Il y a tout de même quelque chose d'un peu surjoué, dans cette forme d'auto-mise à mort qui consiste à s'arroser d'essence avant de craquer une allumette ou de battre son briquet, une sorte de m'as-tu-vu-quand-je-brûle ? qui relève plus ou moins du cirque mais dans sa version gore. Il est possible également que la confrérie des suicidés classiques et plus discrets en prenne quelque ombrage, en conserve un arrière-goût de cendre.
Comme le disait fort justement Jeanne d'Arc, il ne m'ont pas cru, ils m'auront cuite (je sais qu'elle n'est pas neuve neuve mais elle me fait marrer quand même).
RépondreSupprimerJe ne la connaissais pas et moi aussi, elle me fait marrer. Merci, amiral.
Supprimersurtout au pris où est le gaz.
RépondreSupprimerLa suicidé du spectacle… de Guy remord
RépondreSupprimer(pis d'abord on dit pas un suicidé, on dit Une personne en cessation volontaire de vie… sinon c'est discriminant ! Déjà que c'est pas très marrant votre histoire…)
Autrefois les gens révoltés s'unissaient pour faire une révolte, maintenant ils s'enflamment tous seuls dans leur coin.
RépondreSupprimerParfait pour notre société de spectacles.
10 billets que dans 2 ans un artiste de Beaubourg fera un tableau avec un panel d'oeufs mollet.
Il y a atteinte à l'égalité, c'est clair.
RépondreSupprimerIl voulait peut être interprété "La torche humaine" dans un prochain film des 4 Fantastiques, "Flammes en avant".
RépondreSupprimer