Puisqu'on vous le dit que vous êtes invité, ne faites pas votre coquette. Et comme vous aimez les espaces et les pays encore un peu sauvages, vous serez servi.
Ah Didier, rien ne pouvait me faire plus plaisir que ces photos ! Il y manque juste :-) une photo du Causse Méjean couvert de "cheveux d'ange" (stipa pennata pour les latinistes...) : au petit matin, on a l'impression d'avoir devant les yeux un paysage de neige - ce qui est assez fabuleux fin juin ou début juillet !
@ Pierre Robes-Roule : prendre racine dites-vous ? Mais les racines ne "soutiennent" que les espèces immobiles, par exemple les arbres. Fendre l'air donc.
Fendre l'air est un destin indolore, une ambition de coureur du tour de France dans la descente, un but de ballon de football. Prendre racine, voilà un destin de chêne ! Qui dit racine, dit culture. Qui dit air, dit qu'on sonne.
Prr et Chr. Borhen : Fendre l'air est le titre de l'un des volumes du journal de Camus... (là, le blogueur, ne reculant devant aucun sacrifice, gouge son cul de son fauteuil pour aller vérifier le millésime)... celui de 1989. D'où ma préférence.
Nicocerise : ah oui : les sandwichs à la graisse de marmotte, très peu pour moi !
Ah Camus ! Vivement que je me sente enfin à la hauteur pour m'y attaquer. Pour l'instant, ce Camus là me paraît encore trop haut. C'est qu'il est exigeant le bougre. Bref, hors de question de me contenter de fendre l'air en essayant de lire.
"fendre l'air" : expression de mon pays, désignant un état de bêtise : "con à fendre l'air". La version féminine est "conne à bouffer de la bite"
La maison sur la 2ème photo me plaît bien.
RépondreSupprimerVous verrez les fâcheux arriver de loin.
RépondreSupprimerBon Didier, vous venez en Auvergne ou bien, la réponse sera oui OU non , mais plus du genre, on m'a pas invité :)
RépondreSupprimerC'est magnifique. Merci
RépondreSupprimerCatherine : un peu "pitchoune", non ?
RépondreSupprimerChristine : oui, et on lâchera les chiens.
Fidel : mais c'est Catherine qui ne veut pas s'embarrasser de moi !
Faucon : oui, hein ? Et les maisons sont bien moins chères que dans le Gard...
RépondreSupprimerMais si, tu peux venir.
RépondreSupprimerPuisqu'on vous le dit que vous êtes invité, ne faites pas votre coquette. Et comme vous aimez les espaces et les pays encore un peu sauvages, vous serez servi.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerFendre l'air ou prendre racine ?
RépondreSupprimerAux desserts que cette histoire de table !
Ah Didier, rien ne pouvait me faire plus plaisir que ces photos !
RépondreSupprimerIl y manque juste :-) une photo du Causse Méjean couvert de "cheveux d'ange" (stipa pennata pour les latinistes...) : au petit matin, on a l'impression d'avoir devant les yeux un paysage de neige - ce qui est assez fabuleux fin juin ou début juillet !
@ Pierre Robes-Roule : prendre racine dites-vous ? Mais les racines ne "soutiennent" que les espèces immobiles, par exemple les arbres.
RépondreSupprimerFendre l'air donc.
Fendre l'air est un destin indolore, une ambition de coureur du tour de France dans la descente, un but de ballon de football. Prendre racine, voilà un destin de chêne ! Qui dit racine, dit culture. Qui dit air, dit qu'on sonne.
RépondreSupprimerLes racines ne mentent pas. Vingt Dieux !
C'est comme la mongolie et la bouffe est plus variée.
RépondreSupprimerPrr et Chr. Borhen : Fendre l'air est le titre de l'un des volumes du journal de Camus... (là, le blogueur, ne reculant devant aucun sacrifice, gouge son cul de son fauteuil pour aller vérifier le millésime)... celui de 1989. D'où ma préférence.
RépondreSupprimerNicocerise : ah oui : les sandwichs à la graisse de marmotte, très peu pour moi !
Ah Camus ! Vivement que je me sente enfin à la hauteur pour m'y attaquer. Pour l'instant, ce Camus là me paraît encore trop haut. C'est qu'il est exigeant le bougre. Bref, hors de question de me contenter de fendre l'air en essayant de lire.
RépondreSupprimer"fendre l'air" : expression de mon pays, désignant un état de bêtise : "con à fendre l'air". La version féminine est "conne à bouffer de la bite"
Navré de paraître libidineux mais l'harmonieux nichon est digne des BM...
RépondreSupprimerBeaux paysages en tout cas !
C'est l'Aubrac ou la Margeride que vous nous proposez là ?
RépondreSupprimerPRB arrêtez de parler de "bougre" sans arrêt,.. quelque fois ça la fiche mal..
RépondreSupprimergeargies
Geargies: au contraire, ces pauvres mouches à qui l'on veut faire subir les derniers outrages sont bien des bougres ou bougresses.
RépondreSupprimerBOUGRE, ESSE, subst.
A. Vx. Sodomite
Dixit le TLF.
certes, mais il ne parle pas des mouches justement..; Geargies
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