« On ne sait que penser, avec vous le définitif n'a qu'un temps. », écrivait Henri en commentaire de mon billet intitulé Décision couillue. Il avait raison, la preuve : la modération (de commentaires, parce que pour le reste...) est revenue. Il est plutôt flatteur de servir à tel ou tel de modèle au stacle rinaldo-girardien, mais si, de temps en temps, les stacles pouvaient aller modéliser plus loin, franchement...
Pis chez moi aussi ! On me prend pour le bouquet missaire...
RépondreSupprimerah chez moi rien, juste Didier qui a fait une petite apparition, me laissant penser que " ayé chéri, j'ai un troll!!!!!", puis non.
RépondreSupprimerje me fais taillader la gueule ailleurs....
Et hop, un petit verre de rouge.
Déjà ? Zut, même pas eu le temps de venir m'ébattre en eau non filtrée. C'est pas drôle !
RépondreSupprimerMélina,
RépondreSupprimerArrête de boire, bordel !
Catherine,
RépondreSupprimerC'est plutôt le "bouc commissaire"...
Didier,
N'oubliez pas de modérer ce commentaire.
Oui c'est ça le problème avec les couilles, on se figure qu'en avoir rend courageux. Mais si c'était vrai, on ne constaterait pas à longueur de temps - or on le constate ! - que les femmes sont plus courageuses que les hommes.
RépondreSupprimerBon attention, mon dernier message est en faveur des femmes mais pas d'idéalisation trop généralisé, on rencontre aussi de sacrés grognaces !
RépondreSupprimerEn fait celui que je ptéfère c'est Cadichon.