dimanche 24 août 2008

Je viens de lire ça (en commentaire d'un blog)...

« sur les questions féministes je serai mal venu de reprocher à de Beauvoir un manque de radicalité. En revanche sur d'autres questions je maintiens mon sentiment. C'est que son postulat sur la question des ressources alimentaires de la planète je n'en partage pas l'avis. Nécessairement de là nos avis divergent... (diverge pour répondre à dubitative selon le très fameux mot Desprogien :))

« Z. [J'ai viré le nom] avec tout le respect que je vous conserve et que j'espère mener à son terme, à la fin de mon existence, je n'ai pas choisi Arendt et son évocation du totalitarisme pour me passer de la question du féminisme. Je voudrais un féminisme qui soit bien davantage en mesure de s'inscrire dans une critique radicale et globale, sans rupture aucune avec cette noble ambition qui nous tient tous d'améliorer le sort des hommes; et qui nous mène tous à une rupture définitive et inéluctable avec le vieux monde. »


Y a pas quelque chose de fort à boire, là ?

15 commentaires:

  1. Ah oui, j'ai lu tout comme vous, c'est édifiant n'est-ce pas ? Le recyclage des conceptions philosophiques mal digérées en plus (et peut-être même pas consommées du tout d'ailleurs, à peine entrevues sur le Menu d'une Carte alléchante !) Non vraiment, y en a qui doutent de rien ....

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  2. Moi, j'y comprends rien aux femmes...

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  3. Et c'est un homme qui écrit ça en fait ... moi j'y comprends rien aux cons !

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  4. Moi, je comprends pas, tout court. Mais quelque chose me dit que ce n'est pas très grave.

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  5. C'est ce que me disait hier ma concierge en poussant son balai !


    iPidiblue et l'hyperradicalité ménagère

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  6. Didier, je suppose qu'il faut savoir lire au plus profond, dans les entrailles d'une dinde déguisée en pintade, pour dénicher de telles... stupidités - je ne sais même pas comment qualifier ça, mais je suis d'accord avec Nef, qui sait faire des templates: c'est le genre de choses sans importance. Je sais que c'est votre fond de commerce Didier, que sans ces détériorés du bulbe que vous aimez citer sur votre blog, votre vin serait peut-être plus triste, mais là vous ramassez la lie, le genre de choses dans lesquelles on évite généralement de mettre les pieds.

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  7. vous mélangez différents adjectifs dans une passoire, laissez égoutter et vous obtiendrez ça.
    Imbitable (et je reste poli).

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  8. Bon, moi je vais boire un thé glacé avec Nef et la Yaya ! Je comprends rien non plus !

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  9. Réponse globale : c'est Nefisa qui a raison, tout ça n'a pas d'importance. Mais c'est bien amusant tout de même...

    (Et bienvenue à Bbl...)

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  10. Cela dit, je vous trouve tous un peu durs, car, sur les questions volaillères, on serait mal venu de reprocher à Didier Goux un manque de radicalité. En revanche sur d'autres questions je maintiens mon sentiment. C'est que son postulat sur la question de l'exploitation de la déficience bulbaire dans l'affection dite du vin triste je n'en partage pas l'avis. Nécessairement de là nos avis s'écartent... (écarte les fesses que je te mouche, selon le très fameux mot bigardien :))

    Évidemment, X. [J'ai, moi aussi, viré le nom], avec tout le respect qu'il me conserve et qu'il espère mener à son terme, à la fin de son existence, pourrait m'objecter qu'il n'a pas choisi le Père Dodu et son évocation du dindo-pintadisme pour se passer de la question du lapinisme. Le fait est qu'il voudrait un lapinisme qui soit bien davantage en mesure de s'inscrire dans une critique radicale et globale, sans rupture aucune avec cette noble ambition qui nous tient tous d'améliorer le sort de la luzerne ; et qui nous mène tous à une rupture définitive et inéluctable avec le vieux monde des clapiers.

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  11. Chieuvrou : les trois ou quatre premières lignes, je me suis vraiment demandé ce qu'il vous arrivait...

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  12. "un féminisme qui soit bien davantage en mesure de s'inscrire dans une critique radicale et globale, sans rupture aucune avec cette noble ambition qui nous tient tous d'améliorer le sort des hommes; et qui nous mène tous à une rupture définitive et inéluctable avec le vieux monde. »

    C'est pourtant simple à comprendre, tout s'articule sur "inéluctable".
    Améliorer le sort des hommes (et non pas des Hommes)au prix d'une rupture inéluctable et définitive (le choc des adjectifs, tout de même!), moi je ne vois qu'un truc: les hommes seraient de gentils bourdons, et parthénogenèse pour toutes!

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  13. Suzanne : ah oui, c'était donc ça !
    Comme dit la grande philosophe Florence Foresti : et les hommes aussi s'emboitent bien entre eux. Comme ça si les femmes se barrent...
    :-))

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  14. mèèè, je veux pas rompre avec le vieux monde , moi!! kwâ? je suis plus à droite que je pensais? ah! ces vacances! une suite de découvertes et de changements!!

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  15. La philo m'a toujours filé mal à la tête, cet article le confirme avec force !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.