- Et la fille, là, celle qui entre dans l'immeuble, tu la trouves comment ? - Plutôt jolie. Et puis, elle a un cul éminemment... spirituel.
- Spirituel, vraiment ? Et comment tu définirais ça, toi : un cul spirituel ?
- Eh bien... disons que c'est un cul avec lequel l'honnête homme a envie de prendre langue.
Mais où, cher Didier, avez-vous trouvé cette fascinante photographie ?
RépondreSupprimerIls avaient la braguette derrière, à cette époque ? Très pratique.
RépondreSupprimerCher Marcel Meyer, j'ai simplement tapé "joli cul" à l'emplacement idoine, et Mme Goux gueule a fait le reste...
RépondreSupprimerNicolas : de là aussi l'expression "être raide comme un passe-lacet"...
alors ainsi du temps d'un Louis, les stars du X portaient déjà des strings et laissaient volontiers leurs ombrelles aux oubliettes pour faire bronzette sur la pelouse de Versailles?
RépondreSupprimer(oui, le café était très fort.)
On dirait bien, hein ?
RépondreSupprimerOh, Mélina, c'était bien pis que cela... elles optaient pour le pratique, à cette époque-là...
RépondreSupprimerAh, Ah, Nicolas, y'avait aussi les culottes à trappons, qui suivaient plis ou ouvertures de robe... faut tout leur dire à ces "petits"...
Fascinante langue française. Merci de ce bon moment :)
RépondreSupprimerUn cul qui a de l'esprit, ça permet de longue conversation !
RépondreSupprimer:-))
Je ne sais pas pour vous, mais moi, je n'y vois pas qu'une femme. Reculez vos yeux, pour voir.
RépondreSupprimerMais c'est sans doute mon imagination galopante.
Marine, mais oui !
RépondreSupprimerD'un autre côté, l'expression "il n'a pas sa langue dans sa poche" perd du charme.
RépondreSupprimerMarine et Catherine, vous avez vraiment l'esprit mal tourné !
RépondreSupprimerNicolas : sauf sir c'est une scène entre kangourous.
Poireau : oui, bon, faut pas en abuser non plus, hein !
Faucon : Tant qu'on ne vous invente pas la sein-taxe...
Une femme ? Ou cela, une femme ?
RépondreSupprimerSouhaiterait prendre date pour en tirer partie
C'est très-charmant et d'un goût bien français. Sinon, le rapport texte/image installe un paradigme critique dont les sens multiples diffractent au delà du langage même, interrogeant ainsi un ailleurs dont chaque instance reproduit en elle, comme en miniature, le tropisme du vouloir-être. Et je trouve ça chouette.
RépondreSupprimerOuais, ça diffracte à donf !
RépondreSupprimerAppas doit être chercheur en didactique, non?
RépondreSupprimerJe ne sais pas à qui appartient ce cul, mais il est très appétissant...
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