lundi 7 décembre 2009

Les cons à sourire festif grimpés dans les miradors

En fait, j'aurais mieux aimé une carte de petit con. Ou encore de "petit con malfaisant". Ç'aurait mieux correspondu au profil. Bon, on fera avec : gros con ira très bien.

Voilà deux jours que ça dure. Sur tel blog hier, sur tel autre aujourd'hui. Toujours les mêmes d'ailleurs : les alter-ménopausées et les folles mondialistes – les malfaisants, en un mot. Une chose les réunit : le mirador, celui où ils se voient juchés, la bave aux dents et la kalachnikov au côté, scrutant le déviant qui grenouille en bas, dans le camp.

Ils veulent absolument séparer le bon grain progressiste de l'ivraie nazie. Du coup, ils ne comprennent plus rien. Et surtout pas pourquoi un Nicolas et un Didier sont capables de se taper dans le dos en se souciant d'eux comme d'une cerise avariée et dépourvue de noyau. Du coup, ils éructent des phrases de ce type :

« La féministe fait la belle chez le réac misogyne qui n’hésite pas à copiner avec le gauchiste mou ou avec l’écolo -bayrouiste. Tout est bon pourvu qu’on ait des liens. »

Le réac misogyne, c'est moi, le gauchiste mou c'est Nicolas. Pour la féministe, j'ai aussi mon idée... Le rire, la nonchalance, le remettez-nous-ça-patron : voilà bien ce qu'il ne supporte pas, ne comprend pas, ce gros bloc de gelée sans madère. Pas plus que le castriste en tutu. Pour eux, il faut choisir son camp, une fois pour toutes. Pas de déviance ! pas un pas de côté ! tout le monde dans le rang ! Preuve qu'ils aiment les camps, pas une tête qui dépasse. Et le gauchiste qui se laisse aller à boire une bière avec le mec qu'ils ont placé de l'autre côté des barbelés, devient un gauchiste “mou” – à surveiller, donc. Peut toujours trahir la cause, celui-là...

Parfois, ils menacent, ils somment, ils mettent en demeure : lui ou moi, bordel ! Choisis ton camp, camarade ! (le camp, toujours le camp...) En face, ils trouvent un type qui les renvoie gentiment dans les cordes dont ils sont empêtrés. Dans ces cas-là, ils sourient vil, ils courbent l'échine, présente la croupe, assouplissent les sphincters, se beurrent le sourire : mais non, mais non, bien sûr, tu as le droit d'être ami avec qui tu veux, n'est-ce pas ? Je n'ai jamais voulu dire ça, tu penses bien !

N'empêche que leurs dents grincent, à nos petits malfaisants, la bile se fait acide...

47 commentaires:

  1. C'est vrai que ça fait un peu désordre et c'est bien connu les gens de gauche aiment l'ordre et les alignements.
    Au fait, cela fait un bail que l'on ne s'est vu.
    Et justement, j'ai rencontré un Arabe qui privé de minaret a choisi, à titre de consolation, d'aller prier, dit-il, au bistro et qui souhaite rencontrer un vrai gros con reactionnaire blanc.
    Je me suis permis de lui donner votre nom, cher ami.

    RépondreSupprimer
  2. Moi, c'est rigolo, j'ai toujours voulu faire parti d'un camp... et ils m'ont tous foutu dehors après l'apéro ! De gauche comme de droite ! De vert comme de noir ! De catho comme d'athée ! De jeune comme de vieux ! De con comme d'intello ! Du coup, je prends l'apéro chez moi, pendant que mon fils crée son monde (de 3 ans) et sa mère prépare ses cours... Y a que Mozart, Bach et Glenn Gould qui m'appartiennent. A ce moment là... et y a pas de carte... D'ailleurs plus personne m'emmerde, ils ont jeté l'éponge... et l'eau avec... Tant mieux ! que je leur ai dit. J'aime pas l'eau !

    RépondreSupprimer
  3. On ne va pas lancer une croise contre les cons, non plus, hein ? Il faudrait en éliminer partout et j'ai bistro.

    Tiens ! Z'êtes trollé par Tonnégrande. C'te classe. En plus, il vous invite au bistro mais je ne suis pas là jeudi.

