- Grand chef ! Viens voir ça… fit soudain Géraldine, dans le dos des deux hommes.
Boris Corentin se hâta de la rejoindre, près du petit bureau de palissandre devant lequel elle se trouvait. Elle tenait un agenda de cuir fauve ouvert à la main.
- J’ai trouvé ça dans le premier tiroir de la commode, là-bas, près du vélo d’appartement. Entre parenthèses, tu as vu le truc de ouf ? M’est avis qu’elle devait être plutôt chaude du réchaud, la Coralie !
Visiblement, ou plutôt auditivement, à en juger d’après son vocabulaire « fleuri », Géraldine devait s’être déjà remise du choc que lui avait asséné la vue du cadavre défiguré, avec le tisonnier jaillissant d’entre ses cuisses…
Boris Corentin ouvrit de grands yeux ronds en découvrant l’énorme godmichet noir fixé verticalement sur la selle de l’appareil.
- En plus, ajouta la jeune femme, sur un ton tout à fait naturel, si elle s’enquillait ce truc-là dans la moniche, disons : une demi-heure par jour, elle devait être plutôt spacieuse du centre d’accueil !
Oui, décidément, Géraldine Hébert semblait complètement remise…
Boris Corentin se hâta de la rejoindre, près du petit bureau de palissandre devant lequel elle se trouvait. Elle tenait un agenda de cuir fauve ouvert à la main.
- J’ai trouvé ça dans le premier tiroir de la commode, là-bas, près du vélo d’appartement. Entre parenthèses, tu as vu le truc de ouf ? M’est avis qu’elle devait être plutôt chaude du réchaud, la Coralie !
Visiblement, ou plutôt auditivement, à en juger d’après son vocabulaire « fleuri », Géraldine devait s’être déjà remise du choc que lui avait asséné la vue du cadavre défiguré, avec le tisonnier jaillissant d’entre ses cuisses…
Boris Corentin ouvrit de grands yeux ronds en découvrant l’énorme godmichet noir fixé verticalement sur la selle de l’appareil.
- En plus, ajouta la jeune femme, sur un ton tout à fait naturel, si elle s’enquillait ce truc-là dans la moniche, disons : une demi-heure par jour, elle devait être plutôt spacieuse du centre d’accueil !
Oui, décidément, Géraldine Hébert semblait complètement remise…
Oui, les jeux olympiques du sexe, les seuls que je regarde ... avec les élections américaines, à cause de l'âne et de l'éléphant essentiellement ! Vous savez ce qu'on dit de ces deux charmants animaux.
RépondreSupprimerMais bon Hillary n'est pas aussi chaude que Géraldine, hélas !
Manière sympathique de suivre l'évolution de l'écriture en batiment. Dans le genre 'l'extrait du jour', avec la poésie qui va avec...
RépondreSupprimerLa poésie, la poésie : pas de diffamation, je vous prie, mon cher ! vous allez me faire perdre mes lecteurs, si ça vient à se savoir...
RépondreSupprimerOui Asensio lâcherait vos bouquins, dégoûté... Pourvu qu'il ne tombe pas sur cette note!
RépondreSupprimerAsensio fait son miel de tout même de la merde - j'allais dire surtout quand on est une mouche qui se respecte ...
RépondreSupprimerAsensio a beaucoup d'amis... Un genre de Cyrano en moins drôle en fin de compte.
RépondreSupprimerOui mais il parle trop de son nez ...
RépondreSupprimerOui mais il parle trop de son nez ...
RépondreSupprimerC'est sans doute que son nez contient à lui seul toute la littérature... valable! Ce n'est pas rien!
RépondreSupprimerCher Tang (et autres), il me serait infiniment agréable que vous cessassiez vos tentatives pour rallumer d'anciens feux qui, à mon sens non plus lieu de crépiter - en tout cas ici. Je vous en remercie d'avance, sachant que vous me comprendrez.
RépondreSupprimerDidier
ça manque d'ilustrations
RépondreSupprimerChère Sphinge, c'est qu'on ne fait pas dans l'illustré pour enfants, savez-vous ?
RépondreSupprimerNota, et si possible bene : j'ai réellement connu une jeune femme, il y a bien des années, qui avait ce genre de vélo "bricolé" au milieu de son salon, ainsi que des photos d'elle en train de faire plaisir à des messieurs et des dames, punaisées À L'EXTÉRIEUR de sa porte d'appartement.
Comme quoi, on n'invente jamais rien...