La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
lundi 28 janvier 2008
Ça y est, je suis célèbre !
On s'occupe beaucoup de moi par ici. Et ne "zappez" pas la fin du billet qui, si elle ne parle plus de ma petite personne, constitue un très réjouissant râle d'auto-satisfaction de la taulière...
Pardon au taulier... mais puisqu'on commente des commentaires de gens qui feraient mieux de la fermer... un peu de Georges dans le texte. Ah c'est trop top bien ! Quelle clairvoyance et quel juste mépris. Lisez, lisez tout Georges. Lui ne bande plus d'être à ce point lucide....mais nous si !
"Vous voyez, c'est précisément ce que je déplore, dans les blogs, que des gens qui d'ordinaire garderaient la bouche fermée et les poings dans leurs poches crevées, s'autorisent à pérorer inutilement, et à encombrer l'espace de leur diarrhée verbale confuse et ridicule. Vous en êtes pour moi le plus parfait exemple."
Ah "les poings dans leurs poches crevées"... crevées qu'elles sont leur poches en plus !Ah Georges ce détail finement observé... l'épaisseur du vécu...
Tang, arrêtez donbc de croire qu'on pense TOUT LE TEMPS à vous ! Et, non, je n'ai nulle besoin du semipuceau Verdennet pour régler mon compte avec de petites pétasses de gauche stalinoïdes !
Et je me désole de révéler la supercherie sans que nul ne s'y soit frotté (d'autant que je jurerais qu'il y a bien ici quelques esprits assez fins pour ne pas s'en laisser conter!)
Sur ce coup de brosse à reluire évidemment désintéressé...
PS: Merci pour votre intervention chez Yanka Didier...
La polémique stalker a un peu focalisé les esprits par chez moi, j'y réfléchirai à deux fois à la prochaine démangeaison de bastonnade! Rien de plus désolant que de faire de l'esprit faute d'en avoir mais de n'avoir pas plus de public (voyez ça recommence!).
J'ai été tenté, je l'avoue, de déposer un commentaire chez la dame mais quand j'ai lu qu'il était plus ou moins question d'y installer un pare-cons, j'ai dû battre en retraite car, dans ces conditions, n'est-ce pas, c'est pas du jeu.
En tout cas, grâce aux blogues, je n'arrête pas d'apprendre des mots nouveaux. Ainsi, moi qui croyais jusqu'à présent que les trolls étaient ces affreux schtroumpfs vaguement celtisants qui sont parmi ce que l'on trouve de plus horriblement kitsch dans les boutiques à touristes de Bretagne, je découvre que ce sont également, si je comprends bien, des sortes de casse-couilles qui s'invitent à intervalles réguliers sur les blogues des autres. Cette tentative de définition, j'en suis conscient, est encore imparfaite car je n'ai pu déterminer, dans la discussion qui s'est tenue sur le sujet entre les différents membres de la chouette bande de potes de la dame, si le troll devait ou non tenir un blogue pour mériter pleinement cette appellation.
Quoi qu'il en soit, même si une minorité plus ou moins bienveillante des présumés trentenaires (en fait, ce n'est que moi qui présume) qui fréquentent le blogue en question semble ne vous accorder cette qualité que par intermittence, force est néanmoins de constater qu'une majorité vous désigne bel et bien comme troll. Or – et c'est là que le présent commentaire prend, à mes yeux tout au moins, un véritable intérêt – une question se pose, angoissante : ne suis-je pas moi-même (s'il m'est permis de parler une nouvelle fois de mon humble personne) un troll, qui plus est l'un de vos trolls, soit, tout compte fait, un troll de troll ? Je ne connais pas encore bien le sujet mais je doute, d'après ce que je lis, que ce soit très glorieux...