    RépondreSupprimer
  4. Que ne créez-vous donc un beau blog tout brun, sous enseigne Au Bon Nazi ? Je vous suggère même un slogan sympathique : Alle Menschen raus ! ou quelque chose dans le genre (un genre poétique et nostalgique). Et si vous avez besoin d'un kapo tout mignon, candide et tout en chocolat (belge), je sollicite la place. Je ne vous couterais pas cher : je ne mange que de la saucisse, des patates, de la choucroute, et ne bois que de la bière (blonde).

    Nous serions entre amis. Les z'aut'es là, les ceusses qui vous sucent le gras double à la paille, i d'viendraient verts. Ah ? ils le sont déjà...

    RépondreSupprimer
  5. Et tant qu'à faire, ils peuvent aussi beurrer leurs sphincters... Excellent billet mon cher !

    RépondreSupprimer
  6. "choisis ton camp, camarade", quand c'est pour savoir de quel côté on sera dans une engueulade bloguesque, c'est un marqueur de connerie. Vous pouvez être certain que quelqu'un qui dit " vous ne me défendez même pas, alors que je suis du même parti politique, du même camp, de la même religion que vous", ben c'est un con. Il faut bien choisir un camp quand on vote, quand on a un uniforme, mais sur un blog ?

    RépondreSupprimer
  7. "Des cons à sourire festif", pour la plupart je dirais plutot "des cons à sourire de hyène". Vous en avez au moins un à demeure, dont on peut apprécier la profonde humanité et l'amour de l'Autre qu'ils prêchent:
    http://didiergouxbis.blogspot.com/2009/12/banlieues-respect-bordel.html
    Je tiens tout de même à faire remarquer que Poireau est l' "éditeur" des oeuvres impérissables de la Dame de Bonté Bonne, qui dit de lui:

    "ça aussi, je l’ai écrit plus haut, l’aventure Filaplomb est une histoire d’amitié, de confiance."

    ça permet tout de même de voir de quoi sont faites certaines amitiés et de contempler la teneur de la Bonté Bonne.

    De même que la haute philosophie qui les anime mérite aussi d'être mentionnée, la Dame dit textuellement:

    "« Mais je crois que le pire, au fond, c’est le mensonge, la fausseté, la méchanceté, et la facilité. La vanité, le besoin de reconnaissance, on peut l’excuser, en revanche! »

    Ah oui, tu as tout à fait raison!

    Le besoin de reconnaissance, la vanité, j’ai connu"

    Et de citer Camus (la Dame est championne en citations).
    On comprend que la Dame s'en auto-excuse d'autant plus que ce n'est pas ce qui lui manque, c'est même sa principale qualité.

    Le coup des "liens", c'est pas mal non plus, parce que là aussi la Dame a de loin remporté le championnat. Enfin eux pour se booster ils n'ont pas wikio ils ont le Rezo de leurs potes pour se faire mousser et se renvoyer l'ascenseur. Ils appellent ça "partage des connaissances".

    RépondreSupprimer
  8. Tonnégrande : le truc c'est que mon studio de Levallois est squatté par le fils de Catherine. Par conséquent, il m'est difficile de passer à la Comète puis de rentrer en Normandie : je sais ce qu'il peut en coûter...

    Sinon, c'est pas l'envie qui fait défaut.

    Newtown : il reste le camp dira-t-on, le camp canier, voir le camp puchéa (démocratique) pour les amateurs d'exotisme...

    Nicolas : Ah, non, une croisade se serait trop : j'en fatigue rien que d'y penser.

    Ygor : je prépare votre contrat !

    Olympe & Pluton : trop aimables !

    Suzanne : non, non, même en matière d'élection, on peut voté un coup ici et un coup là : je crois que c'est ce qui fait le plus enrager les dogmatiques, cette versatilité insouciante.

    Floréal : je crois bien que, au moins pour Philippe Muray, le sourire festif et le sourire de hyène sont à peu près similaires...

    Voir, par exemple, le texte drolatique qu'il a écrit sur le sourire de Ségolène Royal : le sourire à visage humain.

