Oh ! mais, ce n'est pas la peine de joindre les mimines et de me regardez avec ce petit sourire péteux : quand je dis que je zigouille, je zigouille ! Cela dit, c'est pour la bonne cause : celle de mes finances. Comme je crois l'avoir déjà évoqué ici il y a quelque temps, j'ai accepté de me charger de la réalisation de quatre double pages pour mon glorieux hebdomadaire nourricier, sur le thème général Les points chauds de la planète vus par SAS, ou plus exactement par son auteur.
Eh bien, foin de tergiversations et d'atermoiements, il est temps de s'y mettre. Aujourd'hui, j'ai donc repris Tuez le Dalaï-Lama ! afin de l'éplucher convenablement pour en exprimer tout le suc. Et, demain, direction Dharamsala, où ça chie grave pour les safranés, permettez-moi de vous le dire.
Ensuite, après un court crochet par la Russie, je m'envolerai pour Londres, afin de m'intéresser de près à l'assassinat, par les services de Poutine, d'Alexandre Litvinenko, victime d'un sniff malencontreux de Polonium 210. Après cela, plongée dans la sauvagerie pure et le chaos total, puisqu'on me retrouvera, intrépide reporter en chambre, du côté de Mogadiscio pour y traquer les Pirates ! et leurs nouveaux alliés, les talibans somaliens. Enfin, pour me remettre et me défouler un peu, j'atterrirai à Beyrouth, au coeur du Rouge Liban, pour tenter d'exploser sa race à Hassan Nasrallah, le big boss du Hezbollah, avec l'aide du Mossad (mais qui n'engendre pas pour autant la mélancolie) et des services secrets... saoudiens – mais oui Madame, mais oui Monsieur !
Semaine de tout repos, comme l'on voit. Mais, quand on a la presse dans le sang et l'information chevillée au corps, n'est-ce pas...
Eh bien, foin de tergiversations et d'atermoiements, il est temps de s'y mettre. Aujourd'hui, j'ai donc repris Tuez le Dalaï-Lama ! afin de l'éplucher convenablement pour en exprimer tout le suc. Et, demain, direction Dharamsala, où ça chie grave pour les safranés, permettez-moi de vous le dire.
Ensuite, après un court crochet par la Russie, je m'envolerai pour Londres, afin de m'intéresser de près à l'assassinat, par les services de Poutine, d'Alexandre Litvinenko, victime d'un sniff malencontreux de Polonium 210. Après cela, plongée dans la sauvagerie pure et le chaos total, puisqu'on me retrouvera, intrépide reporter en chambre, du côté de Mogadiscio pour y traquer les Pirates ! et leurs nouveaux alliés, les talibans somaliens. Enfin, pour me remettre et me défouler un peu, j'atterrirai à Beyrouth, au coeur du Rouge Liban, pour tenter d'exploser sa race à Hassan Nasrallah, le big boss du Hezbollah, avec l'aide du Mossad (mais qui n'engendre pas pour autant la mélancolie) et des services secrets... saoudiens – mais oui Madame, mais oui Monsieur !
Semaine de tout repos, comme l'on voit. Mais, quand on a la presse dans le sang et l'information chevillée au corps, n'est-ce pas...
Adieu vaches qui rient...
RépondreSupprimerVous voyagez vraiment beaucoup!
RépondreSupprimerJe reste à la maison. Pour moi c'est Venise ou rien.
RépondreSupprimerLes vaches qui rient ont été mangées hier (dans une sorte de rillette de sardines, avec ciboulette, moutarde, filet de citron...).
RépondreSupprimerOrage : c'est Voyage autour de ma chambre...
Catherine : ben... rien.
Et les FARC ? Elles sentent le pâté ou quoi ?
RépondreSupprimerVous avez une bonne assurance vie?
RépondreSupprimerNon, moi je dis ça, je pense à Catherine hein!
D'accord — mais quid de Goukouni Weddeye ? De Nelson Mandela ? De Golda Meir et autres joyeux lurons ?
RépondreSupprimerSi vous passez par Moscou, faites gaffe, les journalistes dissidents sont toujours aussi mal vus... Mais si le coeur vous en dit, coupez à raz Poutine ! ( pas pu m'empêcher ... )
RépondreSupprimerCa ne vous donne pas soif, tout ça ?
RépondreSupprimer@Nicolas:
RépondreSupprimerDidier tente la cure de désintox. Il en est à l'eau du ciel de Normandie.
