Il y a déjà quelques semaines, il fut question ici de la haine de l'art et, plus généralement, du refus de beaucoup d'admettre qu'il puisse exister chez certains hommes une supériorité, sinon mesurable du moins tangible. On devrait bien, d'ailleurs, s'interroger sur les raisons réelles qui fondent un tel refus. Je ne songeais à rien moins, tout à l'heure, lorsque, au milieu de ma somnolence postprandiale, je suis tombé sur ce passage (p. 216-217) de Max Havelaar :
« Lorsque nous nous voyons obligés de reconnaître à quelqu'un des qualités lui donnant droit à l'estime, au respect, à l'admiration, nous sommes bien aises de découvrir à côté de ces mérites un trait qui nous dispense, en tout ou en partie, de lui payer notre tribut. « Qui ne s'inclinerait devant un si grand poète ? Seulement... il bat sa femme ! » Nous usons volontiers, voyez-vous, des bleus de son épouse, comme prétexte à garder la tête haute et, au bout du compte, nous ne sommes pas mécontents de le voir battre la malheureuse, bien qu'en principe ce soit un acte fort répréhensible. Lorsque nous sommes forcés d'admettre que quelqu'un possède des mérites qui le rendent digne d'être placé sur un piédestal, lorsque nous ne pouvons plus décemment lui en dénier le droit sans passer pour ignorant, insensible ou envieux... nous finissons par dire : « Bon, allez, hissez-le sur son socle ! » Mais son installation n'est pas encore achevée, et lui-même nous croit encore sous le charme de son rayonnement, que nous avons déjà fait le nœud au lasso qui, la première occasion venue, nous servira à l'abattre. Plus rapide est la rotation entre les titulaires de piédestaux, plus grande notre chance d'y accéder aussi à notre tour, et c'est si vrai que, par habitude et en guise d'exercice – un peu comme un chasseur qui tire des corneilles et les laisse sur le pré –, nous aimons bien faire tomber aussi les statues dont nous ne gravirons jamais le piédestal. Le père Piquette, qui se nourrit de choucroute et de petite bière, cherche à s'élever au-dessus de sa condition dans cette critique vengeresse : « Alexandre n'était pas un grand homme... il était intempérant » – sans qu'il y ait pour le dit Piquette la moindre chance de rivaliser jamais avec Alexandre dans la conquête du monde. »
Depuis l'époque de Multatuli, le ridicule qu'il met en lumière a encore bien progressé puisque, en nous sommant de remplacer, et plus vite que ça, supériorité par différence, Modernœud entend supprimer jusqu'à l'idée même de piédestal. Ce qui ne l'empêche pas de jouer son rôle de roucoulant citoyen en allant, dès que faire se peut, se percher en foule sur les rares statues restantes afin d'y fienter tout à son aise.
« Lorsque nous nous voyons obligés de reconnaître à quelqu'un des qualités lui donnant droit à l'estime, au respect, à l'admiration, nous sommes bien aises de découvrir à côté de ces mérites un trait qui nous dispense, en tout ou en partie, de lui payer notre tribut. « Qui ne s'inclinerait devant un si grand poète ? Seulement... il bat sa femme ! » Nous usons volontiers, voyez-vous, des bleus de son épouse, comme prétexte à garder la tête haute et, au bout du compte, nous ne sommes pas mécontents de le voir battre la malheureuse, bien qu'en principe ce soit un acte fort répréhensible. Lorsque nous sommes forcés d'admettre que quelqu'un possède des mérites qui le rendent digne d'être placé sur un piédestal, lorsque nous ne pouvons plus décemment lui en dénier le droit sans passer pour ignorant, insensible ou envieux... nous finissons par dire : « Bon, allez, hissez-le sur son socle ! » Mais son installation n'est pas encore achevée, et lui-même nous croit encore sous le charme de son rayonnement, que nous avons déjà fait le nœud au lasso qui, la première occasion venue, nous servira à l'abattre. Plus rapide est la rotation entre les titulaires de piédestaux, plus grande notre chance d'y accéder aussi à notre tour, et c'est si vrai que, par habitude et en guise d'exercice – un peu comme un chasseur qui tire des corneilles et les laisse sur le pré –, nous aimons bien faire tomber aussi les statues dont nous ne gravirons jamais le piédestal. Le père Piquette, qui se nourrit de choucroute et de petite bière, cherche à s'élever au-dessus de sa condition dans cette critique vengeresse : « Alexandre n'était pas un grand homme... il était intempérant » – sans qu'il y ait pour le dit Piquette la moindre chance de rivaliser jamais avec Alexandre dans la conquête du monde. »
Depuis l'époque de Multatuli, le ridicule qu'il met en lumière a encore bien progressé puisque, en nous sommant de remplacer, et plus vite que ça, supériorité par différence, Modernœud entend supprimer jusqu'à l'idée même de piédestal. Ce qui ne l'empêche pas de jouer son rôle de roucoulant citoyen en allant, dès que faire se peut, se percher en foule sur les rares statues restantes afin d'y fienter tout à son aise.