    RépondreSupprimer
  9. @Didier:
    Vous avez une carte de grosse conne nauséabonde en magasin? Pour mon p'tit Noël !

    RépondreSupprimer
  10. Marine : pas de problème ! mais il me faudrait une photo (pour faciliter le travail des délateurs, vous comprenez...).

    RépondreSupprimer
  11. Personnellement ,j'aime beaucoup le camp des cons, c'est là que ça sourit plus souvent qu'à son tour !

    [Pas des sourires gras, de vrais sourires sincères ! :-)) ].

    RépondreSupprimer
  12. Les petites nouvelles sont, en plus d'être bonnes, imprimées sur papier recyclé et à l'encre végétale. Sûr que vous allez aimer aussi toutes ces bonnes actions !

    RépondreSupprimer
  13. @Didier:
    bin je vous en ai mis une (photo)en avatar. C'est mon nom, en Allemand. Le destin!

    RépondreSupprimer
  14. Les petites nouvelles sont, en plus d'être bonnes, imprimées sur papier recyclé et à l'encre végétale. Sûr que vous allez aimer aussi toutes ces bonnes actions !

    Purée, Poireau, mais comment pouvez vous user d'un argument aussi.... (XZ\@~~**ù%)
    le papier recyclé et l'encre végétale... Mais vous vous rendez compte que ça fait fuir, que ça fait PQ qui respecte vos hémorroïdes? Tout de suite, quand on lit ça, on pense au PQ! Bonjour l'analogie !

    RépondreSupprimer
  15. Suzanne : bon sang, je ne suis pas responsable des appellations écologiques !
    En lieu et place des encres chimiques, les imprimeurs utilisent des encres à base de plantes et sans solvants, je n'y peux rien, c'est ainsi !
    Quant aux hémorroïdes, un conseil : lisez debout, les livres sont des poids légers !

    [Suzanne : Monsieur Poireau et les éditions Filaplomb sont deux entités différentes. Mes opinions personnelles n'ont rien à voir avec mon travail d'éditeur. Ce serait injurieux pour les auteurs que de tout mélanger…].

    RépondreSupprimer
  16. Mais, monsieur Filapoireau, pourquoi en faites vous un argument publicitaire aussi ridicule ? Cet argument publicitaire est bien destiné à publiciter, tout de même, sinon, pourquoi le publiciteriez-vous ?

    RépondreSupprimer
  17. Suzanne : si vous vous intéressez à l'édition, essayer de voir où et comment son fabriqués les livres mis en rayon. Nombre d'éditeurs de la place n'hésitent pas à délocaliser leur production dans des pays à main d'œuvre moins chère et à droits sociaux limités. Sans parler du transport aérien que cela implique.
    Quand j'ai créée les éditions Filaplomb, j'ai fait le choix de faire bosser des imprimeurs locaux attachés à ne pas volontairement détruire la planète.
    C'est un choix, vous pouvez ne pas lui accorder d'importance, ça ne change rien à la qualité des nouvelles publiées !

    RépondreSupprimer
  18. Savez-vous que les duchesses, même ménopausées (âge climatérique, dit Wikimachin : n'est-ce pas mignon ?)sourient quand on les insulte et passent leur chemin tels de grands voiliers voguant vers l'Amérique (l'histoire ne dit pas si elles passent à droite ou à gauche) ?
    Mais si vous préférez une carte de gros con, c'est votre affaire, bordel.

    RépondreSupprimer
  19. Monsieur Filaplomb. Je ne veux pas rallumer une vieille querelle, mais bon sang, posez la question franchement autour de vous. Votre argument, à la limite, tiendrait la route s'il s'agissait de réédition, ou de livres qui n'ont rien à voir avec la littérature. Par exemple, je veux acheter les Mémoires de Saint Simon. Je regarde les livres, la qualité, le papier, la présentation globale, le prix, etc. Là, votre argument peut être un plus.
    Mais vous, vous publiez des nouvelles d'amateurs, d'inconnus. Vous voudriez bien qu'on les lise, qu'on en parle, qu'on les achète. Pour eux, pour vous. Normal. Mais il ne faut pas en parler comme ça ! C'est tellement secondaire, pour les lecteurs, que l'encre soit bio ou pas... C'est limite humiliant pour les auteurs! Et si vous ne trouvez pas cela secondaire, eh bien... autant recommander de lire des histoires drôles imprimées sur du PQ, là, au moins, tout sera recyclé !