Il lui faut des forces pour ses tâches variées et prometteuses. C'est mal de lui proposer de boire.
Mon bon vieux,
RépondreSupprimerN'avez-vous donc rien d'autre à foutre que de tirer sur ce pauvre bouc ?
Ainsi donc, Harrison vieillissant serait si bon que celui d'antan ? j'ai commencé à me méfier à partir de je-ne-sais-quoi-vieux-gourmet, pour tout dire à patir de l'auto-bio. Mônsieur connaît ses bases, ne se fatigue pas trop.
"ah, mais vous faîtes ça, c'est facile, vous mettez trois points...comme Seurat"
Je crois qu'Harrison défait ce qu'il a fait, en cédant aux trompettes.
Bien à vous.
Le "pauvre bouc", c'est harrison ou le Dalaï Lama? Je suis puzzled là.
RépondreSupprimer@Noeud Coulant
RépondreSupprimerEntièrement d'accord! Je me suis ennuyée ferme en lisant "de Marquette à Vera Cruz"!
Diantre, quel périple..
RépondreSupprimerFaites bien attention à vous je vous prie, Monsieur Goux, ne revenez pas en pièces détachées...
j'ai horreur des puzzle.
Chieuvrou : une autre série de 4 doubles est prévue à la rentrée de septembre. Dans cette deuxième fournée, nous nous intéresserons à la Colombie («Ramenez-les vivants !». Patience...
RépondreSupprimerMarine : Z'êtes bien toute les mêmes, tiens : l'argent, l'argent...
Yanka : je suis un peu obligé de faire en fonction des derniers SAS parus...
Pluton : arrêtez la vodka ! Au moins un temps...
Nicolas : dans les SAS de ces dernières années, tout le monde carbure au Taittinger Comtes de Champagne...
Noeud coulant : apparemment, vous vous êtes trompé de billet. Et je ne suis pas votre bon vieux...
Orage : Harrison court sans doute un peu sur son erre. Néanmoins, il reste le ton, l'humour, certaines métaphores saugrenues...
Et son Odyssée am&ricaine est plus légère que Marquette.
Jeffane : j'ai mes deux "baby-sitters" : Chris Jones et Milton Brabeck.
Hum... Je me fais mal voir chez Nicolas! J'y vais plus! C'est pire que vos missions SAS et j'ai oublié mon casque.
RépondreSupprimerVous ne vous faites pas mal voir mais ces attaques contre nos députés qui sont des fainéants nananère n'ont AUCUN intérêt. Et sont fausses (faites donc aussi des allers-retours entre votre patelin, Bruxelles et Strasbourg avant de juger les autres).
RépondreSupprimerVous pouvez aussi prendre le courage d'ouvrir un blog pour expliquer que nos élus ont des avantages indus.
Vous pouvez aussi prendre le courage d'ouvrir un blog pour dégoiser sur Ségolène Royal.
Et bin! Moi qui me disais que j'avais eu tort de prendre votre remarque au 1er degré ^^. Je vois que c'était du sérieux.
RépondreSupprimerQuelle volée de bois vert pour pas grand chose!
Le problème avec vous, Nicolas, c'est qu'on n'a pas les intonations sur le ouèbe (sauf utilisation de smileys). Et commme vous avez pas mal d'humour, moi qui ne vous connais pas, parfois je me trompe sur vos intentions.
Bon, je me le tiens cependant pour dit et je n'irai plus "dégoiser" lâchement sur votre blog. Vous avez ma promesse.
L'humour, c'est pour ceux qui sont d'accord avec vous (ou qui vous connaissent dans le réel), comme souvent chez les gens "drôles" ou qui se veulent comme tels.
Excusez-moi si je n'ai pas envie d'ouvrir un blog. C'est MON problème, n'est-il pas?
Sinon, si je gêne, vous avez raison de me le dire franchement.
Dieu que ces enfants sont pénibles, mais Dieu que ces enfants sont pénibles !
RépondreSupprimerMais non, mais non.
RépondreSupprimerEtes vous sur que vos commentaires étaient réellement humoristiques ?
Didier,
Faites comme si on était pas là, on papote juste.
Pas de problème, vous ne me dérangez pas.
RépondreSupprimernon, mes commentaires ne prétendaient pas à l'humour. L'humoriste professionnel, c'est vous. Ou le clown triste, si vous préférez.
RépondreSupprimerPas professionnel, non.
RépondreSupprimerSur ce, Nicolas, bonsoir!
RépondreSupprimerBrisons ici, si vous le voulez bien.