Je veux bien vénéré un poète qui bat sa femme mais s'il a une bonne raison, seulement, comme, par exemple, si elle a oublié d'acheter de la bière.
RépondreSupprimerDrôle et pathétique...
RépondreSupprimerExcellent article, tellement vrai.
Nous avons passé vingt ans (notre génération) à faire ce dont vous parlez ici (descendre les statues des hommes supérieurs de leurs socles et leur pisser dessus). Cette petite manie détestable autant que dérisoire atteint aujourd'hui son mouvement de croisière. Non seulement plus personne ne songe à s'en offusquer, mais ne pas le faire expose le non-déboulonneur à être soupçonné du pire. Combien de temps encore faudra-t-il pour tirer les leçons d'une erreur de jugement qui semble pourtant manifeste ?
RépondreSupprimerUne élève, au conservatoire, s'étant amusée à me jeter à la figure que Baudelaire n'était pas "quelqu'un de bien" s'était pris un savon dont elle doit se souvenir encore.
On pourrait aussi penser à Kundera : « C’est l’époque des procureurs : l’Europe n’était plus aimée ; l’Europe ne s’aimait plus. »
RépondreSupprimerOn peut comprendre que la femme d'untel, poête émérite, ne trouve pas son mari agréable au quotidien sous le prétexte qu'il la bat. Moi qui n'ai de relation avec cet untel qu'au moment où je le lis, je ne le juge que pour ce que j'en sais: un auteur hors pair...
RépondreSupprimerIl ne faut jamais écouter les ragots des autres et se faire son idée soi-même. Sinon, on n'en finit pas!
Laurent l'Anonyme
Bah, que disaient de Rousseau ses contemporains ?
RépondreSupprimerNe jasait-on pas dans les salons de ce qu'il avait poussé sa maîtresse à abandonner leurs cinq enfants l'un après l'autre, tout en écrivant un traité d'éducation ?
Il me semble qu'en remontant chez les latins, même...
Mais le saint, le philosophe, le grand chercheur, le génie inventeur ? Ne sont-ils pas supérieurs, eux aussi, au commun des mortels qui vit heureux, qui vit caché ?
Modernoeud aime tellement faire coucou à la caméra, dans le dos d'un Modernoeud plus connu que lui... Dans ce monde inverse, maintenant que la "célébrité" est séparée nettement de la qualité du travail fourni, on peut espérer, non ?
RépondreSupprimer:0)
« Alexandre n'était pas un grand homme... il était intempérant »
RépondreSupprimerEt en plus, il était pédé!
Post-prandial… voilà un mot ricaneur, j'en aurai oublié la définition dès demain… Croyez-vous vraiment que le travers grotesque dont vous parlez date d'aujourd'hui? Il doit être aussi ancien qu'Alexandre et même davantage !
