On le devinera aisément je pense, en lisant la définition petit-robertienne d'un mot très voisin du nôtre, la glossolalie : Langage personnel de certains malades mentaux constitué de néologismes organisés selon une syntaxe rudimentaire.
Je fais dès à présent tomber gaucholalie dans le domaine public : qui le trouve à son goût s'en saisisse...
Je fais dès à présent tomber gaucholalie dans le domaine public : qui le trouve à son goût s'en saisisse...
Z'auriez pu le déposer à la SACEM (par exemple, ou à tout autre organisme rigolo, comme la Halde) pour gagner de l'oseille, bordel, n'oubliez pas qu'z'êtes de droite.
RépondreSupprimerOui, mais je suis un droitiste non sarkozyste : un qui travaille de moins en moins pour gagner de moins en moins.
RépondreSupprimerJe vais finir aux aides sociales, comme n'importe quel révolutionnaire qui se respecte...
(pourquoi j'ai l'impression que tout le monde est fou aujourd'hui ?)
RépondreSupprimerEn somme, gauchiste ou droitiste, sarkozyste ou non, le résultat est le même.
RépondreSupprimerGaucholalie, glossolalie, il suffit d'avoir un cheveu sur la langue. Sur le coup, j'ai cru que c'était le dernier prénom féminin à la mode.
RépondreSupprimerAnonymelalie.
Et la coprolalie restera le privilège des réactionnaires...
RépondreSupprimerAux chiottes Tzatza.
RépondreSupprimerFurax je suis : pas pu regarder tranquillement le dernier Woody A., une mamzelle Festivus avec son poupon de 4_5mois qui poussait des petits cris, elle l'a changé, puis comme il criait trop, elle sort de la salle, elle rerentre, il recommence, j'ai lancé "mais sortez, quoi !", et l'autre (qui a continué son petit jeu d'allers et retours :"vous n'avez pas entendu parler de la séance des mamans !", l'enfer...
ça a quelque chose à voir avec la folie des pampas?
RépondreSupprimerAu goulag, Emma !
RépondreSupprimerElle est déjà chez Pluton mais si le goulag insiste...
RépondreSupprimerSuzanne : parce que tout le monde EST fou.
RépondreSupprimerMifa : il serait temps de vous en aviser !
Anonymelalie : je compte d'ailleurs écrire prochainement un Dit de sainte Gaucholalie, tout en ancien français.
Tzatza : ça va sans dire...
Emma : Georges à raison : au goulag ! Rabrouer une maman, non mais ça ne va pas chez vous ?
Et Pluton en cure de désintox, pendant ce temps-là.
Carine : la coprolalie de Tzatza serait plutôt la folie des pampers.
Bon, on va peut-être redescendre sur terre, là, non ?
"Bon, on va peut-être redescendre sur terre, là, non ?"
RépondreSupprimerComme vous voulez ^^
Oh, je disais ça au moins autant pour moi que pour les commentateurs !
RépondreSupprimerAh Didier, moi je pars au Goulag avec Georges et son piano, (n'en déplaise aux club des groupies).
RépondreSupprimerTenez, un exemple pour votre autre blog.
RépondreSupprimerUne enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigades de Melle, qui ont par ailleurs pris en charge Turlutte, le chien d'Anémone, principalement connue pour ses rôles comiques, notamment dans "Le Père Noël est une ordure".
Cette actrice est un cabot.
Source:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/04/97001-20101104FILWWW00653-anemone-victime-d-un-accident-de-la-route.php
"qui ont par ailleurs pris en charge Turlutte, le chien d'Anémone, principalement connue pour ses rôles comiques, notamment dans "Le Père Noël est une ordure".
RépondreSupprimerAh ce que c'est qu'une virgule intempestive! Turlutte est sûrement une chienne.
@Georges :cette recrue inestimable vous vaut mon admiration et mes encouragements anticipés...( Blanche Chaste Fleur oblige ! )
RépondreSupprimerDidier, pour la cure, je vous embarque ! Je dispose d'un accueillant double fond dans le coffre de ma caisse : largement de quoi y planquer quelques fioles au cas où...
NaIf, cessez donc de nous faire des niches ou vous allez tomber sur un os.
RépondreSupprimer(Je sais, c'est affligeant : on dirait du Clarky-ruminant.)
Mon goulag est minuscule, c'est une décapotable des années 50.
RépondreSupprimerVous ne passerez pas inaperçu en Creuse et en décapotable!
RépondreSupprimerJe m'égare.
Oui mais moi j'y vais à la décapotable, on va dire.
RépondreSupprimerou encore dans la décapotable...
