Voici ce qu'Olivier Greif notait dans son journal, en 1998 : « Lorsque ma musique vient trop vite, j'ai mauvaise conscience. C'est soit parce qu'elle est mauvaise, soit parce que je vais mourir bientôt. » Il est mort deux ans plus tard, soudainement, à l'âge de 50 ans.jeudi 20 mai 2010
La musique coule, et sombre le navire
Voici ce qu'Olivier Greif notait dans son journal, en 1998 : « Lorsque ma musique vient trop vite, j'ai mauvaise conscience. C'est soit parce qu'elle est mauvaise, soit parce que je vais mourir bientôt. » Il est mort deux ans plus tard, soudainement, à l'âge de 50 ans.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Vous ne facilitez pas le boulot du commentateur de blog, vous !
RépondreSupprimerBen, vous voyez, vous vous en êtes très bien tiré !
RépondreSupprimer"Un jour viendra - je ne serais plus de ce monde - où ma musique vous submergera de son évidence". Olivier Greif.
RépondreSupprimerCette évidence semble vous avoir touché en plein coeur Didier.
Pour ma part, je découvre ce musicien.
Ma découverte est assez récente également. Mais il me tarde d'avoir trois sous pour acheter les disques qui me manquent encore.
RépondreSupprimerrappel :
RépondreSupprimer- Vendredi 21 mai - 20h30 - MEZZO -
diffusion de l'Hommage à Olivier Greif : "Nuits, démêlées" documentaire de 52 minutes
Ce sel dont vous parlez me fait penser à mon père également. Le mien est fortement iodé car il sent bon la Bretagne. Je comprends ce que vous évoquez et la camarde( chère à ce cher Georges )me pince le coeur. Mais puisque vous parlez de filiation, n'oubliez pas ce sillon traçé par nos anciens et que nous nous devons de continuer et surtout de transmettre,là est la clef.
RépondreSupprimer