Hier, à l'occasion d'une recherche sur Go*gle, concernant mon propre nom, je tombe sur une phrase d'un ancien article de blog, datant du premier avril dernier (j'aurais dû me méfier), ou plus exactement sur un tronçon de phrase, disant ceci : "...Didier Goux, finalement le plus sympathique et le plus malin de...". Tel était l'extrait proposé. Je n'avais qu'un vague souvenir de ce message, écrit à la suite d'une réunion de blogueurs, autour de R. Camus, chez Jean-Paul Marcheschi, dont j'ai moi-même parlé sur l'ancien blog, et que je remettrai en ligne ici, pour peu que la pression populaire se fasse irrésistible. (J'attends...)
Par curiosité, je me reporte à l'article en question, sur le blog du jeune homme qui en est l'auteur. Je le lis, le relis, le relis encore. Rien. Pas la moindre mention de mon nom, aucune allusion à ma présence. Je me retrouve soudain dans la position d'un membre du Politburo, dont on a effacé la trombine sur les photos officielles, après sa disgrâce auprès du Père Joseph et son aller simple pour Magadan (cowboy).
Je comprends fort bien que le taulier de la place se soit ravisé à mon sujet (il en est d'autres) et rendu compte que je n'étais finalement ni sympathique ni malin. Soit. Il n'empêche. Me voyant ainsi effacé, rayé de l'histoire officielle, je me suis dit que ce blog, qui se veut et se prétend jardin, devait bien être discrètement surveillé par un ou deux miradors qui m'avaient échappé à première vue.
Par curiosité, je me reporte à l'article en question, sur le blog du jeune homme qui en est l'auteur. Je le lis, le relis, le relis encore. Rien. Pas la moindre mention de mon nom, aucune allusion à ma présence. Je me retrouve soudain dans la position d'un membre du Politburo, dont on a effacé la trombine sur les photos officielles, après sa disgrâce auprès du Père Joseph et son aller simple pour Magadan (cowboy).
Je comprends fort bien que le taulier de la place se soit ravisé à mon sujet (il en est d'autres) et rendu compte que je n'étais finalement ni sympathique ni malin. Soit. Il n'empêche. Me voyant ainsi effacé, rayé de l'histoire officielle, je me suis dit que ce blog, qui se veut et se prétend jardin, devait bien être discrètement surveillé par un ou deux miradors qui m'avaient échappé à première vue.
Olivier Bruley est très "contrôlé" par Asensio et Driout : il n'y a pas de fumée sans feu. C'est dommage, car il écrit très bien, lui.
RépondreSupprimerOn peut découvrir d'autres choses qui vous rendent encore plus malin et plus sympathique en tapant "Didier Goux" dans G*ogle.
RépondreSupprimerCingal est un con mythomane mais ceci n'est pas une nouvelle ...
RépondreSupprimeriPidiblue
Les deux derniers billets sublimes du normalien émérite :
RépondreSupprimerSoleil nueigeux
Centon de myocastors
Duras enfoncée avec son "Hiroshima mon amour" ...
Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ? Parce qu'il avait vu Cingal sur l'autre trottoir !
RépondreSupprimeriPidiblue
Je pense qu'il faudrait que quelqu'un-en toute objectivité naturellement- se dévoue pour expliquer la composition des camps en présence, les motifs du conflit, les armes utilisées, les sous-entendus idéologiques, les soutiens financiers, les accointances politico-médiatiques... Parce qu'on s'y perd un peu!
RépondreSupprimerCause toujours comme disait le poulet écrasé au coin de la route !
RépondreSupprimerNV,
RépondreSupprimerC'est encore plus compliqué que les débats entre Mac-Mahoniens, rédacteurs de Positif et rédacteurs des Cahiers.
Relisez plutôt Swift ou Voltaire.
Et c'est vraiment moi qui ai déclenché tout ça ? Putain, je suis trop fort comme gars !
RépondreSupprimerLe battement de l'aile du papillon Goupteryx Macho a déclenché un ouragan dans les Bermudes !
RépondreSupprimerNous allons tous collapser à force de lire Mister Goux !
RépondreSupprimerQuelqu'un connaît-il une prière efficace pour nous sortir de la gueule du monstre ?
Jonas dans le ventre de Béhémoth
Après le stalinisme sphérique vous n'auriez rien sur le nihilisme petit-bourgeois ?
RépondreSupprimerA Guillaume C, Didier Goux, Pascal, NV
RépondreSupprimerOn a affaire à des gens qui ne comprendront jamais rien. Des crétins à temps plein.
Oh ! Mais quel médisant vous faites, mon cher Didier. Figurez-vous que j’ai retrouvé le passage où l’on écrivait que vous étiez le plus sympathique et le plus malin ! Il n’a pas été effacé mais se trouve dans les commentaires qui suivent mon billet. Et… vous allez rire, mais le commentaire est justement de, devinez qui ! De Juan Asensio, que vous aimez tant ! Tout de même, vous me prêtez de bien mauvaises intentions ! Je ne vous en veux pas, parce que vous êtes le plus sympathique et le plus malin, ‘‘mais bon’’…
RépondreSupprimerVoici le lien vers les commentaires en question :
http://oliviermb.hautetfort.com/archive/2007/04/02/dimanche-1er-avril-2007.html#comments
PS : je n’ai pas le sentiment d’être si contrôlé que cela, rassurez-vous.
il faudra demander à Jean-Paul Marcheschi d'organiser une soirée de réconciliation entre Juan Asensio et Didier Goux. Je pense d'ailleurs qu'ils ont suffisamment d'ennemis communs pour faciliter ce réalignement diplomatique.
RépondreSupprimerCher NV, je ne pense pas trahir un secret d'État : Juan Asensio et moi-même avons, assez récemment, eu un échange de mails (privés)d'une courtoisie exemplaire...
RépondreSupprimerCela ne m'étonne pas vraiment. La différence de style est patente mais les goûts ne sont pas si éloignés. Et il y a toujours un point ou immanence et transcendance se rejoignent.
RépondreSupprimerJe me demande si je n'ai pas de près ou de loin à voir avec cet échange d'une courtoisie exemplaire...
RépondreSupprimerJe m'étonne juste que messire Asensio n'ait pas comme à l'accoutumée exposé sur son stalker avec sa pudeur coutumière et légendaire cet échange privé, en s'excusant bien entendu par avance auprès de l'intéressé trahi...
Mais je suis médisant... Sans doute!