J'ignore par ailleurs si l'on me tient également, moi qui ne suis ni camusien (encore faudrait-il que je sache ce que cela veut dire, aurait pu ajouter un vieil ami commun), ni anti-vélibien forcené (non, non, ne protestez pas, vous aggravez encore votre cas auprès de nos gentils blogueurs, à coup sûr delanoëphiles en diable), ni un grand amoureux de nos braves amis les toutous (encore que... je n'ai jamais goûté de bosintang, après tout), et qui n'ai, par-dessus le marché, jamais osé acheter un Brigade Mondaine, de peur de confondre avec un Gérard de Villiers, et jamais non plus accordé mon suffrage à la droite, sauf en 1988, où j'ai voté Mitterrand au second tour (et ne me parlez pas de la finale de la présidentielle de 2002 car, vu les circonstances, ça ne comptait pas vraiment), j'ignore, disais-je avant ce plaidoyer de non-gusticisme de fait, si l'on me tient également pour membre de votre Cour, ou tout au moins pour ce que l'on se plaît, à plusieurs reprises, à qualifier ainsi. Cela risque d'être pris pour une vile flatterie de ma part si nos petits amis dépêchent un espion en ces lieux mais il me faut vous dire que cette Cour-là ne me paraît pas, en tout cas, moins fréquentable que celle de la belle plante qui a maladroitement tenté de vous étriller dimanche dernier.
Sinon, qu'est-ce que c'est que cette histoire : vous avez réellement trois blogues ?
Bon, mes voisins du dessous (des petits jeunes qui vivent, semble-t-il, un moment un peu difficile) ont fini de s'engueuler et n'ont apparemment plus rien à casser. La réponse groupée à Maître Tang attendra un peu : je vais me coucher.
C'est vrai qu'on parle beaucoup de vous sur les blogs.
Voici un extrait choisi( le monsieur parle de vous) :
"C’est alors que j’ai l’intuition… Ce gars-là picole ! Ca m’est arrivé aussi (j’emploie le passé uniquement parce que maintenant je ne commente que à jeun). La journée il est à jeun et charmant. Le soir, il est bourré et con, tout en conservant un fond d’humour mais l’employant mal à propos !"
N'exagère-t-il pas un petit peu ? Mon intuition à moi c'est que ça fait longtemps que l'alcool n'a plus d'effet sur vous ( ou alors à très forte dose).
Cher Chieuvrou : et si le mieux était de se foutre absolument de toutes ces conneries ? (Pour les trois blogs, c'était un gag...)
Sniper : pour trouver à ce jeune homme ainsi qu'à la crispante Néa que j'était capable de "troller" à jeun, j'y suis allé hier soir. J'espère avoir été convaincant.
Et, oui, l'alcool continue d'avoir les effets classiques sur moi, même pas à fortes doses, et encore plus depuis que je ne bois plus qu'épisodiquement.
Voyons, Chloé : c'est une nécessité ! Comment voulez-vous connaître la manière dont vivent et broutent les moutons si vous ne pénétrez jamais dans la bergerie ?
Ah ! j'ai une réponse à la question que Chieuvrou ne me posait pas, être camusien ressemble à s'y méprendre à la méthode Cauet ou Coué, je ne sais plus, il faut se répéter in petto "je suis cultivé, je suis cultivé, je suis cultivé" ad libitum.
Ah! Carla ne te déshabille pas trop tôt, laisse-nous rêver !
RépondreSupprimeriPidiblue effaré par la pipolisation contemporaine
Nous sommes tous célèbres et nous ne le savions même pas ! Il ne nous reste plus qu'à épouser notre triste sort de fashion victim !
RépondreSupprimeriPidiblue à nu
En-dessous de cinq milliards ne comptez pas vous taper Nea !
RépondreSupprimeriPidiblue de bon conseil
Pardon au taulier... mais puisqu'on commente des commentaires de gens qui feraient mieux de la fermer... un peu de Georges dans le texte. Ah c'est trop top bien ! Quelle clairvoyance et quel juste mépris. Lisez, lisez tout Georges. Lui ne bande plus d'être à ce point lucide....mais nous si !
RépondreSupprimer"Vous voyez, c'est précisément ce que je déplore, dans les blogs, que des gens qui d'ordinaire garderaient la bouche fermée et les poings dans leurs poches crevées, s'autorisent à pérorer inutilement, et à encombrer l'espace de leur diarrhée verbale confuse et ridicule. Vous en êtes pour moi le plus parfait exemple."