RépondreSupprimerJe ne serais pas étonné que le Coucou exhibe un document d'époque appuyant ses dires.
RépondreSupprimerJe viens de recevoir quelques éclats de pierre dans les cheveux, ses recherches ont commencé, le document gravé dans le marbre devrait nous être présenté sous peu.
RépondreSupprimerbât! "Exhibât..."
RépondreSupprimerEncore une qui sort bourrée du Bar du Subjonctif. Triste époque, que fait la Croix-Bleue ?
RépondreSupprimerJ'aurais dû donner directement le PDF
RépondreSupprimerBoutons les simplistes hors du royaume. À moi Jeanne d'Arc, ma copine de cheval !
RépondreSupprimerCarine : voire pédophile à ses heures...
RépondreSupprimerLe Coucou : ça date d'autant moins d'aujourd'hui que le roman dont je donne un extrait a été publié en 1860. Ce qui est nouveau, je crois, ce n'est pas de rabaisser les hommes supérieurs, mais de nier toute possibilité de supériorité, la notion même de supériorité.
Jazzman : vous avez pensé à prendre vos petites pilules roses ? Je vous sens bien énervé...
Il est vrai que c'était hier soir et qu'on est ce matin...
Didier: l'artiste est supérieur s'il ne blogue pas. Sinon, non. Encore qu'il y ait des blogs supérieurs, et un art du blogage, mais le blogage est-il un art ? Non. Ou alors un art mineur.
RépondreSupprimerRoses ? Ah je comprends, j'oublie souvent que je suis daltonien, j'ai dû en prendre des bleues ce qui expliquerait bien des choses.
RépondreSupprimerC'est même un art DE mineur : on creuse, on creuse... et en plus c'est salissant.
RépondreSupprimerSupérieur, tout le monde sait ce que ça signifie. Génie, tout le monde est d'accord aussi. Grand peintre ou peintre important, écrivain de même, on voit toujours. Après...
RépondreSupprimerJ'ai eu une nuit agitée, je rêvais que Suzanne faisait rempart de son corps en chantant "est-ce un art Monique, harmonique" en canon avec sa copine...Monique, justement.
RépondreSupprimerQue quelqu'un soit capable de produire des oeuvres géniales n'en fait pas un être nécessairement fascinant. On peut admirer le don exceptionnel de certains pour produire des oeuvres d'art sans pour autant en faire des sortes de surhommes. Supérieurs, ils le sont forcément à beaucoup dans le domaine où ils excellent. L'admiration qu'on vouerait à leur personne dans sa globalité, c'est de la bouillie pour groupies...
RépondreSupprimerAprès tout, Cloclo dansait mieux qu'Einstein et avait un physique plus attirant aux yeux des minettes que Michel Simon, il était "donc" admirable et attirait conséquemment et à juste titre de nombreuses groupies.
Quand j'étais en quatrième, j'ai découvert Balzac avec "La peau de chagrin". Je lisais ses romans l'un après l'autre en sautant quand même beaucoup de pages. Il y avait dans ma classe deux Zolalâtres et le professeur de français, qui était une jeune fille aux yeux mauves et aux lèvres blanches, levait les yeux au ciel en disant "Balzac, mais quel ennui, un auteur si monolithique... et Zola, mais lire Zola, c'est comme marcher dans les ordures... Vous verrez, quand vous découvrirez Proust, vous comprendrez ce qu'est écrire, et ce qu'est un écrivain, et qu'il y en a des supérieurs.
RépondreSupprimerJazzman, pfiou.... (je suis une blonde torride et ça se sent, ça se sent...)
RépondreSupprimerAh, d'accord, je me demandais d'où venait ce parfum de crevette.
RépondreSupprimerJazzman ! non mais dites donc !!! (j'aurais pas du répondre...)
RépondreSupprimerBen non. Don't feed the troll.
RépondreSupprimerJe sais bien que vous sentez le miel de fleurs d'oranger. C'était pour rire.