RépondreSupprimerEmma,
RépondreSupprimerLe cinéma est interdit aux enfants de 3 ans (histoire de préserver leurs tympans). Vous auriez pu vous plaindre au personnel du cinéma qui n'a pas fait son boulot.
(sont cons les gens, n'empêche...)
Didier : Je suis fauchée de naissance, et quel que soit le régime à la mode, et ce n'est la faute de personne. Mais tant qu'à choisir à quelle sauce je veux être mangée, je préfère les discours gauchistes à ceux des droitistes. Les gauchistes sont beaucoup plus drôles et inventifs, et il leur arrive même d'être spontanés. Evidemment, cela n'inclut pas les extrémistes, droitistes ou gauchistes : ils ne font pas rire.
RépondreSupprimerEt gauchorrhée ?
RépondreSupprimerLogorrhée : Bavardage intarissable et oiseux ; besoin irrésistible de parler, observé particulièrement dans les états d'excitation de certaines affections mentales.
On a bien nommé « fuite des idées » cette diversion perpétuelle du flux psychique, et logorrhée l'écoulement désordonné et entrecoupé des paroles qui l'accompagne (Mounier, Traité caract., 1946, p. 192). (Lexilogos)
Gauchorrhée dit bien ce qu'il veut dire, oui. Mais le mot est nettement moins séduisant, je trouve.
RépondreSupprimerC'est vrai que gaucholalie est plus précis.
RépondreSupprimerEt puis ça évoque la coprolalie, la pathologie qui consiste à émailler son discours de termes fécaux. Grossiers, plus généralement.
et puis dans gaucholalie, il y a un petit relent d'ordalie. Dieu reconnaitra les siens et aidera leur bras. Hein, Pakounta?
RépondreSupprimer@ Dorham :
RépondreSupprimeron est à Marseille, haut-lieu des combines, ainsi la bonne-femme était à l'évidence de mèche avec le gérant (ça se passait au César, place Castellane), quand je suis sortie de la salle, la greluche m'interpelle (dans les bras, le marmot, le pauvre, tout souriant, enfin à la lumière et à l'air libre...) et le m'as-tu-vu de gérant qui se met à me faire la leçon, toujours sur le thème de la soi-disant séance réservée, et il m'a poussée dehors quand je lui ai dit qu'il lui fallait lire Ph. Muray.
Il faudrait lui mitonner une entreprise de rétorsion, exemple : une arrivée en fanfare de filles avec des niards dans des poussettes réclamant l'entrée pour la fameuse séance, et, un distributeur de couches, avec à la clé une plainte à La Halde pour discrimination.
Moi je verrais plutôt une séance réservée aux filles à gros seins sans soutifs.
RépondreSupprimeraffligeant certes, mais que voulez vous, je n'ai pas la chance de posséder votre sens de la formule.
RépondreSupprimerallez, faites-vous plaisir, laissez-vous aller à produire un billet pour vous faire un nouveau ruminant, je sens bien que ça vous démange la couenne...
affligeant donc, mais alors que dire de votre vidéo ??!!??
sans parler de ce que j'ai appris sur votre union, putain, la nature humaine est d'une bizarrerie parfois.
et dire que certains ruminants étaient prêts à boire un canon avec vous, personnellement je vous aurais foutu la bouteille en pleine tronche, et là je crois que vous n'auriez pas fait le poids, bien que vous soyez un peu dilaté il me semble !
Ah ! Clarky ! Qui ne pense qu'à taper sur les leftblogs dans les commentaires de Ruminances, en circuit fermé, mais qui oublie que B.mode et Lediazec font partie de cette équipé...
RépondreSupprimerJ'ai toujours bien aimé les gens qui ont à cœur de confirmer l'opinion qu'on a d'eux...
RépondreSupprimerDidier: vous êtes jaloux, parce que lui écrit comme San-Antonio, et vous non.
RépondreSupprimerMarrantes, (enfin), les ruminances ruminées à l'infini, en miroir, en abyme, en tout ce qu'on voudra.
-Vous êtes un alcoolique, un pédé, un faux cultivé, un non écrivain,un impuissant un pécheur consanguin.(et une vomissure de droite).
-Je suis une hystérique nymphomane envahie par ses hormones, une vieille fille proustienne à la chatte puant le renfermé et envahie de toiles d'araignées, repoussante en tout cas, une inculte au style Harlequin. (et une vomissure de droite).
Je suis assez d'accord avec La Pecnaude: ce n'est pas charitable de se moquer de Ruminances.
Mais il est rigolo, le ptit clarky: viendez pas sur notre blog, qu'il menace, biscotte on vous fera la fête et la peau, wè, on vous repoussera comme vous le méritez, pourriture pétainiste.
