Tang : Éloge du paraître est un des premiers Camus que j'ai lu. Pour en parler avec vous (pour qui c'est tout frais, il faudrait que je le relise, ce dont je n'aurai guère le temps durant les trois semaines qui s'annoncent...
Depuis le temps qu'il en rêvait, D'un seul coup ça v'nait d'arriver : Fallait pas bouder son plaisir Ça l'faisait même un peu rosir : Son nom, comme un' promesse d'embauche, En lien sur un vrai blog de gauche !
Le Goux, ououh ! ouououh ! Le Goux est entré, ébaubi, Chez Balmeyer, en vieil ami, Le Goux est l'bienv'nu même ici ! Tu peux sourire, Y'a pas à dire : Le Goux paraît s'êtr' repenti !
Sou'aitant installer ses quartiers En pèr' tranquille, sans sacrifier À son goût pour les controverses, I' s' mit à prendr' des ch'mins d'traverse. Et pour éviter d'prendr' parti, Il ne parla plus d'Sarkozy.
Le Goux, ououh ! ouououh ! Le Goux est dev'nu tout gentil, Lui l'ex-tricard, l'ancien banni, Le Goux n'a plus rien qu'des amis ! Ah, tu peux rire Ou démentir : Le Goux ne nous crée plus d'soucis !
Cert's quand ça causait d'Ségolène Il ne parvenait qu'à grand'peine À camoufler une gross' grimace Mais il la traitait plus d'connasse. Pour Bové il semblait s'ret'nir, Quoiqu' Besanc'not le fît bouillir.
Le Goux, ououh ! ouououh ! Le Goux est désormais inscrit, Après Gaël, avant Ellie, Dans la colonn' des favoris ! Mais cess' de rire, Il vient d'frémir : Le Goux semble à l'étroit ici...
Le fait est qu'on dit qu'il s'apprête Rien d'moins qu'à se payer la tête De tout un tas de nos idoles Et que, oh, douloureux symbole, De notre saint Che il veut faire Un aventurier sanguinaire !
Le Goux, ououh ! ouououh ! Le Goux s'est soudain affranchi De tout' sa bell' diplomatie. Le Goux n'offre plus d'garanties ! Fini de rire, Faut en conv'nir : Le Goux est dans la bergerie !
(très librement inspiré d'Albert Vidalie)
Pardons à Balmeyer d'avoir évoqué son blogue sans m'y être seulement reporté (ce qui ne saurait toutefois tarder).
Bon, je vous quitte à présent, c'est dimanche et je dois me bourrer la gueule.
Pourquoi je n'ouvre pas un blogue ? Sans doute parce que je crains que, dans cette hypothèse, ce dernier ne se transforme assez rapidement en l'un de ces « blogues de pleurnichards » sur lesquels vous attirâtes naguère notre attention. Car derrière la figure du pas-encore-vieux-con-mais-déjà-aigri se tapit bien souvent celle, atrocement grimaçante, du chialou en puissance. Or telle est de toute évidence ma pente...
(je suis lucide, c'est donc que j'ai totalement dessaoulé)
@Nicolas Ier
Vous ne voulez pas de nous, comme ça... Qu'est-ce à dire ? Qu'on sent le pâté ?
(vous voyez bien, Monsieur Goux : qu'est-ce que je disais ?)
Nicolas, je n'ai jamais rien fait de tel, que je sache ! Et je ne vous trouve pas très courtois pour mes commentateurs, qui sont loin d'être tous de vieux réacs grincheux dans mon genre...
Dites-donc, Didier, vous m'avez fait un cadeau empoisonné avec votre lien ! J'ai plein de forcenés qui arrivent chez moi pour argumenter comme des malades, exaltés, parmi mes ordinaires histoires de caca et de gâteau au chocolat ! Les voilà avec leur bazooka pour tuer le lapin ! A l'évocation du terme "blog de gauche", ils débarquent pour en découdre. C'est ballot, ils vont trouver, derrière chaque anecdote personnelle, une lecture marxiste du monde... Moi qui ai fait preuve d'une telle ouverture sarkozyste... :-)
Nicolas J a raison : vous vous fourvoyez, je ne tiens pas du tout un blog politique. C'est notoire. Pourtant, vous en avez lu des blogs "vigilants" ! La confusion doit venir du fait que vous me croisez souvent chez Jegoun, sur "partageons mon avis". C'est mon gourou. Mais je le fréquente aussi parce qu'il sait sortir le nez de la politique pour apprécier d'autres horizons. Vous avez donc été bien prompt à sortir l'étiqueteuse ! Surtout quand vous me décrivez dans les commentaires comme un "militant", ça c'est du dernier cocasse ! Un blog militant de gauche ne vous aurait jamais lié, vous le savez bien. Vous faites votre intéressant, comme à la cantine.