    RépondreSupprimer
  20. livres qui n'ont rien à voir à la littérature, je pensais aux livres techniques, livres de cuisine, livres utilitaires,etc.

    RépondreSupprimer
  21. Suzanne : vous avez envie de bosser comme chargée de communication en ligne ?
    La partie "respect social et écologique" n'est qu'une partie du message. C'est toujours : cet(te) auteur(e) a du talent et en plus, le livre est produit de manière "correcte".
    C'est un supplément, pas l'argument central.
    Le principal, c'est le contenu, pas le contenant, bon sang !!!

    RépondreSupprimer
  22. Eh bien alors, arrêter de placer ces arguments idiots en tête de proue ! Arrêtez meême d'en parler, ce sera encore mieux! vous ne pouvez pas faire une bonne action, ou quelque chose de correct pour le respect de l'environnement sans le crier sur les toits, sans l'utiliser comme argument de vente ? pour la création littéraire, c'est inutile... Vous auriez une meilleure opinion d'un film où tous les acteurs sont vêtus de coton équitable et mangent bio pendant le tournage ?

    RépondreSupprimer
  23. Je ne dis pas que j'ai raison... mais posez la question franchement autour de vous. Moi, je n'écris pas, mais si c'était le cas, j'aurais carrément honte qu'on fasse mention d'un truc pareil.

    RépondreSupprimer
  24. Suzanne : ne vous énervez pas ! Ce n'est pas moi qui ai décidé de parler des éditions Filaplomb, ici. Je ne faisais que répondre, ce qui me semble pour le moins légitime quand elles sont mises en cause, hors de propos !
    Fin de la conversation pour ma part.

    RépondreSupprimer
  25. Monsieur Poireau : si vous croyez que je vais vous laisser le dernier mot... (j'ai pris la conversation en cours, j'ai survolé quelques échanges précédents où vous aviez l'air de vous amuser beaucoup)

    RépondreSupprimer
  26. (et pensez à ce que je vous ai dit, demandez...)

    RépondreSupprimer
  27. Suzanne : ceci n'est pas pour avoir le dernier mot mais pour obtenir votre mail ! Passez donc par Nicolas ou Didier pour que nous en parlions entre nous !
    Allez, je vous laisse conclure !
    :-))

    RépondreSupprimer
  28. Bravo pour ce billet. Et entartons les encartés! Et scalpons tout ce qui dépasse: miradors, minarets et tours d'ivoire! Et mort aux cons... Mais rappelons-nous la réponse du Général:" Va y'avoir du travail!"

    RépondreSupprimer
  29. Monsieur Filapoireau ( Suzanne est bien bonne de voir du bio dans une telle purée) n'utilise pas seulement des procédés bio-équitables en matière éditoriale.

    Il utilise des procédés de communication où il n'hésite pas à induire au suicide au sens propre et non littéral envers ces contradicteurs; j'en ai fait l'expérience. Il faudra bien qu'il réponde un jour des intentions de sa bonté bonne. Sa facilité mignonne et bon-enfant ne suffira pas à le justifier devant un tribunal.

    Il a le temps de présenter des excuses... Rien ne presse. En Italie on prend son temps. Mais on arrive sûrement, nécessairement, al dunque. Comme il n'est pas en Italie, il vaudra mieux qu'il se magne le popotin.

    RépondreSupprimer
  30. (Je plains Monsieur Poireau. Avoir Floréal et moi sur le dos, peut-on y survivre ? tidadoum, vous le saurez dans la prochaine conversation, la la la...)

    RépondreSupprimer
  31. Ah non, Suzanne, ne mélangeons pas les torchons et les serviettes !
    :-))

    [Je reste dans de beaux draps, c'est déjà ça ! :-)) ].