RépondreSupprimerDites-moi, Monsieur Jazzman, vous n'avez pas quelque occupation, dans la vraie vie ? Vous savez, le genre de truc qui vous éloigne de votre ordinateur durant une couple d'heures, voire un peu plus...
RépondreSupprimerEuh, c'est que je suis informaticien.
RépondreSupprimerMordelol !
RépondreSupprimerAu chômage, rassurez-vous, mais je reste attiré par mon métier, c'est plus fort que moi.
RépondreSupprimerC'est bien ce que je craignais...
RépondreSupprimerDe toute manière, je suis informaticien pas au chômage et des fois je trolle aussi à longueur de journées...
RépondreSupprimerOh mais je ne suis pas blanc-bleu sur ce coup-là non plus !
RépondreSupprimerLa preuve : je discutaille au lieu de travailler. (En fait, j'arrive à faire les deux, plus ou moins...)
Entre nous, figurez-vous que je suis obligé d'imprimer les documents que je dois étudier : quand je les lis à l'écran, j'ai trop tendance à en profiter pour faire le con sur internet.
RépondreSupprimerMais presque tout ce que j'ai raconté est vrai, car j'ai un CV très fourni et comme j'étais consultant j'avais beaucoup de vacances, pendant lesquelles j'ai vraiment travaillé pour le Festival de Jazz de Montreux, par exemple.
RépondreSupprimerJe tirais vraiment des câbles TV au bord de la scène pendant un concert de Miles Davis, mais j'avoue qu'il ne m'a pas crié "Be quiet".
RépondreSupprimer(le jazz rend fou)
RépondreSupprimerNon, il faut être fou pour aimer le jazz, c'est un prérequis.
RépondreSupprimerJazzman est une sorte de génie. Rassurez-moi, il ne bat pas sa femme quand même...
RépondreSupprimerJe suis célibataire, donc aucun risque. Mais j'ai de bons rapports avec les femmes, et avec les animaux d'une manière générale.
RépondreSupprimerJ'ai du mal à avoir de bons rapports sexuels avec les hamsters. Ils explosent.
RépondreSupprimerPour revenir à la musique elle repose de tout façon sur une impossibilité mathématique: la rencontre de l'octave et de la quinte. N*2=M*3.
RépondreSupprimerDonc être mathématicien et musicien implique forcément une sorte de folie, puisque cela revient à aimer une chose que l'on sait impossible.
Waouh.
@Nicolas
RépondreSupprimerEt les Kant-gourous ?
Ah non, je n'aime pas baiser les mains dans les poches.
RépondreSupprimerMerci, je l'attendais...
RépondreSupprimerCe qui est toujours facile à dire.
RépondreSupprimer"Je suis célibataire, donc aucun risque. Mais j'ai de bons rapports avec les femmes, et avec les animaux d'une manière générale."
RépondreSupprimerVous tapez sur quoi alors quand quelque chose vous dérange et que vous ne savez pas à qui le reprocher ?
Ben sur mon piano...
RépondreSupprimerOu sur Didier Goux, comme vous...
RépondreSupprimerExcellent, Monsieur Goux. Je viens de remettre la main sur ma brosse à reluire et il est naturel que vous en profitiez le premier.
RépondreSupprimerLa prochaine leçon portera sur l'intérêt des va-et-vient rythmés, mais là vous m'excuserez car j'ai à faire.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerArgh, je suis démasqué...
"Je tirais vraiment des câbles TV au bord de la scène pendant un concert de Miles Davis, mais j'avoue qu'il ne m'a pas crié "Be quiet"."
RépondreSupprimerDidier, vous croyez qu'ils vont remettre ça?
Jazzman
RépondreSupprimer"il est naturel que vous en profitiez le premier."
ou encore:
il serait naturel que vous en profitassiez.
Quand j'arrive, tout le monde se tait.
RépondreSupprimerSi seulement ça pouvait faire ça dans la vraie vie!
Carine, je le crains... Ces monomaniaques du zim-boum-boum sont incontrôlables...