Quant à l'anonyme qui se demande si je suis un bisounours : faut-il approcher la sainteté ou être un champion de la miséricorde pour vous mettre en lien ? C'est un peu injuste envers vous... et puis les "bisounours" font des "échanges de liens", c'est une pratique qui me répugne, je vous ai lié unilatéralement, évidemment.
J'ai effectivement apprécié l'humour désabusé de vos textes, et même votre massacrant mauvais esprit. Je ne partage pas tous vos délires lyriques, mais ils ont l'avantage d'être drôles et politiquement incorrects. Donc je ne regrette (presque) pas de vous avoir mis en lien, même si - et vous en savez quelque chose - quand on embrasse la mariée, on se coltine également la belle famille pendant longtemps, ce qui est moins folichon...
Balmeyer nous indique que "vos commentateurs" ont bien été discourtois chez lui ! En plus, vous l'avez mis en colère.
Balmeyer,
Si j'avais un gourou comme moi, je me paierai à boire.
Ton commentaire me rappelle la première fois que je m'étais faché avec Didier. Sauf que je n'ai pas ta plume talentueuse... J'avais tout résumé en un mot (de trois lettres, si ma mémoire est bonne). Depuis nous sommes réconciliés et nous allons probablement boire une bière ensemble dans la semaine ! J'attends ça avec plaisir ! Mais moins d'impatience que mon repas de samedi prochain !
Ouh la ! mes plus plates excuses, cher Monsieur Balmeyer (je viens de virer le lien, même si c'est un peu tard...) !
Je le sais bien que vous ne tenez pas un blog "de gauche", c'était juste une pirouette de ma part. On ne se méfie jamais assez de ce qu'on raconte, sur les blogs...
Merci pour ton compliment Nicolas, mais en fait je suis plutôt désemparé d'avoir des trolls, je n'ai pas votre verve de polémistes à tous les deux, et je me retrouve fort démuni...
Je ne suis évidement pas fâché contre Didier Goux, il aura sans doute voulu me faire un clin d'oeil de vieux paysan bourru...
Didier, nos commentaires se sont croisés, je persiste et signe, je n'ai vu aucune mauvaise intention de votre part, je vous taquine en retour. Remettez-donc le lien, au pire, ça m'apprendra à bloguer sous le feu de la critique, ce n'est pas plus mal.
Un troll, on n'y répond pas ou alors comme moi, par l'insulte pour le faire écumer encore plus : ça finit toujours à un point où il est très ridicule et s'en rend compte... Il part alors la queue entre les jambes.
Sur PMA, j'en ai un (mon dernier billet sur Bicêtre) qui vient d'effacer son propre commentaire !
Monsieur Balmeyer, je viens d'aller explorer votre blog : vous avez eu UN troll, et il m'est totalement inconnu (sous ce pseudonyme-là en tout cas) ! S'agirait de ne pas tout me mettre sur le dos non plus...
Bon, alors, je le remets, ce lien ? Ça devient compliqué, cette histoire ! Et puis, vous savez, si je vous ai mis en lien, c'est parce que je pensais que le genre de texte que vous écrivez pouvait intéresser la plupart des gens qui viennent chez moi.
Donc, à tous, une précision :
NON, LE BLOG DE BALMEYER N'EST PAS UN BLOG MILITANT !!!
Voilà, maintenant c'est vous qui êtes en colère ! :)
Comme je vous l'expliquais chez moi, vous m'avez envoyé beaucoup de monde, pour un week-end. Bon sang, vous êtes influent !
C'est vrai, c'est un seul troll, mais de taille ! il en vaut cinq ! :) Je suis né à Marseille, c'est un peu l'histoire de la sardine qui bouche le Vieux Port...
Balmeyer et Nicolas : si, un jour, vous avez envie d'avoir un VRAI troll, une synthèse de troll, alors vous dites sur votre blog que Juan Asen*io écrit comme un cochon : vous allez voir le tsunami...