Je reste chez Didier, s'il accepte que je vienne lui polluer son blog par mes commentaires. J'apprécie son humeur, son humour et son intelligence de tout.
Dans le cas contraire, je peux me contenter de lire. De plus, je me sens très bien aussi chez Criticus...
Marine, vous restez la bienvenue, cela va sans dire !
RépondreSupprimerMuette ou parlante, selon ce qui vous plaira.
Merci Didier.
RépondreSupprimerJe l'ai toujours dit : on devrait mettre à l'amende les sans-blogue à chacune de leurs intrusions sur la blogosphère.
RépondreSupprimerChieuvrou,
RépondreSupprimerIl ne s'agit pas de ça juste de faire comprendre qu'on ne peut pas parler de tout dans les blogs des autres...
Comme si on allait parler de blogage, chez Didier, dans un billet à propos de Tonton Gérard.
@Nicolas et Chieuvrou:
RépondreSupprimerfaites comme si vous ne me voyiez pas !
@Nicolas:
RépondreSupprimerj'ai parlé de "tout"?
Ah si vous m'aviez lue quand je parle de "tout"!
@Chieuvrou:
RépondreSupprimerPaaaaaaaaaaaardon, paaaardon et Fraternité! Je n'avais pas vu que vous étiez du même coin que moi, le pays émergent des sans-blog!
Pardonnez-moi!
Sinon, Dieu veuille que la gôche classique ne revienne plus jamais au pouvoir, ou c'en est fait de nos libertés fondamentales, parmi lesquelles je place la liberté d'intrusion (sic) sur le blog des autres. Sinon, faut tuer tous les coucous...pour protéger les tourterelles turques.
Qui est Tonton Gérard ?
RépondreSupprimerMarine : il FAUT aller embêter Nicolas. Je le fais bien, regardez (et pourtant, ce sacripan me répond parfois vertement !) mais, voyez-vous, sinon, à part Didier et deux trois passants doués de raison, ou Dorham qui écrit de longs beaux billets qu'on ne comprend parfois que bien plus tard, il n'y a sur son blog que des gens de gauche assez irréfléchis, toujours d'accord, et le pauvre s'ennuie.
( quatre-vingt neuf "gens de gauche assez irréfléchis" vont me tomber sur le râble, je le sens, je le sens...)
RépondreSupprimerOui, il me faut des gens de droite primaires pour changer des gens de gauche irréfléchis.
RépondreSupprimerNicolas : dites plutôt que vous êtes fatigués des contorsions des ségolénophiles confus, et que vous recherchez un peu d'esprit et d'intelligence !
RépondreSupprimerJe cherche toujours, d'ailleurs.
RépondreSupprimerBah Suzanne, je ne suis pas maso non plus :)
RépondreSupprimerEt moi, il semblerait que j'ai eu le malheur de le fâcher vraiment. Il n'avait pas l'air du tout de rigoler, le monsieur.
Bon, on a passé le coup d'éponge magique. Oublions.
Je vais me plaindre aux Enfants de Don Quichotte qui me prêteront peut-être une toile de blog.
Parce que ça "Il ne s'agit pas de ça juste de faire comprendre qu'on ne peut pas parler de tout dans les blogs des autres...", j'ai quand même trouvé ça rigolo ^^
RépondreSupprimercomme exemple d'attachement à la propriété privée! Même virtuelle...
RépondreSupprimerMarine : il y a peu, j'étais une trolleuse nomade, et ça m'a énervé de voir certains de mes posts supprimés sans autre forme de procès. Je me suis dit "tremblez, anastasies de pacotille, gardes-rouges du psocialisme orthodoxe, je vais recopier tout ce que vous m'avez censuré et me moquer de vous en prime. Depuis que j'ai blog sur rue, on ne me censure plus. La tehon, j'te dis. Comme quoi, avoir un pavillon inspire le respect. Les SBF (sans blog fixe) sont les derniers damnés de la terre.
RépondreSupprimerSuzanne : tonton Gérard est Gérard de Villiers, mon éditeur.
RépondreSupprimerMarine : il FAUT toujours écouter Suzanne (et je ne plaisante pas)...
J'écoute Suzanne, mais je ne monte pas de blog.
RépondreSupprimerPour le moment, mes posts n'ont jamais été censurés, je ne traîne pas partout non plus, j'ai vu à peu près qui était qui lors de "l'affaire Rénovons" et j'ai fait des choix. Pas exclusivement les sympathisants rénovons d'ailleurs, loin de là, hein Nicolas!.