RépondreSupprimerAh merci Didier ^^
RépondreSupprimerCarine,
RépondreSupprimerC'est parce ce que vous arrivez qu'on se barre. On va causer ailleurs.
Parce que vous avez l'impression de contrôler les maniaques du subjonctif, peut-être ?
RépondreSupprimerCarine, je songe sérieusement à vous embaucher comme paratonnerre à jazzeux...
RépondreSupprimerPouvez m'envoyer votre CV ? Vos références ?
Elle se pointe avec 3 mg de Grévisse dans le sang, un double Bled dans les narines et vous la laisez faire ?
RépondreSupprimerC'est la fête à Carinne, ce jour, quoique tout à l'heure c'était chaud pour notre Suzanne.
RépondreSupprimerIl n'y a que le petit Fredi qui ne s'est pas montré encore ici, après votre coup de patte chez les In-nocents il est peut-être véxé...
Il a mis un accent au E de Grevisse.
RépondreSupprimerIl est perdu.
Avant c'était la crevette, maintenant ça sent Larousse.
RépondreSupprimerJ'adore.
RépondreSupprimerEt les pages roses, il me semble...
RépondreSupprimerQui me donne combien pour que je trouve du boulot à Jazzman ?
RépondreSupprimerIl n'y a que le petit Fredi qui ne s'est pas montré encore ici, après votre coup de patte chez les In-nocents il est peut-être véxé...
RépondreSupprimerQue nenni! Petit fredi ne se sent ni vexé ni égratigné. Et j'ai la prétention de croire que mon monologue d'hier soir avait du sens.
J'ai simplement la volonté du bloggeur qui s'émousse.
La lassitude rôde.
Didier, Carine, Suze,
RépondreSupprimerComme paratonnerre à jazzeux, il y a mieux : Sacha Distel !
Ah le trio Bardot-Distel-Gainsbourg.
RépondreSupprimerMais il faut étre poête pour apprécier.
Et ces chansons écrites sur un coin de nappe de restaurant, c'était déjà du recyclage, alors que Cécile Duflot n'avait même pas encore commencé à mouiller.
RépondreSupprimerJ'ai l'intégrale de Gainsbourg, Brassens, Brel et Elvis Presley naturellement. J'attends qu'ils meurent pour revendre avec une grosse plus-value.
RépondreSupprimerJazzman, je vais vous le dire tout net, puisque les allusions semblent vous laisser de marbre : je commence à être fatigué de voir ma boîte mail envahie par vos quasi soliloques qui, en plus d'être fort nombreux, me semblent assez peu dignes d'intérêt.
RépondreSupprimerJe vais donc faire mon Balladur en vous demandant de vous arrêter.
Merci d'avance.
Nicolas:
RépondreSupprimerSi je ne craignais de rompre ce silence quasi mystique, je vous dirais que quand vous avez cet éclair:
" quand je les lis à l'écran, j'ai trop tendance à en profiter pour faire le con sur internet.",
mon affection pour vous n'a d'égale que votre lucidité.
Pardon, Didier, mais il m'a cherchée!
Quand je pense, Didier, que vous disiez que chez moi, ça bavardait.
RépondreSupprimerTsss.
...
(Pardon, Carine, je voulais dire :
"Quand je pensâmes, Didier, que vous disatiez que chez moi ça barvardassasse... mgnh..rdassât.")
Puisque tout le monde dit n'importe quoi, je vais vous faire une confidence: j'ai envie de tuer un voisin... oui un qui fait du bruit... ;-))) hein moi qui suis si pacifiste qu' on pourrait croire que je suis unijambiste. ..
RépondreSupprimerOn résiste ici.
RépondreSupprimerIl est important en effet de connaître l'Histoire, et les histoires. Alexandre le Grand était petit, mais on dit, il paraît, enfin, le souffle des âges nous le rapporte, qu'il avait des talonnettes ...
RépondreSupprimer