Je sais bien que vous confondez (vous êtes loin d'être le seul, du reste). J'ai moi-même pensé comme vous durant près d'un quart de siècle. Je tenterai de vous expliquer ma façon de voir un jour, mais de vive voix, ce sera plus simple et rapide.
Hum vous êtes depuis longtemps en lien chez moi Didier, et je suis plus ou moins de gauche (du côté gauche de l'anarchisme disons...)
RépondreSupprimerMais il est vrai que je ne milite pas, c'est même ma qualité première...
PS: Hum et Renaud Camus et son éloge du paraitre, en parlons nous?
...Alors que moi je suis sans-opinion militant (voire intransigeant) !
RépondreSupprimer"Casse-toi alors pauvre con !" c'est de qui ? Notre bon président à un visiteur au salon de l'agriculture ...
RépondreSupprimerIpidiblue chatié mais pas châtré
C'est vrai, Tang, je suis injuste avec vous. Mais, en effet, je parlais de blogs plus ou moins militants.
RépondreSupprimerCher Romanov (je préfère à Nicolas 2...), l'intransigeance est tout, l'opinion n'est rien.
iPidiblue, la classe de notre président m'éblouira toujours (enfin, j'espère).
Tang : Éloge du paraître est un des premiers Camus que j'ai lu. Pour en parler avec vous (pour qui c'est tout frais, il faudrait que je le relise, ce dont je n'aurai guère le temps durant les trois semaines qui s'annoncent...
RépondreSupprimerPeut-on qualifier le blog de Balmeyer comme un blog de gauche ?
RépondreSupprimerDidier, vous racontez n'importe quoi. Les effets de l'alcool ?
Nicolas, n'essayez pas de gâcher ma joie...
RépondreSupprimerEn plus, je vais cafter à M. Balmeyer que vous insinuez qu'il pourrait bien être de droite !
RépondreSupprimerC'est pas un blog Bisounours ce monsieur Balmeyer ?
RépondreSupprimeriPidiblue de la classification des blogs en milieu confiné
Depuis le temps qu'il en rêvait,
RépondreSupprimerD'un seul coup ça v'nait d'arriver :
Fallait pas bouder son plaisir
Ça l'faisait même un peu rosir :
Son nom, comme un' promesse d'embauche,
En lien sur un vrai blog de gauche !
Le Goux, ououh ! ouououh !
Le Goux est entré, ébaubi,
Chez Balmeyer, en vieil ami,
Le Goux est l'bienv'nu même ici !
Tu peux sourire,
Y'a pas à dire :
Le Goux paraît s'êtr' repenti !
Sou'aitant installer ses quartiers
En pèr' tranquille, sans sacrifier
À son goût pour les controverses,
I' s' mit à prendr' des ch'mins d'traverse.
Et pour éviter d'prendr' parti,
Il ne parla plus d'Sarkozy.
Le Goux, ououh ! ouououh !
Le Goux est dev'nu tout gentil,
Lui l'ex-tricard, l'ancien banni,
Le Goux n'a plus rien qu'des amis !
Ah, tu peux rire
Ou démentir :
Le Goux ne nous crée plus d'soucis !
Cert's quand ça causait d'Ségolène
Il ne parvenait qu'à grand'peine
À camoufler une gross' grimace
Mais il la traitait plus d'connasse.
Pour Bové il semblait s'ret'nir,
Quoiqu' Besanc'not le fît bouillir.
Le Goux, ououh ! ouououh !
Le Goux est désormais inscrit,
Après Gaël, avant Ellie,
Dans la colonn' des favoris !
Mais cess' de rire,
Il vient d'frémir :
Le Goux semble à l'étroit ici...
Le fait est qu'on dit qu'il s'apprête
Rien d'moins qu'à se payer la tête
De tout un tas de nos idoles
Et que, oh, douloureux symbole,
De notre saint Che il veut faire
Un aventurier sanguinaire !
Le Goux, ououh ! ouououh !
Le Goux s'est soudain affranchi
De tout' sa bell' diplomatie.
Le Goux n'offre plus d'garanties !
Fini de rire,
Faut en conv'nir :
Le Goux est dans la bergerie !
(très librement inspiré d'Albert Vidalie)
Pardons à Balmeyer d'avoir évoqué son blogue sans m'y être seulement reporté (ce qui ne saurait toutefois tarder).
Bon, je vous quitte à présent, c'est dimanche et je dois me bourrer la gueule.