RépondreSupprimerOn ne vient plus.
Mais si tu ne viens pas à Clarky, c'est Clarky-qui-vient-à-toi. Audiard et San-Antonio réincarnés dans le Grand Lolo, et vous qui lui donnez des leçons de français au passage! On en a fusillé pour moins que ça après la libération.
Si Clarky s'approche, Catherine a déjà prévu de lui remonter les couilles jusqu'aux narines (en passant par l'intérieur, il va de soi). Et elle sait le faire, croyez-le !
RépondreSupprimerJ'ai eu beau lui dire qu'il ne fallait pas brutaliser les momies, de peur qu'elles ne tombent en poussière (ashes to ashes, dust to dust...), mais elle ne veut rien entendre.
Faut pas toucher à mon homme...
RépondreSupprimerCapito, papy ?
RépondreSupprimerCa stigmatise les vieilles vaches, ici !
RépondreSupprimerC'est au point que j'envisage d'échanger mes trois clébards inutiles contre des chiens de berger...
RépondreSupprimerDes chiens d'attaque, oui !
RépondreSupprimertiens le jegoun, encore un qui pète plus haut que son cul, qu'il a bien du mal à trainer, heureusement que y'à la toile pour affirmer sa libido !
RépondreSupprimeret dire que ça se prétend de gauche ce genre de tocard, et oui mon pauvre, j'emmerde les leftblogs en long en large et en travers, j'ai pas besoin de prendre mes aises au bord du zinc d'un troquet parigot pour me dire populo, quant aux festives soirées à la comète, un ramassis de petits nantis du ps jouant à touche pipi.
qu'importe l'ivresse tant que je ne bois pas à vos flacons...
quant au reste, vu que je ne viendrai plus ruiner mon cristallin sur ce blog de raclures virtuelles, autant ne pas me commettre en commentaires affligeants, se mettre sur la gueule ne vaut qu'entre quatre yeux, la toile n'est qu'un triste leurre d'égos à la con, et ici ça en regorge.
Clarky,
RépondreSupprimerPour les commentaires affligeants, c'est trop tard.
Cela dit, pauvre type, connard absolu et j'en passe par égard à pépère qui nous héberge, si tu considères tous les ivrognes de comptoir de Bicêtre comme des nantis, tu peux bien évidemment crever devant ton ignorance de la vie.
Je passe le bonjour aux leftblogs, comme promis. Néanmoins, si tu croises Rodolphe et Bernard avant moi, puisqu'ils en font partie, je te prie de les saluer à ma place.
Merci.
Trou du cul.
Ah, zut de merde ! je comptais dire que c'était trop tard pour les commentaires affligeants, mais l'autre social-traître encravaté est passé avant moi !
RépondreSupprimerÀ part ça, Nicolas, vous ne trouvez pas qu'en s'appelant Ruminants, nos bêtes à cornes et leur maigre cortège de vaches sacrées ont fait preuve d'une étonnante lucidité ? Parce qu'enfin, bête à cornes pour ces éternels cocus de l'histoire que sont les extrêmes-gauchos qui passent leur temps à remâcher les révolutions à venir et à déglutir celles qui n'ont pas eu lieu de leur vivant, c'est plutôt bien vu.
Didier,
RépondreSupprimerQuand je vous un crétin qui se permet de me critiquer sur le physique, sans même me connaitre et qui se prétend de gauche, j'ai envie de coller des baffes.
Mais quand je vois un connard prétentieux qui me parle de ma libido, ça m'amuse plutôt.
Ca me rappelle l'époque où des ruminants venaient draguer (puis s'y inscrire) les leftblogs pour gagner de l'audience.
RépondreSupprimerAh mais c'est que, pendant la révolution, la vente continue, n'est-ce pas...
RépondreSupprimersont très beaux vos chiens, moi aussi j'en ai.
RépondreSupprimerEt puis Suzanne, vous en avez rajouté, soyez un peu plus sympa avec vous-même.
RépondreSupprimerquand tu veux pour les baffes mon petit nicolas, dès que je monte sur paname on peut s'organiser ça, crois moi, t'as plutôt intérêt à savoir cavaler...
