C'est avec un très grand intérêt que je poursuis la lecture du livre de Michèle Cointet, Nouvelle histoire de Vichy. Étude à la fois très fouillée et d'une clarté exemplaire, se refusant les facilités et les partis pris idéologiques, d'un bord ou de l'autre. Néanmoins, il y a tout de même une faiblesse du scénario, grandement dommageable au soutien de l'attention chez le lecteur : à une centaine de pages de la fin, on devine déjà que tout cela va probablement très mal finir.
Je sens que votre inconscient est un peu déçu, abusé qu’il fut en lisant le titre accrocheur : "NOUVELLE Histoire de Vichy"… C’est le drame avec les grands classiques. Notez, c’est pareil avec les romans d’aujourd’hui : Fini la chute "ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…" Et le n’importe quoi ne surprend même plus ! C’est lassant.
RépondreSupprimerMais vous allez nous redresser ça. Je suis sûr qu’il y a matière pour un prochain BM dans le genre "Pétain-Vichy le Retour"… Ça en jetterai, je vous dit pas !
"Oh le con" me suis-je dit au moment même ou j'éclate de rire. Le regard d'Adolph est surprenant. On sent une volonté de domination et en même temps un questionnement sur le pépère, "le vieillard magnifique" dixit Miterrand.
RépondreSupprimerHélas, comme dans tous les romans de chevalerie il y a un traître qui oeuvre en sous-main pour les anglois et les sarrasins.
RépondreSupprimerHélas, comme dans tous les romans de chevalerie il y a un traître qui oeuvre en sous-main pour les anglois et les sarrasins.
RépondreSupprimerC'est comme Le procès de Jeanne d'Arc. Dès le début on devine la fin.
RépondreSupprimerLe Plouc : comme je suis d'un naturel primesautier, je viens de ranger le lmivre sur la même étagère que de Gaulle…
RépondreSupprimerPRR : Adolf, siouplaît !
Naïf : oh, les traîtres, visiblement, ce n'était pas une denrée en voie de raréfaction, alors ! Et pas besoin de tickets…
Nicolas : les écrivains en bâtiments du passé étaient des branquignols.
Ah cette tendance à tout américaniser !
RépondreSupprimer"Très mal finir" pour qui? La tension est palpable.
RépondreSupprimerPour les héros de l'histoire, évidemment ! Ils ont beau être très méchants et assez nauséabonds, vous savez ce que c'est : au bout d'un certain nombre de pages, on fini par s'attacher…
RépondreSupprimerOn finiT, plutôt…
RépondreSupprimerPétain exemplaire :
RépondreSupprimerJacques Chirac a rejoint Philippe Pétain dans l'histoire en devenant le deuxième président français a être condamné à l'issue de son mandat.
Jean-Pierre Chevènement peut encore attendre il est encore trop jeune pour devenir président.
Sauf que Philippe Pétain n'était pas président mais chef de l'État.
RépondreSupprimerPétain condamné à l'issue de son mandat ! J'espère que vous allez poursuivre votre cycle consacré à l'histoire de France. Chacun apporte sa pierre, les gisants ne vont pas tarder à se dresser à Saint-Denis...
RépondreSupprimeren fait Chirac est le 3ème chef de l'Etat à avoir été condamné.
RépondreSupprimerLe 1er est Louis XVI
et le second, Pétain.
on notera que les peines sont de plus en plus allégées à chaque fois.
pas toujours bon d'être le premier...
sinon, des fois que vous ne connaitriez pas (mais j'en doute), lisez "Nous voilà" de Laclavetine.
RépondreSupprimeron peut y voir une sorte de suite romancée...posthume