Pardon sans S à la fin est encore plus sincère.
RépondreSupprimer(Il manque, sinon, une élision à tranquille...)
Mais quel talent, ce M. Chieuvrou ! Vous attendez quoi, bon sang, pour ouvrir un blog ?
RépondreSupprimerAu vice jamais tu n'inciteras tes semblables même si toi-même tu es tombé dedans tout petit ...
RépondreSupprimeriPidiblue et la sagesse des peuples
Didier,
RépondreSupprimerNe m'envoyez pas vos commentateurs sur mon blog. Merci d'avance.
@Didier Goux
RépondreSupprimerPourquoi je n'ouvre pas un blogue ? Sans doute parce que je crains que, dans cette hypothèse, ce dernier ne se transforme assez rapidement en l'un de ces « blogues de pleurnichards » sur lesquels vous attirâtes naguère notre attention. Car derrière la figure du pas-encore-vieux-con-mais-déjà-aigri se tapit bien souvent celle, atrocement grimaçante, du chialou en puissance. Or telle est de toute évidence ma pente...
(je suis lucide, c'est donc que j'ai totalement dessaoulé)
@Nicolas Ier
Vous ne voulez pas de nous, comme ça... Qu'est-ce à dire ? Qu'on sent le pâté ?
(vous voyez bien, Monsieur Goux : qu'est-ce que je disais ?)
Nicolas, je n'ai jamais rien fait de tel, que je sache ! Et je ne vous trouve pas très courtois pour mes commentateurs, qui sont loin d'être tous de vieux réacs grincheux dans mon genre...
RépondreSupprimerDites-donc, Didier, vous m'avez fait un cadeau empoisonné avec votre lien ! J'ai plein de forcenés qui arrivent chez moi pour argumenter comme des malades, exaltés, parmi mes ordinaires histoires de caca et de gâteau au chocolat ! Les voilà avec leur bazooka pour tuer le lapin ! A l'évocation du terme "blog de gauche", ils débarquent pour en découdre. C'est ballot, ils vont trouver, derrière chaque anecdote personnelle, une lecture marxiste du monde... Moi qui ai fait preuve d'une telle ouverture sarkozyste... :-)
RépondreSupprimerNicolas J a raison : vous vous fourvoyez, je ne tiens pas du tout un blog politique. C'est notoire. Pourtant, vous en avez lu des blogs "vigilants" ! La confusion doit venir du fait que vous me croisez souvent chez Jegoun, sur "partageons mon avis". C'est mon gourou. Mais je le fréquente aussi parce qu'il sait sortir le nez de la politique pour apprécier d'autres horizons. Vous avez donc été bien prompt à sortir l'étiqueteuse ! Surtout quand vous me décrivez dans les commentaires comme un "militant", ça c'est du dernier cocasse ! Un blog militant de gauche ne vous aurait jamais lié, vous le savez bien. Vous faites votre intéressant, comme à la cantine.
Quant à l'anonyme qui se demande si je suis un bisounours : faut-il approcher la sainteté ou être un champion de la miséricorde pour vous mettre en lien ? C'est un peu injuste envers vous... et puis les "bisounours" font des "échanges de liens", c'est une pratique qui me répugne, je vous ai lié unilatéralement, évidemment.
J'ai effectivement apprécié l'humour désabusé de vos textes, et même votre massacrant mauvais esprit. Je ne partage pas tous vos délires lyriques, mais ils ont l'avantage d'être drôles et politiquement incorrects. Donc je ne regrette (presque) pas de vous avoir mis en lien, même si - et vous en savez quelque chose - quand on embrasse la mariée, on se coltine également la belle famille pendant longtemps, ce qui est moins folichon...
Didier,
RépondreSupprimerBalmeyer nous indique que "vos commentateurs" ont bien été discourtois chez lui ! En plus, vous l'avez mis en colère.
Balmeyer,
Si j'avais un gourou comme moi, je me paierai à boire.
Ton commentaire me rappelle la première fois que je m'étais faché avec Didier. Sauf que je n'ai pas ta plume talentueuse... J'avais tout résumé en un mot (de trois lettres, si ma mémoire est bonne). Depuis nous sommes réconciliés et nous allons probablement boire une bière ensemble dans la semaine ! J'attends ça avec plaisir ! Mais moins d'impatience que mon repas de samedi prochain !
Elle est belle la vie !