RépondreSupprimerle connard que je suis, et qui se respecte, n'a pas besoin d'un mec comme toi pour savoir ce qu'est la vie, faut croire que t'as dû te palucher un peu trop longtemps avec le classement wiki toi, ça a probablement occupé le peu d'espace libre encore à disposition dans ce qui te sert de cerveau.
je n'ai personnellement jamais courtisé les leftblogs dont je me fous mais d'une force et ne réponds que de ma propre opinion, pas besoin de me sortir le coup de rodo et bernard pour asseoir ta rhétorique en bois de cagette.
mais t'as certainement raison, j'y entrave que dalle à la dure vie de bicêtre, suis né à aubervilliers et j'ai un peu trainé dans les quartiers, tain ça doit faire de moi une belle racaille, celle qu'affectionne tout particulièrement l'épave qui tient ce triste cloaque.
quant à ton physique que je suis supposé ne pas connaitre, ben tu te fous ce que tu veux dans l'oeil mon grand, mais malheureusement pour toi je le connais, les photos et autres joyeusetés qui trainent un peu partout sur la toile sont de terribles révélateurs, l'argentique dans ton cas eut été préférable, le numérique ça te déforme un peu !
les ivrognes dis-tu ??!!?? je ne parlais que de ceux des soirées à la comète, on doit pas être loin d'avoir le même nombre d'années au compteur, peut être même suis-je un peu plus jeune, mais des troquets et des ivrognes j'en ai fait crois-moi, pas sûr qu'on ait fréquenté les mêmes, pas sûr du tout !
tu parles d'audience, tout juste si tu ne nous accuses pas de t'avoir fait la danse du bide pour appâter le chaland.
navré de te décevoir, mais je n'ai dragué degun et surtout pas toi, rien à foutre de l'audience, les blogs sont une chose, la réalité n'a que faire de nos petits atermoiements sur la toile...
c'est marrant, je n'arrive même pas à être furax, juste une sorte d'amusement quand je lis le flot de conneries débitées à la seconde en ces lieux.
quant au mastre de cérémonie qui nous balance de longue sa rengaine sur les gauchos, leur révolution passée et tout le bordel, lui le pauvre ne doit pas avoir que le nez de rongé, doit pas se chopper de rhume de cerveau l'écrivain que personne ne connait, à part sa famille et encore.
y'a des ridicules qui s'ignorent, moi j'ai au moins l'élégance de reconnaitre que je le suis, oh pétez un coup bordel aqueux, vous me paraissez bien trop congestionnés ici.
quant à cette chère suzanne, quel courage, elle carrément, elle se lâche ici, dégaine son surplus de bile puis inonde le lectorat de ce qu'elle pense être d'une pertinence implacable, sauf que, ça m'en touche une sans même faire vibrer l'autre .
ah vi j'oubliais, je viens de découvrir son blog à celle-là, je comprends mieux maintenant ;)))
continuez les gars, et comme le dit si justement la donzelle au merle moqueur, c'est moi qui viendrai à vous.
dame, vrai que y'a de quoi se moquer ici !!!
merci pour ce franc moment de convivialité, j'en redemande tellement ça m'amuse.
elle est belle la france tiens, vive le métissage.
Mon canard,
RépondreSupprimerCe n'est pas la peine de nous démontrer que tu es fou : on le sait déjà.
Si tu as fréquenté plus de bistros que moi et connais mieux la vie, c'est bien. Bravo. Félicitations et tout ça.
Cela dit, tu peux rester crever dans coin.
Didier,
Vous pouvez me résumer son commentaire ?
Mais qu'est-ce qu'ils ont ces ruminants à insulter tout le monde sur le physique et sur le sexe? Ce sont des premiers prix de beauté ? Elles volent très très bas leurs insultes.
RépondreSupprimervexé qu'il est le petit nicolas, question folie tu me sembles également en connaitre un rayon !
RépondreSupprimerj'ai surtout été fou de lire ton blog au début de rumi, pas bien longtemps d'ailleurs, vu la médiocrité du contenu.
m'enfin, un mec prétendument de gauche qui copine avec un bon vieux reac de droite ça a son charme :)
bon je vous laisse, on a bien rigolé.
mes amitiés à l'anonyme qui a lui seul résume bien pourquoi je suis content de n'être qu'un ruminant complétement taré.
plus la peine de vous exciter, je m'en retourne dans mon enclos, l'herbe y est vraiment plus verte et l'air nettement moins vicié.
Ah ! Clarky est la vraie gauche, j'oubliais...
RépondreSupprimerJe pense que je peux raisonnablement me dispenser de répondre aux derniers commentaires...
RépondreSupprimerMais j'ai bien ri. Ce qui, au réveil, est inappréciable.
RépondreSupprimerSavez-vous comment le Clarky, chez les ruminants, qualifie les petits trépignements qu'il vient trépider ici ? De “morceau d'anthologie du net”, en toute modestie, et avec une absence de sens du ridicule et de la bouffissure qui force l'admiration.
RépondreSupprimerGaucholalie : chambre d'égos (gogos gauchos).
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