La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
jeudi 22 décembre 2011
L'avalé des à-valoir
La différence essentielle entre un écrivain et son confrère en bâtiment : lorsqu'il a terminé un roman, le premier remet son ouvrage sur le métier ; le second se contente de le remettre à son éditeur.
Le camarade Lev faisait dans le bâtiment alors, parce que son éditeur s'est vu remettre quelques manuscrits de belle épaisseur. Peut-être que ce moujik ne se relisait pas, ce qui expliquerait cela...
Yanka : en fait, c'est ce que je voulais répondre à un précédent commentateur : être un vrai écrivain n'empêche pas de penser aussi à la gamelle. (J'en connais au moins un…)
Nicolas : je l'ai fait rien que pour vous. (Chabada bada, chabada bada…)
Vous l'avez fait exprès ? Force comique du propos ! Il y a des spécialistes du ratage, de la chute, du cul par-dessus tête, de la gamelle, quoi ! (j'en connais au moins un)
Ce n'est pas un BM ?
RépondreSupprimer(mon blog est ouvert)
L'écrivain en bâtiment ne cherche pas à faire une oeuvre impérissable: il fait bouillir la marmite.
RépondreSupprimerLe principe est simple ils se lient chacun en un seul mot, la singularité de s'y confondre.
RépondreSupprimerSand c'est tout à fait ça.
RépondreSupprimerCompte tenu de la censure que vous imposez scandaleusement, je place ici mon commentaire à votre billet suivent (nah!) :
RépondreSupprimer"z'avaient qu'à pas être orphelines !"
Faire bouillir la marmite est une œuvre impérissable…
RépondreSupprimerLe Plouc : si j'ai fermé les commentaires du billet-annonce, c'est parce que je trouve plus logique qu'ils soient faits chez PRR plutôt qu'ici…
RépondreSupprimerC'est Tolstoï?
RépondreSupprimerLe camarade Lev faisait dans le bâtiment alors, parce que son éditeur s'est vu remettre quelques manuscrits de belle épaisseur. Peut-être que ce moujik ne se relisait pas, ce qui expliquerait cela...
RépondreSupprimerAh ! J'aime bien ce billet. Il est vite lu.
RépondreSupprimerSuzanne : oui.
RépondreSupprimerYanka : en fait, c'est ce que je voulais répondre à un précédent commentateur : être un vrai écrivain n'empêche pas de penser aussi à la gamelle. (J'en connais au moins un…)
Nicolas : je l'ai fait rien que pour vous. (Chabada bada, chabada bada…)
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RépondreSupprimer"... penser à la gamelle..."
RépondreSupprimerVous l'avez fait exprès ? Force comique du propos ! Il y a des spécialistes du ratage, de la chute, du cul par-dessus tête, de la gamelle, quoi ! (j'en connais au moins un)