Ouh la ! mes plus plates excuses, cher Monsieur Balmeyer (je viens de virer le lien, même si c'est un peu tard...) !
RépondreSupprimerJe le sais bien que vous ne tenez pas un blog "de gauche", c'était juste une pirouette de ma part. On ne se méfie jamais assez de ce qu'on raconte, sur les blogs...
Merci pour ton compliment Nicolas, mais en fait je suis plutôt désemparé d'avoir des trolls, je n'ai pas votre verve de polémistes à tous les deux, et je me retrouve fort démuni...
RépondreSupprimerJe ne suis évidement pas fâché contre Didier Goux, il aura sans doute voulu me faire un clin d'oeil de vieux paysan bourru...
Didier, nos commentaires se sont croisés, je persiste et signe, je n'ai vu aucune mauvaise intention de votre part, je vous taquine en retour. Remettez-donc le lien, au pire, ça m'apprendra à bloguer sous le feu de la critique, ce n'est pas plus mal.
RépondreSupprimerParlez pas tous en même temps.
RépondreSupprimerBalmeyer,
Un troll, on n'y répond pas ou alors comme moi, par l'insulte pour le faire écumer encore plus : ça finit toujours à un point où il est très ridicule et s'en rend compte... Il part alors la queue entre les jambes.
Sur PMA, j'en ai un (mon dernier billet sur Bicêtre) qui vient d'effacer son propre commentaire !
Monsieur Balmeyer, je viens d'aller explorer votre blog : vous avez eu UN troll, et il m'est totalement inconnu (sous ce pseudonyme-là en tout cas) ! S'agirait de ne pas tout me mettre sur le dos non plus...
RépondreSupprimerBon, alors, je le remets, ce lien ? Ça devient compliqué, cette histoire ! Et puis, vous savez, si je vous ai mis en lien, c'est parce que je pensais que le genre de texte que vous écrivez pouvait intéresser la plupart des gens qui viennent chez moi.
RépondreSupprimerDonc, à tous, une précision :
NON, LE BLOG DE BALMEYER N'EST PAS UN BLOG MILITANT !!!
Voilà, maintenant c'est vous qui êtes en colère ! :)
RépondreSupprimerComme je vous l'expliquais chez moi, vous m'avez envoyé beaucoup de monde, pour un week-end. Bon sang, vous êtes influent !
C'est vrai, c'est un seul troll, mais de taille ! il en vaut cinq ! :) Je suis né à Marseille, c'est un peu l'histoire de la sardine qui bouche le Vieux Port...
Vive Balmeyer ! Vive Didier Goux !
RépondreSupprimerA tout hasard : vive moi !
Balmeyer,
Ce n'est pas parce qu'on est sur blog de droite qu'il faut traiter les gens de "vieux porc bouché". A la limite "vieux porc charcutier".
Nicolas, combien de fois faudra-t-il vous le répéter : ce blog n'est pas de droite, il est RÉACTIONNAIRE !
RépondreSupprimerMonsieur Balmeyer, je ne suis nullement en colère ! Je m'amuse plutôt bien, même...
RépondreSupprimerDésolé, mais avec mon éducation communiste, je confonds.
RépondreSupprimerBalmeyer et Nicolas : si, un jour, vous avez envie d'avoir un VRAI troll, une synthèse de troll, alors vous dites sur votre blog que Juan Asen*io écrit comme un cochon : vous allez voir le tsunami...
RépondreSupprimerJe sais bien que vous confondez (vous êtes loin d'être le seul, du reste). J'ai moi-même pensé comme vous durant près d'un quart de siècle. Je tenterai de vous expliquer ma façon de voir un jour, mais de vive voix, ce sera plus simple et rapide.
RépondreSupprimerEt meilleur pour la soif.
RépondreSupprimerYes, sir !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le titre. Et Balmeyer bien sûr.
Nicolas,
Si tu vas boire un cours avec la bête de ces lieux, prends le en photo en douce...
Mais on le voit en photo, monsieur Goux ! Sans doute à l'époque où en Hypokhâgne, il rédigeait ses premiers tracts écologistes...
RépondreSupprimerZoridae,
RépondreSupprimerJe garde de la pellicule pour ce week-end.
Balmeyer,
Arrête !
POurquoi tant de sectarisme vis-à-vis des blogs de shampouineuses ?
RépondreSupprimeriPidiblue chiffonné et défrisé.