    RépondreSupprimer
  32. Hermès : je ne sais plus si c'est la première fois que vous passez ici ou non, et donc si je dois vous souhaiter la bienvenue ou pas : ce que c'est qu'alzheimer tout de même !

    En plus, vous arrivez sous une pluie de shrapnells (je ne saurai jamais écrire ce putain de mot !) et je vous conseille de me suivre dans la tranchée du GQG, sinon on va s'en prendre un sur la gueule...

    RépondreSupprimer
  33. Didier: chrapnel, Nitch, Welbek, Chopenoèr.

    RépondreSupprimer
  34. Suzanne, d'après ce que je lis dans les BM, les hommes adorent avoir deux femmes sur dos !

    RépondreSupprimer
  35. @ Poireau

    Allons allons, Filapoireau. N'essayez pas de la jouer mignonnet genre pucelle qui fait sans avoir l'air d'y toucher. Ça va un temps et vous n'avez que trop tiré sur la corde. Elle est usée et désormais ça ne se voit que trop. Il va vous falloir répondre, et assume. vous n'en avez pas l'habitude, je sais. Mais il va vous falloir la prendre. Et prendre Suzanne pour la mettre dans vos draps sales en guise de serviette pour niquer les torchons selon votre bon plaisir ne fonctionnera pas. Elle se tamponne de votre bon plaisir de gamin mignon "éditeur", je crois.

    Et il vous faudra pour cela autre chose que vos oh oh oh et votre sourire de hyène, trois petits tours et puis s'en vont.

    Publier des Sujitha Céleste ne vous suffira pas à prouver votre bonté bonne quand vous souhaitez la mort des gens comme vous avez souhaité la mienne à mots couverts cousus de fil blanc.

    RépondreSupprimer
  36. Floréal : "il va vous falloir répondre" !!!
    On convoque le tribunal des Flagrants Délires, alors ?
    :-))

    RépondreSupprimer
  37. @ Filapoireau

    Vous êtes mal barré alors.
    Parce que personne de vos petits copains qui s'en réclame en se tortillant sur le web n'arriverait à dresser contre moi un réquisitoire digne d'un Pierre Desproges.

    En plus vous ne trouverez pas un avocat capable de vous défendre. Vous connaissez la loi du jeu: "Donc, l'accusé est coupable, mais son avocat vous en convaincra mieux que moi".

    Or je porte plainte contre vous. Je vous ACCUSE de:

    "sourire hyèneux pour prêcher la bonté bonne au détriment de l'Autre pour l'amour duquel vous prétendez agir". Ainsi que vos complices.

    Et je me passerai très bien d'avocat, moi. Je m'institue à la fois plaignante, juge et partie. Par conséquent, c'est moi qui dresserai un réquisitoire contre vous. Et pour le ton à la Desproges, celle qui s'en rapproche le plus, c'est moi, et sur ce terrain là, je ne crains personne.

    Vous avez perdu d'avance.

    RépondreSupprimer
  38. Floréal : ah j'adore cette défaite ! Allez-y lâchez-vous, faites-vous plaisir ! La haine vous va si bien !
    :-))

    RépondreSupprimer
  39. Je vous promets que vous serez servi copieusement et que VOTRE haine vous reviendra en boomerang. Juste retour des choses. Vous vous en souviendrez longtemps, Filapoireau.

    RépondreSupprimer
  40. ça pour être un gros con, vous êtes un gros con, c'est sûr

    RépondreSupprimer
  41. J'arrive un peu tard... La féministe c'est pas moi je suppose, c'est sans doute Olympe.

    RépondreSupprimer
  42. ah non Polluxe ! pourquoi ça serait toujours moi ? maintenant que tu es N°1 chez ELLE j'espère bien que tu vas partager avec moi les affres de la célébrité

    RépondreSupprimer
  43. sinon Didier j'espère que votre com chez Yann S est du au fait que vous n'avez pas suivi les liens.

    RépondreSupprimer
  44. Polluxe : Olympe a raison : je trouve que vous vous défaussez un peu vite, là...

    Olympe : j'ai fait un com', moi ? Mince, faut que j'y tourne, j'ai oublié...

    RépondreSupprimer
  45. Les minarets aimés par les Suisses!

    RépondreSupprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.