Ah "les poings dans leurs poches crevées"... crevées qu'elles sont leur poches en plus !Ah Georges ce détail finement observé... l'épaisseur du vécu...
http://www.blogger.com/profile/02959175684769698127
What else ?
RépondreSupprimerGeorge Clooney ppc iPidiblue
Je sens que cette note à un destinataire caché Didier. Dont le pseudo commence par Jean-Patrice et finit peut-être par Verdennet.
RépondreSupprimerPS: Je pensais être au rangs des blogs qui vous énervaient, mais en effet je ne fais peut-être pas le poids!
Tang, arrêtez donbc de croire qu'on pense TOUT LE TEMPS à vous ! Et, non, je n'ai nulle besoin du semipuceau Verdennet pour régler mon compte avec de petites pétasses de gauche stalinoïdes !
RépondreSupprimerNe me demandez pas l'impossible Didier!
RépondreSupprimerEn réalité c'est que je ne sais comment interpréter le silence assourdissant qui a accueilli cette note tortueuse comme un hameçon et non moins ardillonnée...
Et je me désole de révéler la supercherie sans que nul ne s'y soit frotté (d'autant que je jurerais qu'il y a bien ici quelques esprits assez fins pour ne pas s'en laisser conter!)
Sur ce coup de brosse à reluire évidemment désintéressé...
PS: Merci pour votre intervention chez Yanka Didier...
Tang, votre lien ne fonctionne pas. Du coup, je ne comprends rien à ce que vous essayez de me dire !
RépondreSupprimer(Prenez votre temps pour répondre : je replie les gaules et vais mettre la viande dans le torchon...)
Arf en effet, mes excuse pour le lien erroné. Mon billet attrape couillons est là:
RépondreSupprimerhttp://tangleding.hautetfort.com/archive/2008/01/26/reac-vs-progressistes-le-secours-de-la-langue.html
(saurez vous flairer l'arnaque sympathique Goux?)
Et j'en profite pour signaler que je vous ai réglé tardivement (trop tard sans doute) une dette sur meetic s'il vous en souvient:
http://tangleding.hautetfort.com/archive/2007/11/28/anthropolgie-moderne-le-cueilleur-chasseur-meethique.html
La polémique stalker a un peu focalisé les esprits par chez moi, j'y réfléchirai à deux fois à la prochaine démangeaison de bastonnade! Rien de plus désolant que de faire de l'esprit faute d'en avoir mais de n'avoir pas plus de public (voyez ça recommence!).
Bon appétit à vous!
J'ai été tenté, je l'avoue, de déposer un commentaire chez la dame mais quand j'ai lu qu'il était plus ou moins question d'y installer un pare-cons, j'ai dû battre en retraite car, dans ces conditions, n'est-ce pas, c'est pas du jeu.
RépondreSupprimerEn tout cas, grâce aux blogues, je n'arrête pas d'apprendre des mots nouveaux. Ainsi, moi qui croyais jusqu'à présent que les trolls étaient ces affreux schtroumpfs vaguement celtisants qui sont parmi ce que l'on trouve de plus horriblement kitsch dans les boutiques à touristes de Bretagne, je découvre que ce sont également, si je comprends bien, des sortes de casse-couilles qui s'invitent à intervalles réguliers sur les blogues des autres. Cette tentative de définition, j'en suis conscient, est encore imparfaite car je n'ai pu déterminer, dans la discussion qui s'est tenue sur le sujet entre les différents membres de la chouette bande de potes de la dame, si le troll devait ou non tenir un blogue pour mériter pleinement cette appellation.
Quoi qu'il en soit, même si une minorité plus ou moins bienveillante des présumés trentenaires (en fait, ce n'est que moi qui présume) qui fréquentent le blogue en question semble ne vous accorder cette qualité que par intermittence, force est néanmoins de constater qu'une majorité vous désigne bel et bien comme troll.
