand j'entends les questions posées par les clientes sur les marchés. Vous avez celle qui ne sait pas cuire un oeuf, celle qui n'a jamais cuit un vrai poisson de chez le poissonnier...
Les livres de recettes anciens consacraient beaucoup de pages au budget, tant en termes de provisions qu'en termes de dépenses de cuisson.
Cela a totalement disparu, pour revenir petit à petit.
"J'ai plus de plaisir à m'envoyer un pot de crème de marron fait maison et gardé dans un pot en verre réutilisable qu'un sveltesse O%"
RépondreSupprimerOn a les plaisirs qu'on peut…Dites, vous seriez pas fonctionnaire ?
Quand même l'oncle!! traiter Nefisa de "dinde" ..; y'en a qui lisent jamais vot'bloguerolle ou bien quoi!!! Geargies!!
RépondreSupprimerCe serait intéressant de compléter avec un autre livre récent, plus universitaire, mais qui amène aussi à réfléchir sur la tendance : Développement durable ou le gouvernement du changement total (éditions Bord de l'eau).
RépondreSupprimer"jusqu'à ce que vous soyez capable d'imaginer votre poubelle s'offrant la fantaisie de rapetisser."
RépondreSupprimerCa s'appelle l'incinération mais je ne sais pas si c'est réellement écolo.