Les moines du Bec-Hellouin étant d'indécrottables fainéants qui ferment le mardi, nous partons musarder dans les rues de Louviers, à une quarantaine de kilomètres d'ici (le «ici» de chez nous, pas celui de chez vous...). Ce n'est pas qu'on en meure d'envie, mais il faut bien faire quelque chose en attendant l'heure légale de l'apéro vespéral. Alors, pourquoi pas Louviers ?
Ce n'était pas une proposition, c'était un programme ; ))
RépondreSupprimerEst-ce bien sur le route de Louviers que se tenait un cantonnier...
RépondreSupprimerVagues réminiscences de mon enfance et des ritournelles de l'époque... mais ça n'a peut-être rien à voir :-[
Grand Louvetier de France : chargé par le roi de chasser les loups du royaume ... comme d'autres chassent de nos jours les bobos gauchos sur les blogs
RépondreSupprimeriPidiblue cours d'ancien français
Vous n'êtes pas très loin du haras du Pin, dites-moi, c'est la saison de la monte en ce moment, vous pourriez y amener vos petites copines de papotages ça les occuperait un moment ...
RépondreSupprimeriPidiblue écuyer-chef
Ah, on savait vivre (et mourir) à Louviers.
RépondreSupprimerScheiro : non, non, votre mémoire ne vous trahit pas...
RépondreSupprimeriPidiblue : dans quels abîmes d'ignorance barboterions-nous sans vos lumières ? (Le haras du Pin n'est pas si proche que cela, si je me souviens biens.)
Franssoit : puisqu'il est question d'Acquigny, village à cinq kilomètres de Louviers, je me permets de recommander son Hôtellerie où l'on mange excellement et pour des prix très raisonnables. Accueil charmant qui plus est.