Or – et c'est là que le présent commentaire prend, à mes yeux tout au moins, un véritable intérêt – une question se pose, angoissante : ne suis-je pas moi-même (s'il m'est permis de parler une nouvelle fois de mon humble personne) un troll, qui plus est l'un de vos trolls, soit, tout compte fait, un troll de troll ? Je ne connais pas encore bien le sujet mais je doute, d'après ce que je lis, que ce soit très glorieux...
J'ignore par ailleurs si l'on me tient également, moi qui ne suis ni camusien (encore faudrait-il que je sache ce que cela veut dire, aurait pu ajouter un vieil ami commun), ni anti-vélibien forcené (non, non, ne protestez pas, vous aggravez encore votre cas auprès de nos gentils blogueurs, à coup sûr delanoëphiles en diable), ni un grand amoureux de nos braves amis les toutous (encore que... je n'ai jamais goûté de bosintang, après tout), et qui n'ai, par-dessus le marché, jamais osé acheter un Brigade Mondaine, de peur de confondre avec un Gérard de Villiers, et jamais non plus accordé mon suffrage à la droite, sauf en 1988, où j'ai voté Mitterrand au second tour (et ne me parlez pas de la finale de la présidentielle de 2002 car, vu les circonstances, ça ne comptait pas vraiment), j'ignore, disais-je avant ce plaidoyer de non-gusticisme de fait, si l'on me tient également pour membre de votre Cour, ou tout au moins pour ce que l'on se plaît, à plusieurs reprises, à qualifier ainsi. Cela risque d'être pris pour une vile flatterie de ma part si nos petits amis dépêchent un espion en ces lieux mais il me faut vous dire que cette Cour-là ne me paraît pas, en tout cas, moins fréquentable que celle de la belle plante qui a maladroitement tenté de vous étriller dimanche dernier.
Sinon, qu'est-ce que c'est que cette histoire : vous avez réellement trois blogues ?
Bon, mes voisins du dessous (des petits jeunes qui vivent, semble-t-il, un moment un peu difficile) ont fini de s'engueuler et n'ont apparemment plus rien à casser. La réponse groupée à Maître Tang attendra un peu : je vais me coucher.
C'est vrai qu'on parle beaucoup de vous sur les blogs.
RépondreSupprimerVoici un extrait choisi( le monsieur parle de vous) :
"C’est alors que j’ai l’intuition… Ce gars-là picole ! Ca m’est arrivé aussi (j’emploie le passé uniquement parce que maintenant je ne commente que à jeun). La journée il est à jeun et charmant. Le soir, il est bourré et con, tout en conservant un fond d’humour mais l’employant mal à propos !"
N'exagère-t-il pas un petit peu ?
Mon intuition à moi c'est que ça fait longtemps que l'alcool n'a plus d'effet sur vous ( ou alors à très forte dose).
Cher Chieuvrou : et si le mieux était de se foutre absolument de toutes ces conneries ? (Pour les trois blogs, c'était un gag...)
RépondreSupprimerSniper : pour trouver à ce jeune homme ainsi qu'à la crispante Néa que j'était capable de "troller" à jeun, j'y suis allé hier soir. J'espère avoir été convaincant.
Et, oui, l'alcool continue d'avoir les effets classiques sur moi, même pas à fortes doses, et encore plus depuis que je ne bois plus qu'épisodiquement.
Mais qu'est-ce que vous allez faire à chaque fois sur des blogs pareils ?? A ce moment-là, autant taper direct dans le blog de filles !!
RépondreSupprimerVoyons, Chloé : c'est une nécessité ! Comment voulez-vous connaître la manière dont vivent et broutent les moutons si vous ne pénétrez jamais dans la bergerie ?
RépondreSupprimerAh ! j'ai une réponse à la question que Chieuvrou ne me posait pas, être camusien ressemble à s'y méprendre à la méthode Cauet ou Coué, je ne sais plus, il faut se répéter in petto "je suis cultivé, je suis cultivé, je suis cultivé" ad libitum.
RépondreSupprimeriPidiblue moto perpetuo
On est toujours le con d'un autre : les chiens aboient, la caravane passe
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