Maintenant, ceux qui ne veulent pas de moi le disent, et c'est tout. Je dormirai quand même. J'ai mes sympathies personnelles, si elles ne sont pas partagées, c'est dommage mais tant pis.
Tiens, je vais passer chez Suzanne, à l'occasion.
Il me semble pourtant que le ouèbe, (et dans le ouèbe, les blogs) est un espace privilégié de liberté.
RépondreSupprimerMais je me trompe sans doute.
Tain! quel monde que cte monde!
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RépondreSupprimerAh ! Ça déconne ! J'aime pas ça...
RépondreSupprimerTant pis ! Foin de la griserie des réponses groupées : je découpe...
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RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerOh, vous savez, je disais ça comme ça, histoire de mettre un peu de poivre dans la soupe.
(oui, je reviens cinq minutes sur notre échange cordial de ce midi, sans quoi je ne trouverai probablement pas le sommeil cette nuit)Je vous rassure (à supposer que vous ne vous en battiez point l'œil, ce dont je doute un peu), il est bien oublié le temps où un petit jeunot de 66 suggérait de m'expulser d'ici ou d'ailleurs pour cause de trollage récurrent.
Schlink ! Schlink !
(bruit du clin d'œil embué par l'émotion face au temps qui passe)
Marine,
RépondreSupprimerPoint de pardon qui tienne ! Vous m'avez implicitement traité de blogueur, j'exige réparation dans les quinze jours : je vous enverrai sous peu mes témoins ou le montant de la rançon à verser pour prix de mon renoncement à venir raser votre château.
Sinon, je dois vous avouer que je ne vois pas trop en quoi la gauche serait plus portée que la droite à réprimer les intrusions de sans-blogues sur le ouèbe. Sans doute faites-vous allusion à la distinction traditionnelle selon laquelle la première serait attachée à la Liberté avec un grand L (la Liberté ou la mort, pas de liberté pour les ennemis de la Liberté – youpi ! trucidons les ennemis du peuple ou envoyons-les dans nos jolies rizières !), tandis que la seconde défendrait davantage les libertés au puriel avec un petit l tout riquiqui, pour ne pas dire ses libertés (liberté d'association, de réunion, d'aller et venir, notamment entre Deauville et Megève, ou de faire travailler des petits orphelins pieds-nus au fond de la mine derrière leurs gros wagonnets).
Soit, mais pour les blogues, je ne suis pas sûr que l'application de ce schéma se traduise par une réelle différence entre gens de droite et de gauche. Ainsi, s'il m'est permis de prendre mon cas personnel, j'ai l'impression de m'être fait autant « censurer » (un bien grand mot, je vous le concède, appliqué à mes petites inepties), c'est-à-dire très peu souvent, sur des blogues de gros cons de droite comme de sales cons de gauche (ou, plus rarement, de sales cons de droite ou de gros cons de gauche, catégories que je fréquentais encore moins que les précédentes).
Didier Goux,
RépondreSupprimerMe voilà rassuré pour les FARC. Dommage, toutefois, que vous arriviez un peu tard pour la sympathique Armée de Résistance du Seigneur, dont j'ai appris ce soir qu'elle avait cessé les combats en Ouganda en 2006. Il faut dire que l'enfant-soldat actuel n'est plus aussi bon qu'avant, pourri qu'il est par les jeux vidéo.
Bon, Monsieur Goux, la présentation de la réponse à Nicolas n'est pas terrible-terrible (impossible d'aller à la ligne : quelqu'un m'a manifestement jeté un sort), mais au moins aurai-je la satisfaction d'avoir fait exploser vos stats sur ce billet.
RépondreSupprimerVais-je pouvoir m'arrêter en si bon chemin ? La nuit ne fait que commencer, après tout...
Chieuvrou,
RépondreSupprimerVous êtes sur que ça va ?
" Il faut dire que l'enfant-soldat actuel n'est plus aussi bon qu'avant, pourri qu'il est par les jeux vidéo."
RépondreSupprimerOn va dire qu'il est mieux entraîné...
Pourquoi?
RépondreSupprimeril a l'air de bien se porter.
oops, erreur de fenetre
RépondreSupprimerCa sort quand cette double page ?
RépondreSupprimerJe me suis souvent demandé si Gérard de Villiers écrit toujours les SAS tout seul ou s'il est aidé ? A son age quand même, est-ce bien raisonnable, je vous le demande.