Photo : Irrempe, ce matin, Le Plessis-Hébert3,1,2... 3,1,2... le monde moderne, c'est merveilleux !
Ainsi, grâce à ce paradis dans lequel nous avons tous sauté à pieds joints, je veux parler du 21e siècle après Jean-Claude, l'Irremplaçable et moi-même - mais surtout elle - venons d'inventer un nouveau moyen de communication conjugale qui devrait logiquement devenir suffisamment tendance pour faire très prochainement son apparition dans les pages d'Elle.
Sous le fallacieux prétexte que je passe ma vie devant l'ordinateur commun, Catherine a fait l'acquisition d'un Mac book absolumentbudgétivore superbe. Dès que ce rutilant appareil à la mine innocente a fait son entrée, notre vie a radicalement changé.
Pour commencer, l'Irremplaçable n'en branle plus une, scotchée qu'elle est, dès potron-minet, devant son écran ridiculement petit. À peine le temps d'aller s'ébrouer une demi-heure au bois voisin avec les cadors, pour y prendre quelques photos givrées (elle est dans son élément, se confond presque avec le paysage...), la voici de retour devant l'infernale machine.
Scotchée, disais-je... Au point que se lever de son fauteuil, franchir les dix mètres qui séparent la maison de la Case, pour me dire de vive voix ce qui vient de traverser son cerveau chancelant, est devenu trop pénible ; au-dessus de ses forces, ce petit pélerinage de Compostelle. Alors, elle a trouvé le truc ; et, moi, triste mâle à la dérive, j'ai bien dû me résoudre à m'y plier.
Désormais, on se parle par boîtes mail interposées, quant ce n'est pas sous forme de commentaires sur nos blogs respectifs.
Cela m'a fait repenser à Face aux feux du soleil, ce roman d'Isaac Asimov dans lequel des humains très peu nombreux, vivant en solitaires dans les immenses domaines d'une planète excentrée et servis part des armées de robots, en arrivent, au fil des générations, à ne plus supporter le contact avec un autre individu de chair, ni même l'idée de ce contact.
Franchement, je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais, personnellement, je n'éprouve pas une hâte frénétique à la perspective de devoir entrer, un jour ou l'autre, dans le 22e siècle.
Ainsi, grâce à ce paradis dans lequel nous avons tous sauté à pieds joints, je veux parler du 21e siècle après Jean-Claude, l'Irremplaçable et moi-même - mais surtout elle - venons d'inventer un nouveau moyen de communication conjugale qui devrait logiquement devenir suffisamment tendance pour faire très prochainement son apparition dans les pages d'Elle.
Sous le fallacieux prétexte que je passe ma vie devant l'ordinateur commun, Catherine a fait l'acquisition d'un Mac book absolument
Pour commencer, l'Irremplaçable n'en branle plus une, scotchée qu'elle est, dès potron-minet, devant son écran ridiculement petit. À peine le temps d'aller s'ébrouer une demi-heure au bois voisin avec les cadors, pour y prendre quelques photos givrées (elle est dans son élément, se confond presque avec le paysage...), la voici de retour devant l'infernale machine.
Scotchée, disais-je... Au point que se lever de son fauteuil, franchir les dix mètres qui séparent la maison de la Case, pour me dire de vive voix ce qui vient de traverser son cerveau chancelant, est devenu trop pénible ; au-dessus de ses forces, ce petit pélerinage de Compostelle. Alors, elle a trouvé le truc ; et, moi, triste mâle à la dérive, j'ai bien dû me résoudre à m'y plier.
Désormais, on se parle par boîtes mail interposées, quant ce n'est pas sous forme de commentaires sur nos blogs respectifs.
Cela m'a fait repenser à Face aux feux du soleil, ce roman d'Isaac Asimov dans lequel des humains très peu nombreux, vivant en solitaires dans les immenses domaines d'une planète excentrée et servis part des armées de robots, en arrivent, au fil des générations, à ne plus supporter le contact avec un autre individu de chair, ni même l'idée de ce contact.
Franchement, je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais, personnellement, je n'éprouve pas une hâte frénétique à la perspective de devoir entrer, un jour ou l'autre, dans le 22e siècle.
Vous ne communiquez pas déjà par msn ? Ha oui, c'est vrai : vous ne vous êtes pas connus sur internet...
RépondreSupprimerAnange, une partie de moi est restée coincée au 20e siècle : je ne SAIS PAS faire des MSN, je n'ai même pas de portable...
RépondreSupprimerVous êtes dispensé pour le XXIIème - mais allez quand même chercher le mot d'excuse de maman pour le prof de stretching.
RépondreSupprimerSigné : le Principal (et intérêts).
Heu... Sauf votre respect, je parlais de msn messenger, et non pas des sms ou mms. Bonne nuit.
RépondreSupprimerD'une part, rassurez-vous, ni vous 2 ni moi-même, sauf progrès implacables de la médecine, ne verrons les 22è siècle après Jean-Christophe (oui, j'aime bien aussi Jean-Christophe, c'est mon cousin !)
RépondreSupprimerD'autre part, que n'installez-vous MSN et skype, avec une web cma', vous auriez le son ET l'image ... pratiquement plus besoin de sortir de vos cases respectives ... un micro-ondes, des bolinos et un lot de sex toys chacun ... et tout ça devrait rouler comme sur des roulettes, non ?
Comment ça, NON ?
J'sais pas ce qu'il vous faut, Didier, vraiment !
PS : et en plus vous confondez MSN et SMS ... vraiment toute une éducation à refaire, c'est bien beau de se la péter sur un blog si on confond SMS et MSN ... mais un jour ou l'autre, dans les Brigades Mondaines, ils vont s'y mettre, faut se documenter, allons !
Ah et encore vous n'êtes pas tombés dans la messagerie instantannée.
RépondreSupprimerDes bizettes.(vous y viendrez, forcément, msn, skype....)
Oh purée, j'avais pas lu les autres commentaires.
RépondreSupprimerMSN, c'st pas pareil que sms ou mms, anange, vous allez nous le faire péter au pauvre Didier ;)
Des bizettes (déjà qu'il poste 2 fois le même commentaire chez moi...)
Bon, ça m'apprendra à vouloir jouer les jeunes branchés avec les mémé zen et les essaime est-ce ? : je me suis une fois de plus couvert de pipi...
RépondreSupprimeret une tena pour le monsieur UNE !
RépondreSupprimer( je frime j'ai trouvé encore moins à la page que moi)